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gabdias
85 abonnés
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0,5
Publiée le 7 mai 2012
Un thriller érotico-gore dans la lignée de ceux des années 90 mais là on frôle la catastrophe, du gore inutile, du SM de bas étage, un genre plus hippie qu'arty. Bref, passé le premier quart d'heure qui suscite de interrogations, on plonge dans l'indigeste et dans le crade inutile...
Un film qui doit tout à l'actrice Carrie Ng vraiment diabolique. Le reste du casting est bien trop amateur et l'histoire est bien trop simpliste. Avec un peu plus d'ambitions on aurait eu droit a un film bien plus palpitant. A voir par curiosité uniquement.
Thriller raté ou rien ne se tient. Mal écrit, situations ridicules et personnages creux. Une étoile pour la première scène qui laissait pourtant présager une meilleur suite, et pour le rôle (et l'interprétation) de Carrie Ng qui est le seul à surnager dans ce marasme.
Il est vrai que l’histoire est assez étrange et que ce premier long métrage du duo Julien Carbon – Laurent Courtiaud ne pourra pas plaire à tout le monde. Mais il faut tout de même reconnaître que « Red Nights « est une œuvre qui possèdent une réelle beauté sur le plan artistique (la photographie, les décors et costumes sont superbes), une mise en scène brillante ainsi qu’une très bonne prestation de la part des comédiens asiatiques, avec une mention spéciale pour l’actrice Carrie Ng qui est parfaite dans le rôle d’une femme adepte des tortures sadomasochistes. Par contre, je ne pourrais pas en dire de même concernant Fréderique Bel qui m’a paru bien peu inspirée par son personnage qui est pourtant un bien bel hommage aux héroines des films d’Alfred Hitchcock. Dans son ensemble, on se retrouve devant un excellent thriller franco-hongkongais qui est assez troublant et envoûtant, et qui fait aussi fortement penser aux fameux giallos de Dario Argento.
Images léchées, élégance gore, scénario un peu confus à mon goût, atmosphère troublante, femmes sexy. Seulement Frédérique Bel dont je comprends son intérêt à évoluer dans sa carrière d’actrice fait tache... rouge. Loin de moi de la cataloguer dans un genre précis, mais je suis désolé, elle ne m’a pas paru crédible dans son rôle. A qui la faute ? Je pense qu’elle a été mal dirigée ou tout simplement, erreur de casting. Ce qui ne veut pas dire qu’elle ne pourrait pas jouer dans un même registre. Trop tôt ou mal dirigée ? ! Sans rentrer dans le détail des langues, ça me paraît un peu paresseux que les chinois s’expriment dans leur langue pour répondre à la langue française. Ainsi, le français répond au chinois et le chinois répond au français ! Dommage, il y avait matière à... Seulement, ce film manque de matière. Par contre, je lui suis reconnaissant pour m’avoir fait découvrir le groupe Elysian Fields qui ponctue le film avec la chanson « Climbing my dark hair ». Film cependant encourageant pour son esthétisme raffiné.
Un premier film forcément sous haute influence et maladroit mais esthétiquement aboutie, fétichiste et parfois bien éprouvant, détonnant fortement dans l'univers trop codifié du film de genre français et contenant suffisamment de scènes marquantes pour mériter le détour.
Cherchez l’intrus... Je vous donne quelques indices : elle est blonde, bien faite, elle joue le rôle d'une tueuse froide et déterminée mais manque complètement de charisme et de présence à l'écran. Il s'agit de... Frédérique Bel, bravo ! Autant cette actrice s'éclate dans les comédies sentimentales légères, autant ici elle jure avec le reste du casting. Ce dernier semble d'ailleurs avoir vampirisé tout le budget tant l'intrigue est incohérente et mal construite. On comprend très vite que l'histoire n'est que le prétexte à une compilation de scènes érotico-sanglantes. Tout l'intérêt réside dans ces quelques passages. C'est un peu comme si Hannibal Lecter était parti au Brésil se faire implanter une grosse paire de loches, pour s'infiltrer ensuite chez Elite-section Asie afin de se faire plaisir. Les tortures proposées aux yeux ainsi qu'aux oreilles du spectateur sont délectables. Malheureusement le reste ne vaut rien.
Hong Kong, de nos jours. Carrie est obsédée par les châtiments du Bourreau de Jade. Avec la complicité de son amant, elle explore des perversions sadiques inouïes...
Un poison fantasmatique aux saveurs visuelles agréablement stylisées et théâtralisées peint des giallos italiens sur bas-fonds Hong-Kongais.
Ex-auteurs critiques, Julien Carbon et Laurent Courtiaud expatriés scénariste à Hong-Kong au droit des prestigieux Tsui Hark ou Johnnie To, choisissent de passer l'autre côté du miroir selon une première mise en scène aiguisée et perverse.
Sous la puissance d'un dry martini et la sensualité de jambes élancées les griffes de jade extase un châtiment onirique au fétichisme sado-maso. Tortueux, la souffrance hurle sans voix effrayant l'esthétisme formelle d'une caresse de sensibilité plaisante et morbide.
Red nights semble une narcose intoxiquée qui manque parfois de mordant narratif, le tout sans rougir de ces plaisirs défendus, silence !
Film très sexuellement chargé, il fait rencontré une culture chinoise et une européen, le film rend hommage à certain film chinois de par son actrice et au giallo. Des bons acteurs et une belles mise en scéne.
Actrice convaincante, histoire vraiment étrange, certain passage gore, des scénes bien, une fin decevante, un film qui se regarde mais je suis tous de meme déçu et aussi car il y a des passages ou les chinoises parle pas francais
Tantôt sublime, tantôt ridiculement raté, Les Nuits Rouges Du Bourreau De Jade n'en reste pas moins une œuvre assez rare de nos jours au sadisme exploité à la perfection et ne tombant jamais dans le vulgaire.