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DAVID MOREAU
130 abonnés
2 230 critiques
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2,5
Publiée le 16 octobre 2008
LES BRONZES. Tout va bien du coté des Randonneurs. De la bonne humeur, de l'amitié, de l'amour, de quoi passé un agréable moment de farniente sur la Cote d'Azur.
Il fait beau. La Méditerranée est splendide. L'idée d'emmener la troupe de randonneurs à Saint-Tropez est assez curieuse pour des gens qui aiment passer leur temps à marcher sur des cailloux. Le village de Saint-Tropez s'avère bondé en cette saison estivale, ce qui le rend vite insupportable. On comprend ceux qui peuvent rester sur leur bateau... sous le regard des curieux qui déambulent sur le port. Mathieu (Vincent Elbaz) est le prototype du chieur mais qui a le talent de profiter de la vie. Cora (Karin Viard) vit sa meilleure vie en s'éclatant avec les hommes qui lui font du bien. Nadine (Géraldine Pailhas) se complet à offrir son corps de rêve à des hommes mariés. Louis (Philippe Harel) manque cruellement de joie de vivre. Éric (Benoît Poelvoorde) arnaque les gens aisés avec le sourire. Il y a des gags mais pas suffisamment efficaces. Les répliques sont correctes sans plus. On passe un moment plutôt agréable sans éclat.
J'avais vu ce film au cinéma avec un souvenir très maussade... et bien cette petite rediff sur TFX, chaîne bas de gamme de la TNT a été un vrai bonheur en cette saison estivale. On a bien ri et tous les comédiens nous ont parfaitement diverti. ----Août 2023----
Une suite un peu moins réussie que l'originale mais qui est quand même très sympathique. Quel bonheur dèjà de retrouver ce petit groupe d'amis en vacances cette fois sur la côte d'azur. Leur route va croiser à nouveau celle d'Eric (Benoit Poelevoorde), leur ancien guide lors de leur vacances en Corse. Ce dernier qui vit au milieu des jet setteurs de Saint Tropez va les entrainés dans toutes sortes d'endroits de rêve. Les personnages sont tous très bien interprétés : Manu (Vincent Elbaz) est toujours aussi déluré et fêtard alors que son frère Louis (excellent Philippe Harel) est toujours bougon. Cora (Karin Viard), elle veut profiter à fond de ses vacances pour oublier son mariage qui la rend malheureuse et Nadine (magnifique Géraldine Pailhas) est encore tombée amoureuse d'un homme marié. On suit donc avec plaisir leurs péripéties dans la ville des stars, Saint Tropez. C'est un film d'été qui détend et nous donne des envies de vacances.
Cette suite des randonneurs cherche à tirer profit de l'aspect sympathique de la bande d'amis pour faire un nouvel épisode à l'instar des Bronzés ou des colocataires de l'auberge espagnole. Pourtant si ces modèles gardent un thème similaire entre leurs différentes volets, on recherche encore ici où est la randonnée à St Tropez... Tout le casting est toutefois là, ravi de reprendre leurs rôles respectifs avec des personnages qui ont évolué et qui se sont embourgeoisés mais sans avoir de sous pour autant ! La réalisation est toujours aussi mauvaise, c'est creux, le film se cherche et le scénario est absent. Heureusement, on sourit quelque fois et on constate à nouveau que Benoît Poolvorde surclasse ses homologues.
Fan du premier opus, je suis très déçu par cette suite. Je ne mets pas 0 étoile parce que les acteurs sont vraiment sympas. Par contre les situations sont très classiques et pas passionnantes du tout! Dommage. Les meilleurs moments du film sont entre la 60ème et la 80ème minutes. Un peu tard!!!
Dix ans plus tard, on se coltine les retrouvailles ! "Les randonneurs à Saint-Tropez" n'a strictement rien à voir avec le premier film, si ce n'est réunir cette équipe, mais malheureusement pour rien...outre cette balade touristique laborieuse qu'on aura du mal à digérer. Ici, pas de randonnées (n'a de randonneur que le titre), pas vraiment de situations délicates ou marrantes, c'est bien le néant total qui nous attend. En effet, les dix dernières minutes seront les seules à proposer un minimum d'intérêt, et auraient dû occuper la quasi-totalité du film pour lui donner un digne scénario sujet à embrouilles et paniques dans le délire du premier, mais il en a été décidé autrement, tant pis.
