Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
On observe aussi bien le mal au travail en spectateur subjugué (le coté film noir classique, bien troussé) qu'une lutte des classes acharnée dans une suite de tableaux étouffants d'austérité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par Jérôme BEALES
Entre le film noir et le drame psychologique, L'enfance du mal est un passionnant huis-clos à l'interprétation habitée.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
Entre drame social et film noir L'Enfance du mal, premier film d'Olivier Coussemacq, joue une partition originale, servie par un trio d'interprètes captivants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Filmsactu
par Elodie Leroy
Si le scénario cultive habilement les ambigüités chez les personnages, le rythme demeure trop monotone et la réalisation d'Olivier Coussemacq manque cruellement d'envergure, peinant à captiver l'intérêt en dépit de belles prestations d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Christophe Carrière
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Parfois maladroit (...) ce film remarquablement interprété (...) s'impose comme une première oeuvre forte et prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un premier long métrage intéressant, qui séduit par son climat mais laisse plus à désirer sur la vraisemblance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Il manque à ce règlement de comptes un peu de noirceur, de trouble, d'ambiguïté pour installer un réel malaise tandis que se trament sous nos yeux les tranquilles péripéties d'un drame prévisible.
Paris Match
par Alain Spira
Interprété avec intensité, ce premier long-métrage bien mené enfonce tout de même quelques portes ouvertes dans ce genre de huis clos (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Sans véritable surprise ni vertige particulier, l'intrigue file vers son dénouement à un train de sénateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Dès la première scène (...), on est frappé par le soin qu'apporte le réalisateur au cadrage, au décor, à la lumière. (...) Manque simplement le petit brin de folie qui ferait tout décoller...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Faute de dépasser le stade du goût de l'écrit − un des éternels pièges du cinéma français −, son film ne peut guère que se rallier à une section (...) de nos films de genre nationaux complexés : (...) de ceux que la peur de prise de risques de cinéma laisse s'engoncer dans un académisme dévitalisé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Elodie Leroy
Encore une tentative louable de cinéma frappée du regrettable "syndrome du téléfilm français."
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Chronic'art.com
On observe aussi bien le mal au travail en spectateur subjugué (le coté film noir classique, bien troussé) qu'une lutte des classes acharnée dans une suite de tableaux étouffants d'austérité.
Excessif
Entre le film noir et le drame psychologique, L'enfance du mal est un passionnant huis-clos à l'interprétation habitée.
Le Figaroscope
Entre drame social et film noir L'Enfance du mal, premier film d'Olivier Coussemacq, joue une partition originale, servie par un trio d'interprètes captivants.
Filmsactu
Si le scénario cultive habilement les ambigüités chez les personnages, le rythme demeure trop monotone et la réalisation d'Olivier Coussemacq manque cruellement d'envergure, peinant à captiver l'intérêt en dépit de belles prestations d'acteurs.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
La Croix
Parfois maladroit (...) ce film remarquablement interprété (...) s'impose comme une première oeuvre forte et prometteuse.
Le Monde
Un premier long métrage intéressant, qui séduit par son climat mais laisse plus à désirer sur la vraisemblance.
Le Point
voir le point.fr
Ouest France
Il manque à ce règlement de comptes un peu de noirceur, de trouble, d'ambiguïté pour installer un réel malaise tandis que se trament sous nos yeux les tranquilles péripéties d'un drame prévisible.
Paris Match
Interprété avec intensité, ce premier long-métrage bien mené enfonce tout de même quelques portes ouvertes dans ce genre de huis clos (...).
Première
Sans véritable surprise ni vertige particulier, l'intrigue file vers son dénouement à un train de sénateur.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Dès la première scène (...), on est frappé par le soin qu'apporte le réalisateur au cadrage, au décor, à la lumière. (...) Manque simplement le petit brin de folie qui ferait tout décoller...
Critikat.com
Faute de dépasser le stade du goût de l'écrit − un des éternels pièges du cinéma français −, son film ne peut guère que se rallier à une section (...) de nos films de genre nationaux complexés : (...) de ceux que la peur de prise de risques de cinéma laisse s'engoncer dans un académisme dévitalisé.
Filmsactu
Encore une tentative louable de cinéma frappée du regrettable "syndrome du téléfilm français."