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chrischambers86
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2,0
Publiée le 25 juillet 2010
"Lentement, la longue colonie de fourmis rouges progressaient! Elles travaillaient sans relâche! Elles paraissaient si dèterminèes que rien ni personne ne semblaient pouvoir les dètourner de leur jeu"...Dans ce premier long mètrage de Stèphane Carpiaux, on passe plusieurs fois du drame vaguement psychologique au drame intimiste qui se finit malgrè tout sur une fin optimiste! Dans une petite bourgade isolèe de la forêt ardennaise, Deborah François, se raccroche à la voix de sa mère qui lui racontait des histoires quand elle ètait enfant! La belle actrice belge tente tant bien que mal à insuffler un semblant d’ènergie à cet ensemble fragile mais malheureusement l'histoire est mal ficelèe et s'englue dans les inconvènients propres! Dommage...
C'est l'histoire d'un impossible deuil et plus surement d'un impossible film. Certes, il y'a l'interpretation tout en febrilité de Deborah François(L'enfant, la tourneuse de pages), mais l'ensemble s'englue dans les ecueils propres a ces drames intimistes, ou la souffrance doit se traduire partout:lumiere crade, environnement social glauque........
Ce film, tourné en grande partie dans une région reculée du Luxembourg, est plutôt original. Il raconte la relation entre une fille devant s'occuper de son père garagiste bouleversé par la perte de sa femme et un jeune musicien devant s'occuper de sa tante acariâtre. L'ambiance pesante est bien rendue. Pour le reste, ça manque de vitesse et il n'est pas difficile de deviner ce qui va se passer.
pour ma part, j'ai trouvé ce film très bon vu ces moyens extrêmement limités, ou l'atmosphère est très bien soignées, l'interprétation magistrale, et ou Stephan Carpiaux à l'intelligence de tout jouer sur des sous-entendu plutôt que sur des déballages de belles phrases gui-mauves. et tant-pis pour les pseudo critiques presse hypnotisées par le style de cinéma MTV ou tout va vite avec des couleurs saturées et des effets de styles à deux balles. ceux là on cas acheter l'intégral des épisodes des experts.
Malgré une belle photographie du film, je n'ai pas accroché à l'histoire. On tourne autour du pot sans savoir réellement le pourquoi du comment. C'est trop vague et un manque de dialogues réels. Désolé!
l'interet d'un film ne se juge pas que sur la premiere demie heure. Pour tout dire, il faut se panner le début avec patience car c'est pénible. Ce film commence avec une redondance de pathos subit par cette jeune fille. On comprend vite que sa vie n'est pas facile mais le réalisateur rajoute des couches larmoyantes de malheurs. Ceci dit, une fois la mise en place de la situation, les personnage révèlent des caractères marqués et interessants. Les situations sont convenues mais Francois et Jugnot arrivent à faire face avec intensité. C'est le genre de film qui touche ou qui lasse selon la sensibilité.
Les personnages évoluent dans un univers d’une sobriété et d’une profondeur étonnante ; ce que certains qualifient de redondance dans la narration fait tout simplement écho à la scène de l’éolienne, leitmotiv de la vie des personnages, de la continuité du film, qui revient, comme ce travail incessant des fourmis rouges, aller-retour constant – allégorie de la temporalité, des secondes qui s’écoulent comme ces gouttes sur la vitre d’une voiture dont on imagine la présence hors-champ. Les personnages vivent, l’histoire aussi – privilégiant le silence aux mots, Stephan Carpiaux modèle un monde particulier dont l’image renvoi nettement aux silhouettes y déambulant, inconnues comme ces forêts et ces routes perdues dans une atemporalité, devant faire avec cette absence. Une profondeur et une sobriété visuelle rappelant par moment celle de, non des moindres, Manoel de Oliveira !
Juste pour Jugnot et François l'étoile! Le film est soporifique! Belles images du Luxembourg (financé par le centre du cinéma Luxembourgeois) L'histoire? Elle tient en trois lignes: La rencontre de deux paumés: l'une tentant de remplacer la mère décédée auprès du père, l'autre survivant auprès de sa tante acariatre et accaparante! Point final! Circulez!
L'actrice est intéressante, Jugnot aussi, mais on ressent quand même un exercice de fin d'études. Le scénario avait du potentiel mais le film ne l'a pas rendu. Peut être un défaut de mise en scène