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Un visiteur
4,5
Publiée le 23 décembre 2012
trés bon film, avec dés le début l'effet de rupture qui prédomine (inspiré de "L'homme qui murmurait a l'oreille des chevaux"): la rupture principale du film est la cavaliére qui par le choc de s'étre fait tromper par son homme et de la mort de son cheval va se retrouver brisé puis se noyer dans le boulot pour finir par oublier le cheval (les autres rupture son une fille qui arréte les chevaux car son doudou n'est plue vivant, le grand maitre de l'équitation qui a faillit arréter les chevaux par lassitude de la mentalité de leurs cavalier). Comme dans "L'homme qui miurmurait a l'oreille des chevaux" la ruptutre se comble pour disparaitre grace a la rencontre des 3 personnage qui se reconstruise enssemble pour revenir a la situation initiale.
Magnifique. Simplement ça. Des scènes de dressage juste magnifique et surtout de l'émotion. Rien qu'en regardant ce film j'ai gagné en maturité équestre. Subsiste la question, est ce qu'un non cavalier peut aimer ce film ? Je pense que oui. Pour la beauté de cette philosophie si particulière. A voir.
C'est toujours la même chose avec Valérie Guignabodet : un cœur gros comme ça, beaucoup de clichés et un talent de réalisatrice assez limité. Certes c'est moins pire que « Mariages! », la fin évite joliment la niaiserie et Mathilde Seigner est comme souvent très bien, mais bon... Ce portrait de femme essayant de se reconstruire après un accident de cheval et la mort de son mari (qui la trompait : c'est moche) n'a quand même rien de bien passionnant, et si certaines scènes font leur petit effet et que le personnage interprété par Sami Frey n'est pas sans un certain charme, on oublie cela très vite, ces quelques qualités ne suffisant pas à sortir « Danse avec lui » d'une réelle banalité. Pas un supplice donc, mais vraiment rien d'indispensable.
Je suis pas sûre qu'il mérite une note comme ça, mais je suis tellement amoureuse des chevaux que... Il faut bien avouer que regarder ce film sans aimer les chevaux demande une bonne dose de curiosité ou d'ouverture d'esprit... Cela dit, on peut se prendre de passion pour l'univers équestre et pour ces magnifiques animaux que sont les chevaux après avoir vu ce film. Je passe sur le côté thérapie de Mathilde Seignier (égale à elle-même, c'est à dire très bonne), et je voudrais juste mettre en avant le jeu magnifique des chevaux, parce que oui, on a vraiment le sentiment que les animaux "jouent" leur rôle, alors qu'ils sont juste naturels... Sinon, oui, le film est sur un tempo très lent et avec des belles images...
Très décevant ! Le film dure environ 2 heures. Pourtant, pendant 1h30, c'est un vrai régal ! Bien que ne connaissant rien à l'univers équestre, j'ai été conquis. Les chevaux sont magnifiques ; superbement dirigés par leurs dresseurs, ils "jouent" merveilleusement leur rôle. Sami Frey est fascinant, d'une élégance extraordinaire. Mathilde Seigner est parfaite dans son rôle de jeune femme en pleine période de questionnement. On plane dans un monde magique, d'une grande poésie. Mais subitement, tout s'effondre, le spectateur reçoit une énorme claque, totalement imprévisible. On tombe brutalement de son petit nuage. Il faut supporter une scène de cul d'une effarante nullité, des scènes de violence minables, et une fin consternante. On ressent comme une volonté de priver le spectateur de son plaisir... c'est très choquant !
Ce qui peut paraitre des longueurs ne sont que des instants qui prêtent à réfléchir. Seigner toujours parfaite et Samy Frey très convaincant en moralisateur.
le cheval comme thérapie humaine....soit.Pas mal joué avec un Samy Frey campant magnifiquement un misanthrope. Quelques jolies scènes de dressage, mais au total un film qui ne m'a guère enthousiasmé
Quelle émotion, quelle puissance, cette histoire entre cheval et humain est d'une telle force, j'en suis tout retourné. Moi qui croyais que les chevaux n'étaient là que pour donner un peu plus de pittoresque à nos campagnes, comme les arbres. Promis, mon prochain Cocktail Molotov est pour mon boucher chevalin, bâtard !
