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Un visiteur
4,0
Publiée le 18 février 2011
la réalisation a sacrifié un peu de profondeur pour le rythme, on y perd sur les personnages (celui du commissaire est très mal introduit d'ailleurs) ce qu'on gagne en légèreté. Il y a aussi un peu de déjà vu et la scène du dernier braquage est foirée, là c'est un peu bête. La balance penche tout de même du bon coté grace notamment à Elbaz qui apporte son energie positive. On remarque clémence Poésy réincarnation de Baby Doll.
L'ambiance 80's, les acteurs au rendez-vous, mais il manque je ne sais quoi qui fait que le film a du mal à montrer autre chose que des clichés... La réalisation un peu pénible n'arrange rien...
Un bon polar, trés rythmé à la réalisation soignée ou V.Elbaz assure une prestation remarquable. Ce film s'inspire de faits réels et , en tout cas nous tient en haleine jusqu'au bout. Trés bon.
Le fond du film est déjà connu et réalisé par des cinéastes sauf que cette fois c'est à la sauce française.La réalisation est pas trop mal mais le film en lui même m agace.C'est cucu de voir cet homme tombé amoureux et faire le con avec elle bref inintéressant et le scénario ne donne pas non plus envi de le voir
Comme sur l’affiche du film est noté librement inspiré des gangs des potiches, j’ai donc été voir le dernier gang par curiosité car j’avais découvert auparavant le Gang des postiches dans l’émission Faites enter l’accusé et leur histoire m’avait intrigué sur le moment. Le Dernier gang relate donc la chronique de l'ascension puis la chute de ce célèbre groupe de braqueurs parisiens qui s’était illustré dans les années 80 en commettant une trentaine d’holdup – up. Mais comme indique l’affiche, il ne faut pas voir le film comme un documentaire mais plutôt comme une fiction qui s’inspire principalement de l’histoire d’un ex postiches qui dans le film est pisté par un flic assez obsessionnel. Au départ, j’ai eu du mal a rentré dans le style de la réalisation qui au début est très speed puis le Dernier gang m’a séduit peu à peu par son naturel et la personnalité attachante de certains personnages qui contraste vraiment avec le côté artificiel du Dernier souffle d’Alain Corneau, sortie précédemment. Sinon, le film se voit comme un très bon divertissement qui enchaîne rapidement les événements soit dans l’action ou les rebondissement tout en complexifiant un peu l’histoire autour de plusieurs thèmes intéressant comme la complicité des membres du gang, la traque accrocheuse du policier qui s’est juré de faire descendre le gang , la difficulté du chef de bande à vivre son histoire d’amour ou d’assumer son rôle de père.
Le Dernier Gang est le dernier film d'Ariel Zeitoun. Il s'inspire librement du gang des postiches, probablement le plus célèbre gang de braqueurs de banques français. Connaissant le passé d'Ariel Zeitoun, et particulièrement Yamakasi, franchir le pas pour aller voir le film est déjà une étape, mais bon, le sujet est intéressant et la bande-annonce appétissante, alors laissons de coté les à priori, et c'est partit. Après quelques petites minutes de présentation rapide, le film démarre vite est mal. On est tout de suite mis dans l'ambiance : acteurs hystériques qui jouent mal (avec une super palme pour Vincent Elbaz), l'action est fouillie mais reste tout de même crédible, et la relation Elbaz-Poésy est risible. Elle, qui a un air d'ado de 14 ans et lui de Romain Duris dans Le Péril Jeune (de Romain Duris quoi...) qui sont censés nous faire croire à leur coup de foudre alors qu'il vient de la braquer, on accroche pas... Après une heure de souffrance, le film devient heureusement plus agréable. Les acteurs sont moins hystériques et plus posés, certains commencent même à avoir un jeu agréable, dont Clémence Poésy, alors qu'on aurait pas parié sur elle au début du film et bien sur Pascal Elbé qui a malheureusement un tout petit rôle. Gilles Lellouche est pour sa part très bien dans le rôle du flic obsédé par la capture de ce gang. Bien que le coté prêt à tout soit assez mal mis en valeur, le reste de son personnage est crédible et agréable. Le seul restant difficile à encaisser est Vincent Elbaz, et c'est dommage étant donné qu'il est le personnage principal du film... La deuxième moitié du film vient sauver ce qui aurait été autrement une abominable bouse, mais pas suffisamment pour en faire un bon film. Bien que très supérieur à Yamakasi, Le Dernier Gang reste quand même clairement un film à oublier très vite.
Franchement, que peut-on attendre d’Ariel Zeitoun en 2007 après une série de navets comme XXL, Une femme très très très amoureuse et Bimboland ? Pourtant il faut bien reconnaître que sur le papier, le projet était alléchant et on avait envie d’y croire : Elbaz, Bouajila et Elbé dans une histoire inspirée par celle, véridique, du fameux Gang des Postiches, une bande de petits malfrats transformistes qui braquait des banques avec brio à l’orée des années 80. Le problème c’est qu’avec Zeitoun, ça tourne vite au gang du pastiche. Tout est maladroit : la voix off est tenue par une ado horripilante qui lit son texte comme une gamine de 8 ans récite sa poésie, les personnages sont caricaturaux, et les dialogues sont atterrants voir incompréhensibles. Le souci majeur vient du fait que Zeitoun préfère détourner les yeux devant la noirceur de l’âme humaine, celle-là même qui faisait le sel des polars américains et nourrissait une réflexion profonde sur les pulsions de mort de personnages en proie à une violence intérieure brûlante et fascinante. Au lieu de cela, le réalisateur français nous sert une ode à la vie désincarnée, désarmante de naïveté, démago et décevante. D’ailleurs personne n’y croit, surtout pas les acteurs qui ont l’air de ne pas se sentir concernés et donc jouent très mal (sauf Boujenah, pour une fois tout en retenue). La palme revient cependant à l’inénarrable Gilles Lellouche en flic infiltré dans le Milieu, affublé d’un déguisement ridicule de SDF. Finalement,le film se termine aussi mal qu'il avait commencé. Bof.
Très brouillon, enchaînement des scènes trop rapide, dialogues parfois incompréhensibles... beaucoup de défauts dans ce film qui malgré tout l'emporte grâce à l'émotion qu'il transmet et aux acteurs qui s'en sortent, bien que le casting ne me plait pas vraiment... On est loin d'une évocation de gang ou biographie de gangster à l'américaine.
Largement inspiré du Gang des postiches, ce dernier gang nous fait passer un agréable moment à l'intérieur de ce groupe de malfrats. Une ambiance 80s exceptionnelle (tout comme Les liens du sang donnaient une ambiance 70s) et un jeu d'acteurs à la perfection. Malheureusement le scébar prend bien trop partie, où les voyous sont les gentils et les flics sont les méchants. C'est un film de gangsters, certes, à la manière d'un Scorsese (bon c'est pas les mêmes moyens d'accord), mais aussi unje histoire vraie, et il ne serait pas respectueux envers les familles de victimes d'accepter l'apologie de ce gang responsable de quelques morts tout de même. PS : merci pour l'antisocial de Trust en boîte.....
Les acteurs n'y sont pas. L'histoire n'y est pas. Le pathétique déborde. On a l'impression d'assister à une séance de gamins qui s'amusent à se tirer dessus avec de faux pistolets devant une caméra qu'à un vrai film avec de vrais gangster qui se respecte.