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Philippe C
101 abonnés
1 059 critiques
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2,5
Publiée le 5 janvier 2012
le cheval comme thérapie humaine....soit.Pas mal joué avec un Samy Frey campant magnifiquement un misanthrope. Quelques jolies scènes de dressage, mais au total un film qui ne m'a guère enthousiasmé
Faut aimer les chevaux et encore moi j'aime bien mais un documentaire sur les chevaux sur arte et c'est réglé. Faut aimer les longueurs pour ça je vais à la piscine et c'est réglé. Faut aimer les navets pour ça....... je mange autre chose et c'est réglé, car j'aime pas les navets. Encore un film qui ne va pas augmenter la moyenne du cinéma français. Si mathilde seigner à pris du plaisir à faire ce film tant mieux pour elle.
Une suite de clichés dont on a du mal à croire qu'on ait pu les rassembler tous ensemble... Sami Frey est pitoyable en « vieux maître » courbé par le poids des ans et du lumbago et Mathilde Seigner égale à elle-même (vulgaire et médiocre). Le propos est convenu et creux et la réalisation de Valérie Guignabodet aggrave encore les choses par une lourdeur désespérante. La fin du film est encore plus consternante... Même ceux qui aiment les chevaux ne peuvent se satisfaire d'un tel pensum !
Je pense qu'il faut aimer les chevaux pour apprécier ce film, et moi en grande passionée de chevaux j'ai beaucoup aimé !
J'ai deux choses essentielles à reprocher à ce film : le début et la fin..
Le début, je trouve trop confus, les jours se mélange, on ne sait plus vraiment quand on est.. Ce qu ifait qu'au début je m'attendais à un film pourrit...
Finalement, une fois qu'elle arrive au domaine de Samy Frey, le film reprend de l'intêret ! L'histoire est un peu dure à accrocher, même en étant passionnée de chevaux, j'ai détesté le personnage de Samy Frey qui incarne l'homme de cheval comme je les déteste. En revanche, les chervaux sont sulbimes et les décors aussi ( vive la Picardie ! ). Le jeux des acteurs n'est pas mauvais, et petite dédicace à Jean François Pignon lorsqu'il galope avec ses chevaux sur la plage.. Sublime !
En ce qui concerne la fin... Je m'attendais à quelque chose de plus directe, mais là j'ai l'impression qu'il manque quelque chose..
Enfin, je pense que les passionnés de chevaux ne sont pas déçus ?
DANSE AVEC LES CHEVEAUX. En selle pour le nouveau film de Valerie Guignabodet. Pas maladroit et bien dressé, le couple Seigner/ frey fonctionne et passe avec succés les obstacles.
Je n'aime pas Mathilde Seigner et la réalisation genre téléfilm de France 3 est ennuyeuse. Mais une étoile pour les quelques émotions qui ressortent de Danse avec lui.
Ce film laisse une impression mitigée. Pour le bon, j'ai apprécié le jeu de Mathilde Seigner face aux chevaux et de Sami Frey, la façon de filmer les chevaux, l'ambiance générale et la bande son. Pour le moins bon, le scénario m'a paru léger, avec des maladresses (l'heroïne qui tombe en panne d'essence dans un chemin forestier: farfelu) et la partie "coeur" n'est pas crédible, sans doute parce que les acteurs y paraissaient peu impliqués. De toute évidence, la réalisatrice est une passionnée de chevaux, mais pour le reste...
