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    Destricted
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    32 critiques spectateurs

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    gnurff
    gnurff

    25 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 août 2012
    Rien... Je n'ai vraiment rien à dire sur cette série de court-métrage... Je ne sais pas où ils ont voulu en venir... La démarche est vide, la provocation aussi... A éviter
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Mon Dieu, que c'est mauvais. Encore une fois, excluez d'emblée le puritanisme, ou ce genre de stupidités, à la liste des causes possibles de la note minimale que j'accorde à Destricted. Simplement, il existe à mon sens, même si c'est légèrement caricaturer, deux grandes manières d'apprécier le sexe, ou plutôt deux tendances fortes qui forment les deux extrémités d'un spectre plutôt large. D'un côté, la sexualité passée à la moulinette de la culture et des bienséances, qui devient la réalisation pleine, poétique et fusionnelle d'un véritable amour. De l'autre, une vision anti-spirituelle qui regarde la sexualité comme un penchant organique trivial, sinon bestial. Certes, d'innombrables nuances existent entre ces deux extrêmes mais pour un tel projet, il était inévitable qu'on choisisse globalement une vision radicale. Dès lors, l'une comme l'autre sont forcément limitées, comme à mes yeux tout ce qui ne comporte pas assez de largesse d'esprit. Ici, avec un projet si évidemment arty, il était inévitable qu'on opte pour la version crasseuse à l'opposé du maquillage sociétal habituel qui prête au sexe des lettres de noblesse, à tout le moins des apparences convenables. Le problème, c'est que dès lors, il n'y a pas grand chose à dire, à part poser un constat difficile à étendre ou à enrichir par la suite. Cinq des sept court-métrages choisissent en fait une approche volontairement inconfortable, pour les yeux comme pour la pensée. Ceux-là, même We fuck alone, le court épileptique de Gaspard Noé, se limitent à une idée, parfois assez pauvre, qui ne s'étoffe jamais par la suite. Parfois, pendant parfois une dizaine de minutes, on se coltine alors la répétition d'images crues et sans apport sémantique, le réalisateur se cachant à chaque fois derrière le label "artistique" du projet. Pour au final, ne rien dire du tout. Deux segments diffèrent cependant, en premier lieu celui de Larry Clark, documentaire centré sur les effets de la consommation de porno sur le rapport au sexe des jeunes générations. Le constat, excusez-moi, n'a rien de très original. Enfin, Balkan Erotic Epic prétend lier sexe et tradition, dans un mélange hasardeux entre culture (donc traits humains) et animalité, mais sans aucune inspiration visuelle. A l'instar de tout le reste d'ailleurs, qui ne sait rien inspirer au-delà de quelques évidences prosaïques et d'un malaise général. L'idée n'est pourtant pas à jeter, mais sa réalisation est purement inutile.
    Sébastien D
    Sébastien D

    106 abonnés 544 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2015
    Honteux. Ca se veut original, artistique ou osé, mais c'est juste du porno pur et simple. En plus c'est laid, mal filmé et le son était a deux doigts de faire couler le sang de mes oreilles. Appeler ça du "cinema", certainement pas.
    Vinz1
    Vinz1

