Avis : Antarctic Journal - Page 2

Ce film nous plonge au fin fond de l'antartic, et nous retransmet bien le froid et la perdition des 6 explorateurs. C'est un très très bon film asiatique avec de très grand acteurs et une bande son à couper le souffle! A voir absolument si vous ne l'avez jamais vu car il vous glacera le sang!!!!

Moyen... Ca semble commencer comme "The Thing" mais on a droit plutôt à un sous "Projet Blairwitch" dans l'Antartique. Ce n'est évidemment pas filmé de la même manière, le lieu est également différent, mais le fond n'est ni plus ni moins un plagiat. Alors certes, les déserts immaculés sont superbes, mais ce cinéma minimaliste flirte avec une philosophie bas de gamme (la nature de l'Homme comparée à celle de Mère Nature, l'apprentissage dans un monde hostile, etc...), mais finalement, d'une durée harassante, il n'en reste pas grand'chose. Quelques scènes d'angoisse pourtant viennent pimentées ce long-métrage, notamment les scènes (répétitives ?) de chutes dans les crevasses (qui, cela m'étonnerait, ne sont pas un symbole de la fissure qui se créée entre les membres de l'expédition). Les scènes fantastiques sont plutôt suggestives. La paranoïa très bien rendue par de bons acteurs, les scènes psychologiques l'emportant sur les philosphiques. Au final, ce n'est pas que ce film soit mauvais, mais traité différemment, il aurait du cartonner et c'est ce qui me déçoit un peu. On terminera par une note positive : l'image de ces immensités blanches est véritablement superbe.

Le film se pare d'une très bonne ambiance appuyée par une musique appropriée, un bon montage et de bonnes performances d'acteurs.

"Antarctic Journal" ne laisse pas indifférent mais ne saura pas convaincre tout le monde.

Un vrai bonheur

C'est lent très lent donc forcément ca devient long...Et puis c'est bourré d'incohérences!! Mais qui peut croire en ces aventuriers!!??
Malgrés un début prometteur, ce "Antartic Journal" se perd dans l’Antarctique et on espère qu'on ne le retrouvera jamais... juste un visionnage suffit.

Il s'agit plus d'un film psychologique qu'un film d'épouvante à mon goût. Mystérieux ok, mais 2h15 de "nous sommes perdus en arctique et j'en peu plus" c'était un peu long à mon goût.
Mais les acteurs interprête bien leur rôle et c'est ce qui sauve le film à mon sens.

Un film qui aurait pu etre super, l'ambiance y est, les paysages magnifiques, mais sa traine souvent trop en longueurs et certains acteurs peu crédible, vraiment dommage car l'idée est là.

J'ai été un peu décu par cet "Antarctic journal". Le film a, certes, des qualités (principalement la photo) et parvient à distiller un certaine atmosphère mais j'ai eu l'impression qu'il hésitait entre le film d'aventure, le fantastique et le film philosophique sans jamais parvenir à se déterminer ou à puiser les éléments les plus intéressants de ses différents styles (je sais que les langues asiatiques sont parfois difficiles à traduire en français mais certaines réflexions philosophiques relèvent un peu des pages psycho de "Jeune et jolie"!). Comme certains de mes collègues internautes, "Antarctic Journal" m'a beaucoup rappelé le Projet Blairwitch dans le sens où, durant tout le film, on sent qu'il y a quelquechose de menaçant sans jamais le voir vraiment. Ceci dit, Blairwitch avait une capacité effrayante et innovante (à l'époque) que n'a pas ce film qui n'est pour moi qu'un petit film d'atmosphère sympatoche mais... frileux!

Y avait de l'idée. Pas trop bien construit, manquant de frisson ... mais on ne s'ennuie pas non plus pendant le visionnage. Décors magnifiques, acteurs tout à fait corrects.

Aucune trouille, aucun effet ni visuel ni auditif qui soit stressant, rien de rien. Avec en prime une fin qui n'en n'a que le nom, Antartic Journal n'a rien pour lui.

Film très lent et très compliqué à rentrer dans histoire. Folie collective?! Malédiction? Je dirais plutôt incompréhension totale du spectateur et cela jusqu’à la fin où on s’attend à des réponses mais la encore... on reste en attente

Il s'agit d'un objet cinématographique rare. Ce film , qui s'inscrit dans un processus initiatique , fait ressentir une émotion particulière , presque indiscible , tant elle se détache de la conception habituelle que l'on peut voir dans les films de ce type.L'ambiance qui s'en dégage n'est que plus renforcée par ce décor blanc , unique et sacré , qui complete le casting d'acteurs brillants , ayants tous l'humilité de s'écraser face à l'immensité à laquelle ils se mesurent.
Les personnages sont confrontés à leurs propres limites , et doivent se demander pourquoi ils entreprennent ce périple.
Remarquable fiction , ou la surenchère d'effets spéciaux et visuels n'est pas de mise ; la puissance évoquatrice de la solitude intérieure ,les émotions plus ou moins dévelopées , les psychologies blessées sont l'élément clé du film.Film maitrisé de A à Z par le fait déja tres bon de posséder un budget conséquant ,et de renoncer à la facilité , qui aurait été de donner corps aux hallucinations des acteurs. Au lieu de cela , tout ici est suggéré et les intensions des personnages ne sont pas facilement identifiables...
Mention spéciale à la superbe photographie de ce film ,et au jeu millimétré des acteurs, qui me font décidement prendre conscience que la Corée produit des films de très grande qualité.

Etrange huis-clos en plein air aux confins de l'Antarctique...

On sent très fort la volonté de faire monter le stress et le suspense chez le spectateur à mesure que les deux longues heures que dure le film se déroulent mollement, mais c'est plutôt la lassitude qui l'emporte... Deux heures, c'est long, mais là c'est interminable ! Regardez plutôt "Hansel et Gretel" du même réalisateur.

je suis assez mitigé... il y a de très très bonne chose (l'histoire, le scénario, les images,...) mais il y a aussi pas mal de choses inutiles (des plans qui ne servent à rien, des rôles pas très bien joué par moment...)
dommage.

Dans un decor immacule, une equipe coreenne tente d'atteindre le point le plus recule de l antartique. Soit.
Mais là, pas de chance pour eux, le Grudge a decide d y faire du hors-piste. Alors ne trouvez rien d anormal si vous y croisez sa cabane au fond de la piste blue et un asticot geant dans un sachet de soupe Knoor.
Point fort: le paysage.
Point faible: avec un pas de plus ils auraient repousse les limites de ce point.