Dès la première scène on sent que le visionnage sera long, très long. Valérie Guignabodet ouvre son film sur un parallèle entre Alexandra (Mathilde Seigner) et un cheval sautant des obstacles. Les deux finiront par se rétamés, l'une en se faisant larguer par son mari ayant mis enceinte une autre femme puis mourant dans un accident de voiture et l'autre s'écroulant sur un obstacle. Le parallèle ainsi que le mise en situation d'Alexandra frôlent dors et déjà le cliché, chose que le film continuera de côtoyer jusqu'à son final. Le problème se trouve tout d'abord dans le scénario vraiment lourd dans sa construction, cliché dans son évolution narrative, mal trouvé dans ses dialogues mais le pire dans tout ça reste peut-être les personnages. Ils subissent à tour de rôle tout les malheurs possibles, chaque personnage parait avoir connu une vie des plus difficile. Et ce ramassis de malheur conduit forcement à des lourdeurs. A part ça le film se veut positif, narrant la vie d'Alexandra (Ayant bien entendu connu de nombreux malheurs) qui cherche à se remettre en selle, apprendre à vivre, à aimer, à chevaucher de nouveau. Pour cela elle fait la rencontre d'un maître sensei de l'équitation (également maître des phrases toute faites) suite à une panne d'essence en plein milieu de la forêt (?!). Entre des phrases tel que 'Ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin.' et autre 'Se contenter de peu et jouir de chaque chose', Alexandra reprendra petit à petit du poil de la bête. Venons en à la mise en scène qui se trouve être très épurée parfois beaucoup trop, tombant malgré elle dans un classicisme pompeux. la bande originale ou plutôt devrais-je dire le thème musical que l'on entends à chaque passage dit "d'émotion" rajoute encore plus à la lourdeur d'un film déjà pas facile à supporter. On conclura sur la prestation de Mathilde Seigner à l'image du film c'est à dire fade. On peine à être passionné devant ce mélodrame de Valérie Guignabodet, les lacunes sont globales à tel point qu'on aura du mal à en retirer du positif.
Il faut aimer les chevaux certes mais il faut aussi aimer tout le reste !.Les deux personnage sont formidablement intérprétés par Mathilde Seigner et Sam Frey qui déborde de charme et de "sagesse".Un beau moment de cinéma.
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18 103 critiques
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2,0
Publiée le 10 octobre 2020
Un couple brisé, des cavaliers brisés, des chevaux brisés la vie est incroyablement dure pour les personnages de ce film. Alexandra (Mathilde Seigner) cavalière a perdu en même temps son cheval de saut d'obstacles, son mari capricieux Paul (Antony Delon) tué dans un accident de voiture sur le chemin de l'hôpital où elle a été emmenée après sa chute. Le cavalier (Samy Frey) est brisé par ses chutes par le temps et la solitude. Le cheval a été brisé par un mauvais dressage, soucieux des profits et des résultats rapides. L'Espagnol Miguel (Jean-François Pignon) est également en réparation de son travail de cascadeur. Dans Danse avec lui les acteurs sont très bon mais il y a trop de gens et de choses brisées pour moi. Donc je donne deux étoiles au film et en me forçant...
Un très beau film, une histoire touchante et une plongée dans un monde d'écoute et de respect. Le décor est superbe et le ryhtme lent nous fait vibrer avec les animaux.
Valérie Guignabodet , réalisatrice de la savoureuse comédie chorale "Mariages" avec déjà Mathilde Seigner, change de registre en signant le drame intimiste "Danse avec lui". Autant prévenir tout de suite , ce film qui ravira les filles friandes d'équitation joue à fond la carte du malheur , donne le cafard au spectateur et finit même par l'endormir. En effet , ce film nous raconte l'histoire d'une cavalière traumatisée dans l'enfance par une chute de cheval qui venant de perdre son mari volage ayant mis enceinte sa maîtresse , reprend goût à la vie en remontant à cheval avec l'aide d'un moniteur équestre mystérieux. Bref , c'est pas un film qui provoque l'euphorie , mais qui à tendance à vouloir qu'on plaigne les personnages jusqu'au bout (du genre , Mon Dieu les pauvres , qu'est-ce qui ont souffert !)Ce qui devient très agaçant , d'autant que Guignabodet utilise un seul morceau de musique pendant tout le film , un morceau qui au bout d'un moment devient un véritable supplice , car la réalisatrice l'utilise de manière démonstrative comme le font les meilleurs films américians tire-larme. Du côté de l'interprétation , Mathilde Seigner est néanmoins appréciable dans un rôle inhabituel , elle réussit facilement à jouer la déprimée (avec un scénario comme celui la , ce n'est pas difficile) , quand à Sami Frey , sa prestance ainsi que sa voix aussi troublante qu'enveloppante , convient parfaitement au rôle du moniteur. "Danse avec lui" est donc un film à peine sauver par ses acteurs , qui pourtant promettait avec son début plutôt original et mettant tout de suite dans le bain. Malheureusement , le scénario digne d'un dépressif plombe tout le reste et finit par agacer tout comme l'utilisation de la musique. Avec "Danse avec lui" on n'est pas loin des mélodrames américains tire-larme , un comble pour le cinéma français qui avait jusque la réussit à éviter d'en faire. Merci Valérie Guignabodet.