    177 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2017
    Sous couvert d’une démarche « arty » censée nous donner sans concession la vision de la pornographie par des réalisateurs dits « sulfureux », ce « Destricted » n’est qu’un vulgaire assemblage de courts-métrages ratés. Ratés car sans réel scénario et ressemblant juste à des « happenings » réservés aux plus endurcis et non aux néophytes. Le court de la Serbe Marina Abramovic sur les coutumes sexuelles de la Serbie traditionnelle est assez drôle en soi mais pas non plus extraordinaire. Pourtant ce sera le plus abouti, c’est dire ! Parce qu’entre les deux accélérés de pornos vintage pathétiques, celui où un homme se masturbe dans le désert de la Vallée de la mort, celui où un autre fait l’amour à sa machine, celui de Gaspard Noé où l’on assiste à trois masturbations différentes, celui de Larry Clark où de jeunes « harders » sont auditionnés avec à la clé pour le sélectionné le choix de sa partenaire sexuelle et posant des questions vraiment réductrices sur le porno en général, on n’est pas gâté. Je préfère alors regarder un vrai film porno pour le coup plutôt que ce simili long-métrage pitoyable !
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mai 2007
    Une collection de court-métrages ayant pour thème le sexe, ou, pour être plus précis, la pornographie, vue par de "vrais" auteurs. Chaque cinéaste s'essaie à dépasser le côté purement masturbatoire du porno, pour des résultats logiquement inégaux. Les seuls à s'en sortir à peu près sont les segments signés Barney (qui a le mérite d'explorer une sexualité inédite, celle d'un homme et d'un véhicule !), Clark (un casting de jeunes américains désireux d'embrasser la carrière de hardeurs) et Brambilla (qui a certes choisi la facilité avec un montage ultra-rapide de vraies scènes de films X, mais avec efficacité). Les autres offrent une vision bien déprimante de la fesse : Balkan erotic epic est d'un ridicule achevé (faisons n'importe quoi, avec une étiquette "art', ça passera), on cherche toujours s'il y a quelque chose à comprendre à Death valley (un plan-séquence sur un gars qui se pignole dans le désert : ça, c'est de la créativité !) et les courts de Price et Noé sont à la fois glauques et ennuyeux à mourir. Bref, les deux heures paraissent bien longues et on se dit que le projet y aurait peut-être gagné à faire appel à des cinéastes pour qui la chair n'est pas forcément triste.
    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 866 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Un assemblage plutôt raté de courts métrages à tendance érotique. Surtout parce que la plupart ressemblent surtout à des « Art performance », sans vrai scénario .Et le vrai cinéma c’est avant tout un bon scénario, même dans le court métrage. C’est là où on comprend qu’il y a une vraie différence entre la « Vidéo performance » et le Cinéma. Dans le style les pires performances « arty » on trouve celle de Sam Taylor Wood, ( c’est pourtant elle qui réalisera en 2014, le beaucoup plus classique « 50 Shade of Grey ») : Un homme vient se masturber dans la « Death Valley » , plan fixe de 9 mn , pour nous montrer que finalement il n’arrive pas a à jouir. Est-ce parce que c’est la Vallée de la mort ? Inintéressant. Ensuite Matthew Barney (fiancé de Bjork), un homme noir, fait l’amour au pignon de son gros camion. Ésotérique, dingo, improbable.,inintéressant. Même le Gaspar Noè est faible : « Fuck your self », où l’on assiste à trois masturbations en solitaire, en parallèle : un homme sur sa poupée gonflable, une jeune fille avec son gros nounours, et un hardeur avec Katsuni ( faut -il en déduire que Katsuni ne vaut pas mieux qu’une poupée gonflable plastique ?) où que dans tous les cas de figure on est toujours seul quand on fait l’amour ? Auquel cas le thème aurait pu être intéressant, mais le tournage en lumière stroboscopique est très fatiguant pour les yeux et n’apporte rien. Larry Clark fidèle à lui même ; nous livre le meilleur Short ( qui vaut 4 étoiles) ,il s’agit d’un double casting , tout d’abord la sélection d’un jeune garçon amateur de porno, mais non professionnel, l’élu devra ensuite choisir sa future partenaire entre une demie douzaine d’actrices porno célèbres. Il choisit sa préférée et ils ont droit ensemble à une séance de full sexe . Ce qui est passionnant dans ce Larry Clark c’est que l’on voit toute la différence avec le vrai porno. Il filme des parties de corps que l’on ne voit jamais dans le X .Il y a des ralentis, des gros plans ,des plans de sueurs, du cinéma vérité , y compris quand Nancy Vee subit un problème « technique » , un peu dégoutant, Larry continue à tourner , on voit la face B du porno , le devant et le derrière du rideau, C’est passionnant , c’est juste . A noter la très belle prestation de Nancy Vee , star du porno US, qui continuera à faire une grosse carrière, et surtout l’incroyable naturel du jeune homme acteur « Daniel » ? ,sosie parfait de Robin Taylor, acteur qui joue le « Pinguoin » dans la série Gotham ?! . Larry Clark toujours magistral dans sa direction d'acteurs. Les deux derniers short « House cells » et le « clip » de Brambillia sont des accélérés de Hard vintage, absolument nuls. Le short de la Serbe Marina Abramovic , sur les coutumes sexuelles de la Serbie traditionnelle est assez marrant et sympathique .
    Sildenafil
    Sildenafil

