Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
Un projet artistique divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Philippe Azoury
Et si Destricted (...) est un projet réussi, donc cohérent, c'est que l'intérêt s'est décentré : comme si soudain il ne s'agissait plus de filmer des culs (...) mais de tirer un portrait du spectateur qui se branle, une image d'une humanité née avec le porno, après le porno, ou depuis le porno.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par La rédaction
(...) les sketchs de Larry Clark, Gaspar Noé et Matthew Barney sont les plus réussis.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Eric Coubard
Magnifier le sexe et l'intellectualiser peut parfois lui donner autre chose que des lettres de noblesse (...) l'ensemble reste épuisant, voire harassant et très peu bandant spécialement quand on termine sur le Gaspar Noé et ses images à rendre épileptique un hibou dépravé.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Obs
par François Forestier
Dans "Destricted", curieuse entreprise où sept artistes donnent leur vision de la chose, les contours sont brouillés. Plasticiens, peintres, cinéastes se sont succédé pour donner sept courts métrages étranges (...) d'où se dégage la sensation que le cul, au cinéma, est une terra incognita.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un assemblage éclectique et qui s'ouvre en beauté avec un film impressionnant de Matthew Barney (...) Mémorable aussi, et plus réaliste, ce Larry Clark (...) Documentaire hilarant, Impaled (...) Amusant aussi, ce détour par les Balkans (...) Pour le reste, la chair semble bien triste ici-bas.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Rien de très probant (...) chez les artistes plasticiens (...) La réflexion sur ce qui se joue entre la représentation du sexe et le spectateur vient donc de ceux qui vont au-delà de l'installation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Un très beau court de Larry Clark domine un assemblage inégal et conceptuellement très flou de films "pornos" d'artistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Claire Cousin
La pornographie peut-elle être artistique ? Sept réalisateurs ont relevé le défi... avec un succès inégal.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Lorenzo Codelli
Larry Clark, qui, à travers ses photos et ses long métrages, avait réfléchi mieux que tout autre aux complexités de la représentation sexuelle, avec "Impaled", clef de voûte de "Destricted" (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
Un "docul" de 40 minutes aussi drôle qu'effrayant, révélateur des ravages de la "culture porno" dans le rapport au sexe de toute une génération. Pertinent à défaut d'être excitant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Christophe Lemaire
A travers ces quelques envolées hard (...) chaque cinéaste fait transparaître une émotion sincère et des idées tordues de réalisation qu'on trouve rarement dans la cinéma X habituel. Rien que pour ça, Destricted mérite son coup d'oeil salace.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Dans l'air du temps (...), Destricted, film à sketches dans lequel quelques cinéastes sont venus se perdre, pâtit de son inégalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) un seul cinéaste dépasse les conventions maniérées du panel : Larry Clark. Avec Impaled, il propose un vrai film avec un vrai sujet, proche du documentaire (...) Une oeuvre d'une vérité imparable (...) qui (...) s'éloigne des schémas sordides du genre.
Paris Match
par Alain Spira
(...) les résultats resprient l'onanisme neuronal, pour ne pas dire la branlette intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Mathilde Lorit
L'ensemble est intriguant, confirmant la difficulté semble-t-il, à réaliser du pur porno d'auteur.
Télérama
par Louis Guichard
Le seul à vraiment se tirer d'affaire, l'Américain Larry Clark, a biaisé. Il auditionne de jeunes mecs attirés par le porno (...) et montre ainsi, en bon anthropologue, combien les films de cul ont tristement formaté leurs pratiques et leurs fantasmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
L'ensemble navigue (...) entre préciosité (...) sociodocu pas inintéressant (...) accablante bouffonnerie pseudo-punk (...) et autres tentatives arty-chic. Outre sa vacuité, Destricted (...) est dépassé par son sujet (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) "un non événement."
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
Un projet artistique divertissant.