Dans la série des projets qui n’auraient jamais du dépasser le statut de simple blague lâchée entre le fromage et le dessert, voici “Les Randonneurs à St-Tropez”. Soit la suite d’une sympathique comédie de 1997 aux accents de “Bronzés”, qui parvient à faire pire que le troisième épisode des aventures de la bande du Splendid, ce qui relève presque de l’exploit. Pourtant, et malgré les doutes qu’il était possible d’avoir, un tel ratage était quasiment impossible à prévoir, au vu des forces en présence, aussi bien derrière que devant la caméra. Car vu que, selon la formule consacrée, on ne change pas une équipe qui gagne, ce sont les mêmes qui rempilent, direction la Côte-d’Azur. Parce que pour Cora, Nadine, Mathieu et Louis, la randonnée en Corse, c’est bien d’y avoir pensé, mais non, surtout que le quatuor compte passer des vacances paisibles, sans le moindre incident. C’était sans compter sur leur rencontre fortuite avec Eric, leur ex-guide qu’ils s’étaient jurés de ne plus jamais fréquenter, mais qui sait les convaincre de le suivre, grâce à des arguments de poids tels que des liasses de billets, des yachts, ou des entrées dans les boîtes les plus selects du coin. De quoi frimer à mort, mais encore faut-il en avoir les moyens, ce qui vaut autant pour les personnages que pour le film lui-même. Car, comme beaucoup de vacanciers, ces “Randonneurs” ont dans leurs valises des tas de choses qui ne font qu’alourdir le tout, et dont on se serait bien passés : rythme, écriture et montage indigents, stéréotypes en guise de personnages (râleur de la bande, Philippe Harel ne décroche pas un seul sourire du séjour), humour ultra-prévisible, et acteurs majoritairement sous-exploités (Elbaz et Pailhas surtout) pendant que Benoît Poelvoorde rame comme quinze pour tenter de sauver ce qui peut l’être, mais ne parvient qu’à nous arracher un ou deux vagues sourires, et échoue à empêcher les “Randonneurs” de sombrer dans le port de St-Tropez.
Beaucoup moins bien que le précédent. On a une histoire très banale ressemblant à des beach-movies, et le mot “randonneur” dans le titre ne convient pas, puisqu'il n y aucune séquence de randonnée comme il en abonde dans le premier.
Le film n'apporte rien par rapport au premier si ce n'est qu'on perd les beaux paysages de Corse. On s'ennuie, on rigole peu et il n'y a aucune originalité. En bref c'est pas terrible.
Dix ans après leurs vacances corses, les quatre copains randonneurs de Philippe Harel sont cette fois sur la Côte d'Azur, à Saint-Tropez... le lieu de tant de nanars ou comédies ratées. Il y retrouvent par hasard leur ancien guide -Benoît Poelvoorde- aujourd'hui affairiste, qui les introduit dans la jet-set locale. Malgré la sympathie qu'on a pour les comédiens, on constate vite que le réalisateur et co-auteur Harel n'a pas grand'chose de plus à faire dire ou à proposer à leur personnage. Ils sont si communs, le scénario et le film dans son ensemble manquent si visiblement d'ambition et d'imagination qu'on a parfois le sentiment d'une comédie bassement commerciale, fondée sur ses têtes d'affiche, dont celle de Poelvoorde qui, tout en faisant son Poelvoorde -qu'on aime au demeurant- a au moins le mérite de donner du tonus à la comédie. Conjointement à une histoire paresseuse et à des gags rudimentaires, Harel met en scène des figures typées et contrastées tout en clichés: le ronchon (Harel lui-même), la fille sage (G.Pailhas) et la délurée (K.Viard). Quelques séquences peuvent amuser; le reste du temps, on flirte avoir l'indifférence ou l'ennui.
J'ai eu plaisir à retrouver ces 5 petsonnages dont les caractères et petitesses sont bien observés. Le scénario n'est pas génial certes, mais on ne s'ennuie pas et les clichés qui collent à St Tropez sont bien exploités. Sympa.
La productrice Adeline Lécallier nous gratifie avec ses fumeux "Randonneurs à St Tropez" d'un sous Max Pécas ! Habituée sur 15 ans à pondre des daubes, celle-ci dépasse néanmoins toutes les autres ! Cette oeuvre est d'un ridicule et d'un pathétique hors norme ! En espèrant que dans dix ans, un troisième opus situé à Pornic, la maison de retraite, ne vienne pas obscurcir nos salles avec cette "bande de cons" non renouvelée, s'pa Joyce ?
Grosse déception ! Là où dans le premier opus Philippe Harel avait un scénario qui mettait en place des personnages pathétiques mais humains tous à égal importance dans le film, ici dans ce second opus on a droit a premiers rôles (ceux qui sont devenus plus ou moins bankable depuis 10 ans) et aux seconds rôles (ceux qui le sont moins donc !)... Poelvoorde fait son cinoche habituel (mais qu'on sent fatigué), Elbaz solide et Karine Viard complètement déchainée ; puis à côté la pauvre Géraldine Pailhas (toujours superbe) a doirt à un rôle de potiche aux dialogues vides et Philippe Harel lui-même dans un rôle interchangeable avec celui de 1998... Un ensemble sauvé par les cabotinages (prévu et écrit tel que...) de Viard et Poelvoorde mais insiffisants car trop individualistes et pas assez proche des autres personnages. Les rires sont donc moindres et en fin de compte on se dit que Harel doit avoir besoin de pognon ou que, peut-être présomptueux, il a eu envie de faire le coup (d'ailleurs pitoyable mais millionnaires) des "Bronzés 3". Facilité donnn médiocrité.
Les randonneurs version 1997 ne m'avait déjà pas spécialement emballé et je ne vois donc pas l'intérêt de cette suite. Et puis St Tropez c'est un peu has-been non ? Philippe Harel alterne vraiment le bon et le pire dans ses réalisations. Ici que dire si ce n'est qu'il n'y a pas de scénario, que rien ne se passe, que l'on s'ennuie ferme, que les seuls sourires qui nous sont arrachés sont dus à Karine Viard mais que cela ne sauve rien, que l'interprétation est au raz des pâquerettes et que la mise en scène est encore en-dessous. Non vraiment je ne trouve pas une seule qualité à cette comédie au rabais. Une de plus.