Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Bien étrange histoire, d'autant plus qu'on laissera au spectateur le soin d'en goûter les développements. (...) une belle originalité, doublée d'une grande maîtrise. Disons que c'est du Rouquier revisité par Franju, soit la comparaison la plus improbable du cinéma actuel (...)
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Le film ne s'enlise jamais dans la matière offerte par le roman d'Yves Bichet (lequel a participé à l'adaptation), qu'il brasse avec audace et discernement, parfaitement servi par ses interprètes, Niels Arestrup, Rachida Brakni et la toujours parfaite Anne Alvaro.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le sujet central du film, audacieux, est là, dans la fascination grandissante d'Etienne pour le monde animal (...) Un film déstabilisant, abstrait et subjectif, documentaire et lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Elise Domenach
Sans trembler, ce premier film bouscule les certitudes sur la bestialité du désir, le raffinement humain, le cycle de la vie, les marques de l'animalité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Positif
par Elise Domenach
Sans trembler, ce premier film bouscule les certitudes sur la bestialité du désir, le raffinement humain, le cycle de la vie, les marques de l'animalité. Et sur l'essentiel, il étonne.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Charlotte Lipinska
Porté par une distribution impeccable, le film assume avec aisance son étrangeté. Et pose l'évidence d'un jeune talent à suivre.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Toujours à deux doigts de tomber dans le maniérisme, rendu fort par des mouvements de caméra et des parti pris formels audacieux, le résultat peu avare en idées assure qu'il y a derrière la caméra un caractère très déterminé (...)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Anne Diatkine
Un premier film dérangeant (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) les comédiens et le réalisateur (...) parviennent à insuffler une étrangeté et un malaise au spectateur qui font oublier bien des défauts (réels pourtant) et donnent rendez-vous pour de futurs films plus réussis et tout aussi peu ordinaires.
Studio Magazine
par Basile Basirico
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
Voici un premier film ambitieux, original. On l'eût aimé moins glacé, plus fiévreux, plus emporté. Mais on y perçoit un sens de l'étrange, proche du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Axel Zeppenfeld
La tension sourde, souterraine que voudrait répandre La Part animale peine à s'insinuer.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Jaudeau illustre son propos par des comparaisons plates entre les hommes et les animaux, et plaque des images à l'étrangeté artificielle plutôt que de faire éclore ce malaise du réel même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par La Rédaction
La mise en scène frôle l'abstraction et n'est pas dépourvue d'idées plastiques, mais le tout souffre d'une certaine prétention.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Agata Makino
Homme, femmes, enfants et animaux pataugent dans un identique amalgame de drame psychologique (...) et de fiction métaphysique estampillé "produit à la ferme".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
Bien étrange histoire, d'autant plus qu'on laissera au spectateur le soin d'en goûter les développements. (...) une belle originalité, doublée d'une grande maîtrise. Disons que c'est du Rouquier revisité par Franju, soit la comparaison la plus improbable du cinéma actuel (...)
L'Obs
(...) Le film ne s'enlise jamais dans la matière offerte par le roman d'Yves Bichet (lequel a participé à l'adaptation), qu'il brasse avec audace et discernement, parfaitement servi par ses interprètes, Niels Arestrup, Rachida Brakni et la toujours parfaite Anne Alvaro.
Le Monde
Le sujet central du film, audacieux, est là, dans la fascination grandissante d'Etienne pour le monde animal (...) Un film déstabilisant, abstrait et subjectif, documentaire et lyrique.
Positif
Sans trembler, ce premier film bouscule les certitudes sur la bestialité du désir, le raffinement humain, le cycle de la vie, les marques de l'animalité.
Positif
Sans trembler, ce premier film bouscule les certitudes sur la bestialité du désir, le raffinement humain, le cycle de la vie, les marques de l'animalité. Et sur l'essentiel, il étonne.
TéléCinéObs
Porté par une distribution impeccable, le film assume avec aisance son étrangeté. Et pose l'évidence d'un jeune talent à suivre.
aVoir-aLire.com
Toujours à deux doigts de tomber dans le maniérisme, rendu fort par des mouvements de caméra et des parti pris formels audacieux, le résultat peu avare en idées assure qu'il y a derrière la caméra un caractère très déterminé (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Un premier film dérangeant (...).
MCinéma.com
(...) les comédiens et le réalisateur (...) parviennent à insuffler une étrangeté et un malaise au spectateur qui font oublier bien des défauts (réels pourtant) et donnent rendez-vous pour de futurs films plus réussis et tout aussi peu ordinaires.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Voici un premier film ambitieux, original. On l'eût aimé moins glacé, plus fiévreux, plus emporté. Mais on y perçoit un sens de l'étrange, proche du fantastique.
Cahiers du Cinéma
La tension sourde, souterraine que voudrait répandre La Part animale peine à s'insinuer.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Jaudeau illustre son propos par des comparaisons plates entre les hommes et les animaux, et plaque des images à l'étrangeté artificielle plutôt que de faire éclore ce malaise du réel même.
Première
La mise en scène frôle l'abstraction et n'est pas dépourvue d'idées plastiques, mais le tout souffre d'une certaine prétention.
Chronic'art.com
Homme, femmes, enfants et animaux pataugent dans un identique amalgame de drame psychologique (...) et de fiction métaphysique estampillé "produit à la ferme".