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weihnachtsmann
1 188 abonnés
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3,0
Publiée le 13 mai 2020
Le quatuor est toujours sympathique et émouvant pour Darroussin avec ses deux femmes. Le propos est très actuel, dialogues amusants et le rythme efficace avec ses petits appartés pour se remonter le moral.
Décevant. Les acteurs semblent avoir eu du mal à se mettre dans leurs personnages. Les dialogues manquent de réalisme, ils peuvent même sembler artificiels par moments. Sur le fond les hommes y sont présentés comme d'indécrotables queutards, sans explications. Bref, bien moins bon que le premier de la série.
une suite meilleure que le premier. les personnages sont deja présentés et vont plus loin dans leur relations et quelques rebondissements sont au menu. des rires et des larmes mais surtout de l'émotion ré de la vie, si peu retranscrite a l'écran. le coeur des hommes arrive a nous émouvoir a travers ces forts caracteres si attachants par leurs qualités mais aussi leurs défauts.
La suite est bonne on retrouve l’esprit du premier et on prend encore plaisir à le voir. Même si on retrouve moins l amitié la camaraderie et même le côté comique, on sombre plus dans une forme de sentimentalisme sur la longueur qui pèche un peu. Néanmoins on apprécie de voir tous ces acteurs nous offrir une fois de plus une tranche de vie de ces hommes tout simplement eux même...
On reste dans la lignée du premier Opus. Une ambiance entre hommes des histoires vécues, des sentiments en souffrance..Les acteurs sont vraiment très bons et tiennent le film à bout de bras.
4 ans après, le charme opère toujours! L’interprétation est magistrale avec le génial quatuor (notamment l’immense Gérard Darmon et Marc Lavoine, particulièrement fendard) mais aussi Catherine Wilkening (bien meilleure que dans le 1er) et la nouvelle venue Valérie Kaprisky. Certes, le scénario peut paraître un peu plus “tranches de vie” que le 1er (et alors?) mais ce 2nd opus est nettement plus drôle (Marc Lavoine et ses bonnes résolutions, le scène des claques, la scène de la croupière dans la chambre...) et les dialogues sont hilarants. C’est à se demander pourquoi les critiques se sont défoulées sur ce “Coeur des hommes 2" qui est un des seuls exemples de films sur l’amitié entre mecs qui ne sombre pas dans le beauf de bas étage!
On prend les mêmes et on recommence, sans grosse prise de risque. Le récit est repris exactement là où on l'avait laissé, mais le reste se passe quelques années plus tard. Bien que les situations respectives des personnages changent, le ton reste le même, et les relations entre les personnages sont inchangées, pour le plus grand plaisir de tous. Pas grand chose à dire de plus donc.
“Le Cœur des hommes 2”, ou comment transformer une comédie sympathique (“Le Cœur des hommes”, premier du nom), en point de départ d’une franchise. Quatre ans après leurs premières tribulations, on prend les mêmes (Alex, Antoine, Jeff et Manu), et on recommence, toujours devant la caméra de l’ex-critique Marc Esposito. Amis, amours et ennuis sont donc au programme des retrouvailles du quatuor, pour une bonne petite comédie, amusante et proche de l’opus précédent, sans grande nouveauté toutefois : restés tels qu’on les avait laissés, les personnages sont toujours aussi misogynes sur les bords, râleurs et/ou infidèles, et ils se retrouvent dans des situations similaires à celles qu’ils avaient vécues sous nos yeux auparavant. Un peu trop même, à tel point qu’un air persistant de déjà-vu flotte sur cette suite, à laquelle il manque un véritable événement dramatique, puisque, malgré ce qui peut se passer, tout est bien qui finit (trop) bien. Seuls les acteurs, encore plus complices, et quelques séquences et répliques hilarantes, permettent à ce “Cœur” d’éviter l’électro-encéphalogramme plat.
On repart 4 ans après le joli succès du 1er Cœur des hommes en 2003 avec cette bande de potes : Alex, Antoine, Jeff et Manu au même endroit où on les avaient laissés, les pieds dans l'eau et avec leurs déboires surtout sentimentaux, dans ce deuxième opus. Antoine est séparé de sa femme, Manu la trompe et Alex s'est enfin fait prendre la main dans le pot de confiture. Malgré une mise en scène un peu plate de l'ancien journaliste Marc Esposito, on croit toujours à cette amitié indéfectible entre ces 4 bobos que rien ne pourra séparer. En plus, il y a toujours de bons seconds rôles féminins très années 80 : Valérie Kaprisky, Fabienne Babe, Catherine Wilkening, Ludmila Mikaël...Bon ou moins bon que le premier, peu importe. Il est surtout très semblable avec les mêmes questionnements, les mêmes doutes, le même mélange entre amour, humour et émotion. La vie, en somme. Les personnages sont attachants, ils nous ressemblent, on a envie d'aller boire un coup avec eux ou avec ses propres potes. Esposito envisage plusieurs suites, le 3eme volet est prévu pour fin 2013. Donc on est pas prêt de lâcher ces 4 mousquetaires de sitôt.
J'avais beaucoup beaucoup beaucoup aimé le premier et, forcément, j'avais une grosse attente en allant voir ce second volet. Et même si la surprise ne joue plus et que, comme souvent pour les suites, elle souffre quelque peu de la comparaison avec le métrage initial, on passe un très bon moment et on en ressort heureux. On rit de bon coeur grâce à des dialogues courts et précis et à des scènes mémorables. L'interprétation est toujours aussi épatante, hommes et femmes réunis, et il n'y a aucune fausse note dans le casting. Un film que je prendrai déjà beaucoup de plaisir à revoir ... et c'est un signe ! En somme une série de qualité, tendre et drôle, basée sur les histoires de 4 amis, dans la lignée de « Un Eléphant ça trompe énormément » & de « Nous irons tous au paradis » d'Yves Robert, réalisés il y a une vingtaine d'années.
On retrouve la même bande de copains avec leurs histoires de cœur et de coucheries. Marc Esposito a convoqué deux-trois nouvelles têtes pour achalander l’affiche d’une suite sympa mais qui se révèle sans surprise, le principe tout comme le contenu étant rigoureusement identiques au premier.
Un remake sans ambition immense, mais il y a au moins deux bonnes raisons d’aller le voir. D’abord l’histoire de Jean-Pierre Darroussin, vraiment émouvante et qui justifierait à elle-seule un film entier. Ensuite une réplique de Gérard Darmon qui m’a laissé songeur un long moment: "Faut pas oublier que l’amour éternel a été inventé à une époque où l’espérance de vie était de 35 ans". Pour le reste, on reste (sans doute un peu trop) dans la lignée du premier film : dialogues et situations en général bien troussés, comédiens attachants – quelques apparitions sympas, dont celle de Valérie Kaprisky. Manque évidemment l’effet, et puis on peut regretter que tout tourne exclusivement autour des histoires de couple, là où le premier opus effleurait des sujets comme l’âge, la solitude, les choix de vie... Ne chipotons quand même pas: on passe un moment agréable.
Plus fainéant et moins multi-facettes que l'autre. Les hommes passent vraiment pour des misogynes et des porcs parfois et cela me gene un peu. La réalisation est molle et sans surprise, on s'ennuie parfois un peu de leurs histoires de coeur et de cul. Et ce final horrible, il est impossible d’imaginer qu'une femme puisse tolérer ça, et qu'un homme comme le personnage de Lavoine puisse s'en sortir aussi bien, c'est choquant.