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Malheureusement on est loin de la quatrième dimensions ....
Je ne peux pas expliquer de maniéré rationnelle mais l'histoire est molle , manque de suspens , manque de dynamisme , manque d’intriqué , manque de scenario .... bref, c'est pas du tout au niveau de la quatrième dimension.
C'est mieux que les feux de l'amour , mais beaucoup plus .
Je ne peux pas expliquer de maniéré rationnelle mais l'histoire est molle , manque de suspens , manque de dynamisme , manque d’intriqué , manque de scenario .... bref, c'est pas du tout au niveau de la quatrième dimension.
C'est mieux que les feux de l'amour , mais beaucoup plus .
Redzing
Dans les années 60-70, la Amicus (concurrente de la plus célèbre Hammer) s'est adonnée à plusieurs films d'horreur à sketch. Dernier de la série, "From Beyond the Grave" prend pour fil rouge un propriétaire de magasin d'antiquités, qui va voir quelque clients tenter de l'escroquer. Mais pour chacun, l'objet qu'ils auront ainsi mal acquis se retournera contre eux... On retrouve deux traits caractéristiques de ce type de films : un côté assez moraliste, et des histoires inégales. Néanmoins, on prend un certain plaisir à voir ces "escrocs" en prendre plein la figure, et certaines histoires offrent une ambiance et décors tout à fait sympathiques (surtout la première et la dernière). D'autant plus que l'on y croise quelques acteurs british de renom, tels que Peter Cushing ou Donald Pleasence (accompagné de sa fille !). Divertissant.
Caine78
J'admets être un peu conquis d'avance devant ce genre de productions fantastiques anglaises des 70's, et ce même si les films à sketchs ne sont pas forcément ce que je préfère. Reste que sans être totalement égales, chaque histoire reste d'honnête facture,
spoiler:
curieusement un peu morale
, ce qui n'empêche pas un minimum de noirceur et d'inventivité, Kevin Connor ne compensant pas trop mal son absence de génie et ses moyens limités par un travail relativement soigné. Surtout, il peut compter sur la fine fleur du cinéma fantastique de l'époque pour apporter un plus évident à l'ensemble, que ce soit les excellents David Warner, Peter Cushing, Ian Bannen et bien sûr le grand Donald Pleasence, accompagné pour l'occasion de sa fille, à la présence presque aussi troublante... Ce n'est pas du grand art, mais les amateurs du genre et d'humour macabre, avec ce que cela implique d'excès et de limites, devraient y trouver sans mal leur mal leur compte : c'est l'essentiel.
, ce qui n'empêche pas un minimum de noirceur et d'inventivité, Kevin Connor ne compensant pas trop mal son absence de génie et ses moyens limités par un travail relativement soigné. Surtout, il peut compter sur la fine fleur du cinéma fantastique de l'époque pour apporter un plus évident à l'ensemble, que ce soit les excellents David Warner, Peter Cushing, Ian Bannen et bien sûr le grand Donald Pleasence, accompagné pour l'occasion de sa fille, à la présence presque aussi troublante... Ce n'est pas du grand art, mais les amateurs du genre et d'humour macabre, avec ce que cela implique d'excès et de limites, devraient y trouver sans mal leur mal leur compte : c'est l'essentiel.
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