Libération
Et si Destricted (...) est un projet réussi, donc cohérent, c'est que l'intérêt s'est décentré : comme si soudain il ne s'agissait plus de filmer des culs (...) mais de tirer un portrait du spectateur qui se branle, une image d'une humanité née avec le porno, après le porno, ou depuis le porno.
20 Minutes
(...) les sketchs de Larry Clark, Gaspar Noé et Matthew Barney sont les plus réussis.
Brazil
Magnifier le sexe et l'intellectualiser peut parfois lui donner autre chose que des lettres de noblesse (...) l'ensemble reste épuisant, voire harassant et très peu bandant spécialement quand on termine sur le Gaspar Noé et ses images à rendre épileptique un hibou dépravé.
L'Obs
Dans "Destricted", curieuse entreprise où sept artistes donnent leur vision de la chose, les contours sont brouillés. Plasticiens, peintres, cinéastes se sont succédé pour donner sept courts métrages étranges (...) d'où se dégage la sensation que le cul, au cinéma, est une terra incognita.
Le Journal du Dimanche
Un assemblage éclectique et qui s'ouvre en beauté avec un film impressionnant de Matthew Barney (...) Mémorable aussi, et plus réaliste, ce Larry Clark (...) Documentaire hilarant, Impaled (...) Amusant aussi, ce détour par les Balkans (...) Pour le reste, la chair semble bien triste ici-bas.
Le Monde
Rien de très probant (...) chez les artistes plasticiens (...) La réflexion sur ce qui se joue entre la représentation du sexe et le spectateur vient donc de ceux qui vont au-delà de l'installation.
Les Inrockuptibles
Un très beau court de Larry Clark domine un assemblage inégal et conceptuellement très flou de films "pornos" d'artistes.
Metro
La pornographie peut-elle être artistique ? Sept réalisateurs ont relevé le défi... avec un succès inégal.
Positif
Larry Clark, qui, à travers ses photos et ses long métrages, avait réfléchi mieux que tout autre aux complexités de la représentation sexuelle, avec "Impaled", clef de voûte de "Destricted" (...)
Première
Un "docul" de 40 minutes aussi drôle qu'effrayant, révélateur des ravages de la "culture porno" dans le rapport au sexe de toute une génération. Pertinent à défaut d'être excitant.
Score
A travers ces quelques envolées hard (...) chaque cinéaste fait transparaître une émotion sincère et des idées tordues de réalisation qu'on trouve rarement dans la cinéma X habituel. Rien que pour ça, Destricted mérite son coup d'oeil salace.
aVoir-aLire.com
Dans l'air du temps (...), Destricted, film à sketches dans lequel quelques cinéastes sont venus se perdre, pâtit de son inégalité.
L'Humanité
(...) un seul cinéaste dépasse les conventions maniérées du panel : Larry Clark. Avec Impaled, il propose un vrai film avec un vrai sujet, proche du documentaire (...) Une oeuvre d'une vérité imparable (...) qui (...) s'éloigne des schémas sordides du genre.
Paris Match
(...) les résultats resprient l'onanisme neuronal, pour ne pas dire la branlette intellectuelle.
Rolling Stone
L'ensemble est intriguant, confirmant la difficulté semble-t-il, à réaliser du pur porno d'auteur.
Télérama
Le seul à vraiment se tirer d'affaire, l'Américain Larry Clark, a biaisé. Il auditionne de jeunes mecs attirés par le porno (...) et montre ainsi, en bon anthropologue, combien les films de cul ont tristement formaté leurs pratiques et leurs fantasmes.
Cahiers du Cinéma
L'ensemble navigue (...) entre préciosité (...) sociodocu pas inintéressant (...) accablante bouffonnerie pseudo-punk (...) et autres tentatives arty-chic. Outre sa vacuité, Destricted (...) est dépassé par son sujet (...)
Chronic'art.com
(...) "un non événement."
L'Express
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