    76 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2010
    De l'ensemble des réalisateurs de Destricted, Larry Clark et Gaspar Noe sont les seuls qui sortent vraiment du lot.
    Marc H
    Marc H

    61 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2008
    sur les 9 courts métrages, seulement 5 d'interessants et l'ensemble est platement organisé. bof.
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2012
    En guise de 7 courts-métrage érotiques, Destricted n'est qu'une succession de 6 « art-video performances » absolument pas excitantes et d'un documentaire de Larry Clark. Sortent du lot, Larry Clark avec ses interviews de jeunes amateurs de films pornographiques souhaitant participer à un tournage. Marco Brambilla, avec un montage rapide clipesque et Gaspard Noe, avec deux scènes de masturbations habilement montées, quoi que bien longues. Le reste n'est pas à la hauteur : Marina Abramovic montre un délire historico-religieux risible; Matthew Barney, le seul à avoir une prétention esthétique, ne donne pas assez d'indices pour comprendre sa démarche; Sam Taylor-Wood manque d'idée; et Richard Prince a du confondre court-métrage de cinéma et délire sur Youtube. Comme souvent, une compilation de courts-métrages est inégale, ici elle est inégalement tirée vers le bas...
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    983 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mai 2013
    Lamentable. Autant le principe était original malgré le sujet tabou qu'il utilise (le porno), autant cette compilation de courts-métrages est franchement navrante. En fait, ce sont plus exactement les courts eux-mêmes qui sont ratés. Si Marco Brambilla s'en sort bien avec un étonnant montage d'une scène de sexe simulée grâce à des centaines d'images de films, le reste est piètrement convenable... De Gaspard Noé qui poursuit son trip épileptique en filmant une scène entrecoupée de flashs à Matthew Barney qui filme un homme qui se masturbe dans une sorte de pièce mécanique bizarroïde, le plus intéressant et au final le plus raté reste Larry Clarke, qui continue de poser des questions aux jeunes sous la forme d'un documentaire hélas plat et sans imagination... Nous avons donc droit à du "Qu'est-ce que vous pensez du porno ? Hmm... D'accord, on va te faire baiser avec une actrice." Trop à part pour convaincre, pas assez original pour être élogieux, Destricted est un ratage en bonne et due forme censé nous montrer que le porno aussi peut être de l'art. Peut-être une prochaine fois...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 mai 2007
    Destricted est composé de 7 courts métrages, qui traitent de notre relation avec le porno, et un peu plus: plusieurs scènes sont vraiment porno, mais vue sous une forme de branlette intellectuelle insupportable.

    Larry Clark s'en sort le mieux, mais ruse pour répondre au sujet de Destricted: il auditionne de jeunes Américains venus tourner leur premier film porno, et leur demande "pourquoi voulez-vous faire un porno?" "quand avez-vous vu votre porno pour la première fois?" "quels sont vos fantasmes". Cela permet de voir le formatage que le porno a fait sur toute une génération.

