AlloCiné
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Votre avis sur La Méthode ?
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Le réalisateur nous entraîne au coeur d 'un microcosme impitoyable et pervers qui ne génère que des perdants.Deux ou trois détails alourdissent un scénario efficace mais le contraste avec "le monde d'en bas"est bienvenu.Film à voir sans aucun doute.
10 étoiles pour ce film. Dès le départ j'ai réussi à découvrir la taupe. Je n'en dirais pas plus. lol
Très bien ficelé du début jusqu’à la fin. Et des retournement de situation inattendue bien calculé.
Très bien ficelé du début jusqu’à la fin. Et des retournement de situation inattendue bien calculé.
Partant sur une excellente idée (la quête d'un job digne du Graal, le huit-clos, etc.), je suis restée sur ma faim. J'ai eu l'impression que le film n'était pas assez abouti : j'ai trouvé des longeurs, certains personnages trop caricaturaux. J'ai surtout été déçue par la scène de sexe que j'ai trouvé gratuite et très mal exploitée.
J'ai pris beaucoup de plaisir à voir ce film, parce qu'il propose du suspense, de l'originalité. C'est filmé avec sobriété, un huis clos psychologique, où chaque personnage peut se révéler principal au début. La fin manque peut-être de piment, du fait de la diminution du nombre des protagonistes. Mais ça reste dans la digne lignée du cinéma espagnol.
Du lourd, du très très lourd! La Méthode nous sert un film psychologique comme on les aime, tout n'est qu'histoire de mensonges, de trahisons et de votes au sein d'un groupe fermé de candidats dont un seul sera l'élu. Suspicion et faux-semblants à la pelle.
A voir passionnément! Et vous qui choisiriez vous?
A voir passionnément! Et vous qui choisiriez vous?
Je m'attendais à quelque chose de plus acide, de plus fort, de plus profond, mais visiblement Marcelo Piñeyro n'a pas osé. On passe cependant deux heures assez époustouflantes avec nos sept candidats pour un poste de cadre, sur fond de manifestations antimondialistes dans une Madrid assiégée... Filmé intelligemment, ce huis clos nous permet de découvrir ces candidats et leurs doutes, leurs faiblesses, leurs alliances... Un moment fort de cinéma mais qui aurait pu être bien plus mordant.
Un peu de psychologie dans ce monde de brutes !
Après son compatriote Fabian Bielinsky ( décédé il y a pratiquement un an) qui décrivait si bien le marasme économique subi par son pays, et toute la corruption qui en découle; c'est au tour de l'argentin Marcelo Pineyro d'exposer sa vision du monde ultra-libéral ( cette mondialisation dont tout le monde parle sans vraiment savoir de quoi il s'agit). Justement, il transpose l'action à Madrid, qui est le lieu d'une gigantesque manifestation d'altermondialistes contre le FMI ( Fonds monétaire international) et la Banque mondiale. Ce même jour, sept candidats ( cinq hommes et deux femmes) sont sélectionnés pour un contrat d'embauche dans une grande multinationale. Au terme duquel, il n'en restera qu'un(e) ! Dans ce piège de cristal ( figuratif d'un monde sans âme, coupé du reste du monde), l'affrontement psychologique ( sous toutes ses formes) peut débuter. Comme un entomologiste, le cinéaste observe la stratégie déployée par chaque protagoniste pour éliminer ses adversaires. Cette méthode, la méthode Grönholm, tient son nom de la personne qui a imaginé ce stratagème, en infiltrant un psychologue dans un groupe de postulants. Tels des pièces d'échec, ils vont chuter les uns après les autres jusqu'au face à face final. Cette allégorie de la société actuelle démontre que l'individu est prêt à tout pour arriver à ses fins, au détriment du bien collectif ( l'argent passe avant l'individu !). Ce vrai combat ( pour un monde meilleur) se déroulait bel et bien à l'extérieur. Triste monde qui passe à côté des vraies valeurs comme...l'amour.
