Un film sympa un peu Robin des Bois. Un peu loin de la vérité. A l'époque j'avais suivi les folies de ce gang des postiches et ce n'était des tendres. bon le temps a passé, on enjolive les faits, on arrange les sentiments et ça nous fait un film acceptable pour tous âges.
Sans être excellent, ce Biopic sur le gang des postiches, est plutôt intéréssant.Le film retrace le parcours de ses braqueurs "spécifiques" qui semèrent le désordre durant les années 80.Un film relativement rythmé et plaisant, qui banni le contexte politique de l'époque et c'est bien dommage, car il y'avait une réfléxion intéréssante à réaliser.On appréciera les performances remarquables de Vincent Elbaz et Gilles Lellouche, et l'humour , un peu second degré distillé à petites doses tout au long du film.Le gros point noir étant d'avoir occulter le contenu politique de cette histoire, encore une fois le cinéma français est trop frileux pour s'attaquer à ce terrain.
Bon film d'action à la française,bon jeu d'acteurs,on ne s'ennuie pas dans cette plongée au coeur du Paris post Mai 68 où les Truands avaient encore du charisme.A voir car le cinéma français ne produit pas tous les jours ce genre de film de qualité.
Très film qui doit surtout son succès à la justesse de ses acteurs et au coup de baguette magique du réalisateur. On a cependant du mal à imerger immédiatement dans le film mais la suite du film reprends le dessus grace a l'attachement que l'on porte aux acteurs. Les plus observateurs auront remarqué pendant la course poursuite avec les voitures de l'époque que l'on peut distinguer le dernier 4x4 BMW ou une Renault Megane, mais bon, on ne peut pas tout voir. Un film a regarder!
Un tres bon film d'action avec de tres bon acteurs qui jouent tres bien leurs rôles.Il y'a de l'action une belle musique l'histoire est palpitante du début à la fin avec du suspens.Bref un bon film que je vous conseille si vous aimez ce style de film.
L'émotion est omniprésente dans ce film avec des personnages attachants et des situations fortes. Le scénario est bien maîtrisé et on est souvent surpris par les rebondissements. Les clins d'oeil à l'actualité de l'époque, notamment avec les flashs infos, donnent une touche de réalisme intéressante. Cela donne envie de se documenter sur ce qui s'est passé dans les années 80. Il y a aussi un livre qui raconte l'histoire de ce dernier gang. Et comme le disait le journaliste Noël Mamère : "bonjour les postiches, au-revoir votre argent".
Librement inspiré de l’affaire du gang des postiches, “Le Dernier gang” ne prétend donc pas être une reconstiution exacte et minutieuse de leurs faits d’armes, pas plus qu’une radiographie du milieu du banditisme. Du récit rocambolesque qui lui a été relaté par André Bellaïche (supposé chef de la bande), Ariel Zeïtoun (“Yamakasi”, soit largement de quoi nous faire redouter ce film) n’a conservé que ce qui se rapportait à ses thèmes de prédilection, tel le fait de se battre pour sortir de son milieu et s’élever. Pour Simon (joué par un Vincent Elbaz charismatique comme jamais) et ses amis, cette ascension passe par les braquages, qu’ils réalisent avec brio, énervant ainsi la police, parmi lesquels Milan (Gilles Lellouche, impressionnant), flic dont la traque tourne à l’obsession, et injecte de la noirceur dans un film au ton plutôt optimiste, en rupture avec le nihilisme habituel des films noirs. Plombé par une voix-off inutile, ce “Dernier gang” peut tout de même se targuer d’avoir réussi son coup, grâce, notamment, à un intéressant mélange de genres, et un casting (Pascal Elbé, Sami Bouajila, Clémence Poésy…) impeccable.
Tres bon film de gangsters ! La réalisation est tres bonne et les acteurs sont a la hauteur. Le rythme du film permet d'enchainer les scenes d'action tout en detaillant le contexte de l'epoque.Bref un tres bon moment de cinema.
L'histoire vrai du gang des postiches qui braquaient des banques au hasard à la fin des années 70.Le film manque de rythme et à certains moments même suscite l'ennui.Le personnage principal ne prend pas et on a du mal à s'y attacher.A voir malgré tout d'un point de vue historique mais on reste trés déçu.
Un polar très moyen, lourd, mal filmé. La réalisation nerveuse – à la manière d’un casse – est agaçante. Certains moments d'émotion et d’action, ainsi que la qualité des interprétations rehaussent quelque peu le niveau, mais quelque peu seulement.
La première prise d'otages en France, c'est eux. Le premier film hexagonale de gangs dans une période qui s'annonce "banditisme français" (Mesrine à venir, parmi d'autres), c'est lui. "Le dernier gang". Ou comment faire passer une bande de caïds qui ont bel et bien existé pour une pure invention scénaristique à cause de la tournure qu'essaye de leur donner le scénario. Traitée à la fois sur le mode policier, comique, tragique et suspens, l'aventure de ces bandits, au moins incarnés avec un minimum de conviction (Bouajila, aucun rôle ne lui résiste, Boujenah est parfait), fait plutôt penser à une de ces comédies américaines sur des voleurs piteux (qu'ils ne sont pas) que réellement à un polar nerveux et anthologique, pourtant tout ce que le sujet demandait. Ariel Zeitoun, plus à l'aise dans les petits casses (Yamakasi) que les gros (ici, puisqu'on sent qu'il a tendance à bâcler l'affaire), se trompe dans sa mise en image, plaçant une voix-off immonde ou laissant de côté la reconstitution historique au profit d'une histoire de potes fascinés par Mai-68 et qui veulent remettre ça. Pourquoi pas, puisque les acteurs s'en donnent à coeur joie, Lellouche s'avérant hilarant avec son look lors de la première partie. Le film démarre sur plusieurs voies, laissant le choix sur plusieurs possibilités qu'on suit avec intêret. Puis il suit son cheminement après une ellipse de deux ans, et devient à la rigueur sympa, à voir entre potes...
La promo du film sur toutes les chaines, tous les jours, avait assommé les spectaeurs avant qu'ils n'aient vu le film. Au final, un pur navet bien français d'une longueur et d'un ennui insoutenables. Une morale plus que douteuse, un romantisme mal placé. Vincent Elbaz n'est pas un acteur ? A fuir absolument, ne vous laissez pas berner par ce matraquage promotionnel.