De belles scènes de dressage. Scénario prévisible à pleurer... A conseiller uniquement aux cavaliers. Ce que je suis, heureusement j'ai pu profiter du film.
Nul besoin d'être passionné des chevaux pour aprécier ce film. Ici, les chevaux symbolisent le désir et l'accomplissement de sa vie sexuelle et affective...Biensûr, on peut regarder ce film au premier degré, mais il est intéressant de noter que chaque personnage du film a un cheval qui le symbolise : Le vieux cheval blanc (le cheval école), c'est Samy Fray, le cheval noir, objet de tous les désirs, c'est le cascadeur etc. J'ai vraiment aimer ce film emprunt de simplicité et véhiculant l'émotion sans jamais verser dans la niaiserie. De plus, la musique est sublime.
Film très lent sur une personne qui réapprend à vivre et aimer au contact des chevaux et sur le lien qui unit le cavalier et sa monture. Ca ravira les fans d'équitation, il est vrai que de ce côté là, on y voit de belles choses. Mais alors autrement, c'est lent, lent, lent... On croirait un téléfilm Fr3... Le rôle joué par Sami Frey n'est pas crédible et surjoué. On a pendant 1h30 une fausse noirceur qui pèse. Même si Mathilde Seigner s'est plutôt bien appropriée son personnage, on s'ennuit, attendant en vain une action qui n'arrivera pas.
Un beau film mais un peu trop tiré en longueur. Sinon, de bons acteurs, une histoire touchante, de très beaux décors avec des chevaux magnifiques ! A voir, surtout pour ceux qui aiment l'équitation !
Dès la première scène on sent que le visionnage sera long, très long. Valérie Guignabodet ouvre son film sur un parallèle entre Alexandra (Mathilde Seigner) et un cheval sautant des obstacles. Les deux finiront par se rétamés, l'une en se faisant larguer par son mari ayant mis enceinte une autre femme puis mourant dans un accident de voiture et l'autre s'écroulant sur un obstacle. Le parallèle ainsi que le mise en situation d'Alexandra frôlent dors et déjà le cliché, chose que le film continuera de côtoyer jusqu'à son final. Le problème se trouve tout d'abord dans le scénario vraiment lourd dans sa construction, cliché dans son évolution narrative, mal trouvé dans ses dialogues mais le pire dans tout ça reste peut-être les personnages. Ils subissent à tour de rôle tout les malheurs possibles, chaque personnage parait avoir connu une vie des plus difficile. Et ce ramassis de malheur conduit forcement à des lourdeurs. A part ça le film se veut positif, narrant la vie d'Alexandra (Ayant bien entendu connu de nombreux malheurs) qui cherche à se remettre en selle, apprendre à vivre, à aimer, à chevaucher de nouveau. Pour cela elle fait la rencontre d'un maître sensei de l'équitation (également maître des phrases toute faites) suite à une panne d'essence en plein milieu de la forêt (?!). Entre des phrases tel que 'Ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin.' et autre 'Se contenter de peu et jouir de chaque chose', Alexandra reprendra petit à petit du poil de la bête. Venons en à la mise en scène qui se trouve être très épurée parfois beaucoup trop, tombant malgré elle dans un classicisme pompeux. la bande originale ou plutôt devrais-je dire le thème musical que l'on entends à chaque passage dit "d'émotion" rajoute encore plus à la lourdeur d'un film déjà pas facile à supporter. On conclura sur la prestation de Mathilde Seigner à l'image du film c'est à dire fade. On peine à être passionné devant ce mélodrame de Valérie Guignabodet, les lacunes sont globales à tel point qu'on aura du mal à en retirer du positif.