Après son compatriote Fabian Bielinsky ( décédé il y a pratiquement un an) qui décrivait si bien le marasme économique subi par son pays, et toute la corruption qui en découle; c'est au tour de l'argentin Marcelo Pineyro d'exposer sa vision du monde ultra-libéral ( cette mondialisation dont tout le monde parle sans vraiment savoir de quoi il s'agit). Justement, il transpose l'action à Madrid, qui est le lieu d'une gigantesque manifestation d'altermondialistes contre le FMI ( Fonds monétaire international) et la Banque mondiale. Ce même jour, sept candidats ( cinq hommes et deux femmes) sont sélectionnés pour un contrat d'embauche dans une grande multinationale. Au terme duquel, il n'en restera qu'un(e) ! Dans ce piège de cristal ( figuratif d'un monde sans âme, coupé du reste du monde), l'affrontement psychologique ( sous toutes ses formes) peut débuter. Comme un entomologiste, le cinéaste observe la stratégie déployée par chaque protagoniste pour éliminer ses adversaires. Cette méthode, la méthode Grönholm, tient son nom de la personne qui a imaginé ce stratagème, en infiltrant un psychologue dans un groupe de postulants. Tels des pièces d'échec, ils vont chuter les uns après les autres jusqu'au face à face final. Cette allégorie de la société actuelle démontre que l'individu est prêt à tout pour arriver à ses fins, au détriment du bien collectif ( l'argent passe avant l'individu !). Ce vrai combat ( pour un monde meilleur) se déroulait bel et bien à l'extérieur. Triste monde qui passe à côté des vraies valeurs comme...l'amour.
Huis-clos psychologique très prenant, dérangeant, captivant; dans un autre registre ce film m'a rappelé "Das Expérience".
Une idée trés sympatique mais un film lent au possible. Je me suis arrété a la moitié du film ( c'est trés rare ). Je pense que les roles sont trés difficiles a gérer et que les acteurs ne sont pas a la hauteur. C'est bien domage.
Peinture désenchantée d'une multi-nationale au méthode de recrutement élitiste basée sur la compétition à outrance, cette oeuvre met en avant un monde du travail actuel dégénéré dans lequel les candidats sont prets à tout, y compris laisser de coté leur dignité, pour un employeur montrant pourtant tous les signes de perversion et de machiavélisme.
Les personnages sont attachants malgré leur dents longues et l'émotion est présente, notamment dans les dernières minutes.
A voir donc pour les performances d'acteurs et la bonne réflexion sur le monde laboral d'Europe de l'ouest aux critères de sélection de ses cadres dirigeant de plus en plus draconiens au détriment du bon sens et de la morale.
Les personnages sont attachants malgré leur dents longues et l'émotion est présente, notamment dans les dernières minutes.
A voir donc pour les performances d'acteurs et la bonne réflexion sur le monde laboral d'Europe de l'ouest aux critères de sélection de ses cadres dirigeant de plus en plus draconiens au détriment du bon sens et de la morale.
Thriller avec un thème peu banal sur le recrutement en entreprise. Certes la méthode est une excellente satire sur le monde de l'entreprise, où l'égoïsme et l'individualisme règne. Mais je reste très déçu, le début avec un scénario est des personnages intéressants était prometteur, malheureusement le film s'essouffle rapidement avec une fin très moyenne. Une fois le contexte posé et les premiers candidats éliminés, l'intérêt diminue rapidement, avec en plus des scènes qui coupent le rythme (la scène des toilettes). Un thriller qui malgré un sujet intéressant, manque cruellement de tensions et d'intensité.
L'intrigue est interessante et passionnante basé sur une methode de recrutement de l'entreprise. Une certaine ambiance malsaine s'instaure avec le charisme de chaque personnage ! Puis malheuresement cette euphorie s'évapore sur le final par un ending vraiment capricieux et decevant. Un film ou il manque l'étincelle de genie !
Amusant et crispant bien quun peu caricatural. On assiste a un entretien dembauche « extrême » avec en toile de fond une manif anti-mondialiste qui
est un contrepoint parfait à labsurdité de la situation dans laquelle sont plongés ces sept requins prêts à tout pour un poste de cadre superieur. Le
huis-clos est délicieusement opressant. Aucune fausse note dans le jeu des acteurs. Mention speciale à Natalia Verbeke, horriblement souriante et
dont chaque apparition donne des frissons, et à Eduard Fernadez, le jubilatoire « macho iberico », totalement odieux. Un bon moment de cinéma
est un contrepoint parfait à labsurdité de la situation dans laquelle sont plongés ces sept requins prêts à tout pour un poste de cadre superieur. Le
huis-clos est délicieusement opressant. Aucune fausse note dans le jeu des acteurs. Mention speciale à Natalia Verbeke, horriblement souriante et
dont chaque apparition donne des frissons, et à Eduard Fernadez, le jubilatoire « macho iberico », totalement odieux. Un bon moment de cinéma
Dérangeant, captivant, cynique et teriblement actuel! Ce film ne flatte pas vraiement la nature humaine mais me semble proche de la réalité! A voir, revoir et méditer!
Très bon huit-clos dans l'univers du travail et la psychologie des personnages pendant un entretient d'embauche des plus déroutant.
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