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À l'heure où le téléfilm fabriqué à la chaîne a fait oublier ce qu'était mettre en scène, le film d'Ozon lave le regard (...) Ceux qui sentiront là de la naphtaline n'auront pas compris que réaliser, c'est encore et toujours interroger la forme.
Derrière le kitsch hollywoodien (...) le portrait implacable d'une femme-forteresse. Envoyez les violons, déroulez le générique rose bonbon : le nouvel Ozon est paré comme un mélo hollywoodien des années 50.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voir Angel (...) c'est déguster des bonbons à la rose qui dissimulent un goût de poivre. On croit plonger dans de la guimauve (...) tandis qu'un goût de piment nous prend à la gorge.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le nouveau film de François Ozon est ainsi plus dans l'air du temps qu'il n'y paraît, ce qui ne l'empêche pas, et c'est heureux, d'investir sur le charme d'une reconstitution historique impeccable.
François Ozon peint avec humour, tendresse et brio le destin en dents de scie de cette héroïne au tempérament bien trempé magnifiquement incarnée par Romola Garai qui révèle là toute l'étendue et la subtilité de son talent.
(...) Angel regarde du côté du mélodrame hollywoodien des années 1950 (...) mais le trait d'Ozon n'en a pas l'élégance, il est au contraire lourd, empesé.
Le choix du second degré, du kitsch, donne lieu à des scènes hilarantes. Cependant, le réalisateur ne semble pas assumer son parti pris sur la longueur.
Pour donner le change, le film fait semblant de se calquer sur l'esthétique du personnage, cela donne une sorte de pâtisserie pour folle à château (...) Il faut avoir le coeur bien accroché pour digérer autant de pastel et de pistache.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sa malice finit bien sûr par se retourner contre le cinéaste, qui fonce tête baissée, sûr de son coup, et ne regarde bientôt plus son histoire à force d'être courbé sur elle
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
À l'heure où le téléfilm fabriqué à la chaîne a fait oublier ce qu'était mettre en scène, le film d'Ozon lave le regard (...) Ceux qui sentiront là de la naphtaline n'auront pas compris que réaliser, c'est encore et toujours interroger la forme.
Les Inrockuptibles
Avec Angel, le retour en grâce est manifeste.
Paris Match
(...) On marche à fond comme à l'opéra, et on marcherait même sur les genoux si Angel nous le demandait.
Positif
Fidéle au genre de la reconstitution idéologique et fictive pour l'écran, le film d'Ozon reflète des stéréotypes idéologiques de notre époque.
Télérama
Derrière le kitsch hollywoodien (...) le portrait implacable d'une femme-forteresse. Envoyez les violons, déroulez le générique rose bonbon : le nouvel Ozon est paré comme un mélo hollywoodien des années 50.
Brazil
Ozon a pris le soin de rendre son oeuvre trés esthétique grâce aux décors, costumes et image soignés.
Elle
Voir Angel (...) c'est déguster des bonbons à la rose qui dissimulent un goût de poivre. On croit plonger dans de la guimauve (...) tandis qu'un goût de piment nous prend à la gorge.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le nouveau film de François Ozon est ainsi plus dans l'air du temps qu'il n'y paraît, ce qui ne l'empêche pas, et c'est heureux, d'investir sur le charme d'une reconstitution historique impeccable.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
François Ozon peint avec humour, tendresse et brio le destin en dents de scie de cette héroïne au tempérament bien trempé magnifiquement incarnée par Romola Garai qui révèle là toute l'étendue et la subtilité de son talent.
Le Monde
(...) histoire exaltante, dérisoire et cruelle (...)
Le Parisien
(...) [ce film] offre, fort d'une remarquable mise en scène, une version piquante et moderne d'Autant en emporte le vent.
MCinéma.com
Ce n'est rien révéler que de mentionner la destinée d'Angel car ici, tout est cousu de fil blanc. Un fil de soie, de la plus douce des étoffes.
Metro
Nous, en tout cas, on adore.
Ouest France
(...) Un brillant exercice de style qui enrichit un peu plus encore une filmographie pratiquant joliment l'art du contre-pied.
Télé 7 Jours
(...) François Ozon se frotte au mélo romanesque et surprend.
Cahiers du Cinéma
(...) Angel regarde du côté du mélodrame hollywoodien des années 1950 (...) mais le trait d'Ozon n'en a pas l'élégance, il est au contraire lourd, empesé.
Le Journal du Dimanche
Le choix du second degré, du kitsch, donne lieu à des scènes hilarantes. Cependant, le réalisateur ne semble pas assumer son parti pris sur la longueur.
Libération
Pour donner le change, le film fait semblant de se calquer sur l'esthétique du personnage, cela donne une sorte de pâtisserie pour folle à château (...) Il faut avoir le coeur bien accroché pour digérer autant de pastel et de pistache.
Première
Angel se laisse admirer, oui. C'est beaucoup, mais c'est tout...
Score
Le biopic de cette pasionaria de roman Harlequin a beau devenir irritant, le regard de François Ozon, plus peste que jamais, l'emporte.
Chronic'art.com
Sa malice finit bien sûr par se retourner contre le cinéaste, qui fonce tête baissée, sûr de son coup, et ne regarde bientôt plus son histoire à force d'être courbé sur elle
aVoir-aLire.com
Un beau spectacle un peu vain sauvé par quelques réjouissances visuelles.