    Malheureusement, ce petit documentaire ne compense pas la pauvreté des autres courts-métrages.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 avril 2007
    Le sujet de départ est très intéressant : la vision du sexe et de la pornographie; mais quelle déception après avoir vu le film. Dès le premier court-métrage, on comprend qu'on va s'ennuyer. 5 courts-métrages sur 7 sont vraiment longs, lourds, dépourvus de sens.
    Seuls celui de Larry Clark vaut vraiment le coup avec une vision de la pornographie et du sexe par quelques jeunes hommes et quelques actrices pornos.
    Celui de Gaspard Noé est également intéressant dans un autre genre bien qu'il soit trop long a mon goût.
    Ce film est donc une grosse déception puisque le sujet auriat pu être traité d'une bien meilleure façon. Ca ne vaut pas le coup d'acheter une place pour ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mai 2007
    Trois étoiles pour quatre courts-métrages : "House call", "Sync", "We fuck alone" et surtout "Impaled". Le reste est plus ou moins... Voilà, quoi. Je n'ai vraiment pas compris "Hoist" ; "Balkan erotic epic" est marrant mais sans plus ; et "Death valley" est drôle pour son côté publicité pour Levis mais ça devient vite barbant. Alors "House call" est interessant surtout pour sa bande son, ses images restent banales mais ça se regarde... ; "Sync" hypnotise par son rythme brutal et completement barré ; "We fuck alone"... eh bien on dirait que tout le film (destricted) est construit pour en arriver à cette phrase hyper nihiliste mais pourtant d'une cruelle vérité, le film en lui-même est très dérangeant et d'une grande violence, bref c'est du Gaspar "Irreversible" Noé ; et enfin "Impaled" qui - pour moi - après "Kids" est le meilleur film de Larry "Bully" Clark, la démarche et surtout les questions posées sont vraiment interessantes, pleins de jeunes types sont "interviewé" par Clark lui-même et sont montrés tels qu'ils sont, le film ne cherche pas à juger qui que ce soit, il dépose juste une réfléxion sur l'"éducation" qu'offre le porno à notre generation et sur l'image que nous avons envers les femmes qui travaillent dans ce milieu. Bon, perso j'aurais pas choisi la quinquagenaire... "Destricted" n'est pas parfait, 7 visions différentes, rien nous demande d'y adherer. Mais quand je lis les critiques de certains spectateurs, j'ai l'impréssion que le film leur a été imposé ; on parle de visions du sexe et de la pornographie, c'est pas "Spiderman 3", alors ce serait juste sympa que certains réalisent qu'ils ont choisi de voir ce film et qu'ils ont été prévenu bien à l'avance sur ce que comporte le film. Certains de ces films ne sont pas faciles à regarder à cause de leur lenteur et de leurs images. "Destricted" est un défi proposé à sept artistes, ils l'ont relevé, certains ont réussi, d'autres ont échoué ; la loi du défi...
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2013
    Donner un tel sujet que le porno à ces réalisateurs semblait être un sujet fait pour eux. Malheureusement très peu savent l'aborder sans faire un truc blindé d'effets visuels,ou totalement désincarné. La tentative n'est pas très concluante.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2012
    A peu près dans l'ordre, voici mes impressions sur ce curieux projet: on attaque fort cette série de courts-métrage avec le complétement déglingo Matthew Barney dont j'entends parler depuis longtemps sans avoir eu la possibilité de voir ses films. Il n'est pas surprenant qu'il soit le compagnon de Björk vu la créativité artistique de ces individus. Quelle imagination que ce rapprochement sexuel entre le sauvage et la machinerie infernale dévastant son environnement! C'est le plus étrange et le plus intéressant tant il laisse perplexe, c'est pourquoi je me permets quelques mots. Richard Prince nous illustre avec une image excessivement sale, le coït d'un toubib et de sa patiente telle une classique scène de porno qui n'apporte rien(?). Marina Abramovic nous rappelle les profondes croyances de ses aînés avec des situations assez cocasses et plutôt drôles. S'interpose un très bel essai purement visuel de Marco Brambilla qui a dû passé du temps au montage pour cette enchaînement ultra rapide et frénétique de scènes de sexe. S'en suit le plus ennuyeux de tous avec cette masturbation d'un cowboy en pleine nature filmé en plan fixe par Sam Taylor-Wood dont je me demande bien la signification(?). Mais on peut dire qu'on finit en beauté par une excellente idée de Larry Clark de faire un casting pour proposer une relation sexuelle avec une vraie actrice porno. On retrouve sa mise en scène quasi documentaire de ses films où il se montre pertinent dans l'interrogatoire de ces jeunes et leurs rapports au sexe à notre époque. Et je ne serais pas surpris qu'il ait prévu le petit incident dégradant durant la sodomie pour apporter sa petite touche malsaine habituelle car il est loin de sa 1ère expérience. Pour clôturer, rien de tel que Gaspar Noé qui abuse encore et toujours du stromboscope, d'un son perturbant et caverneux et d'idées plutôt originales pour faire passer son message même si c'est un peu longuet à venir: "We fuck alone". Enfin, beaucoup d'interrogations sur ce projet qui au départ partait plutôt d'une bonne idée mais il n'est pas toujours aisé de se mettre dans le cerveau des ses artistes underground issus de milieux aussi divers que variés dont la vision peut en dérouter plus d'un...
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