Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Faire coexister le dehors, les autres et soi-même sans jamais quitter cette irrépressible et envahissante conscience de soi, tel pourrait être le paradigme qui tient toute la mise en scène du film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Revenant sur le motif, comme on le dit d'un peintre, Jacques Nolot trouve chaque fois la distance qui lui permet d'éviter le naturalisme. À la recension documentaire, il préfère pratiquer la soustraction au profit d'une intransigeante simplicité. (...) Et le requiem de la scène finale, dont nous ne dévoilerons que la majesté, nous transporte bien au-delà.
L'Obs
par Pascal Mérigau
Face au film, et même si a priori il se sentait éloigné du personnage, le spectateur n'est jamais voyeur, il est parfois complice, et toujours proche. Une manière de tour de force en douceur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Il y a un réel plaisir à retrouver Jacques Nolot à chaque nouveau film (...). Plaisir encore que cette singularité donne désormais régulièrement de ses nouvelles sans ignorer les bénéfices et le drame, au cinéma comme en amitié, de la rareté.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avant que j'oublie n'est pas un film sinistre, loin de là. C'est un film où les corps et la parole circulent dans un drôle de balet, où la vie se débat d'autant plus farouchement qu'elle remet en permanence son ouvrage sur le métier, où la réinvention de soi s'impose comme l'horizon sans cesse repoussé du possible.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
C'est une oeuvre du présent (...), mais aussi du passé, méthodiquement récapitulatif, balayant à coup de longs dialogues des pans entiers d'une vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Le film rappelle cette catégorie de gâteaux industriels : cassants à la surface, tendres en dessous. La douceur empoisonnée du film vient de cette dialectique-là.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Jacques Nolot a quelque chose d'un poète, et son troisième film, à l'énergie fatiguée, charme et touche.
Positif
par Eithne O'Neill
Sorte de chronique intime, la mise en scène est lente, elliptique et sobre (...) Malgré des longueurs et une certaine morosité, l'humour côtoie l'ombre de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
(...) va-tout exaltant travaillé par le vertige de l'autobiographie, film tendu et (très) cru sur l'homosexualité, où, d'exclusion sociale en corps à corps tarifés, on ne cesse au fond de payer (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par François Forestier
Il faut se laisser prendre par cette étrange dérive poétique, ce monologue d'un homme avec lui-même, carnet de route impudique. (...) C'est beau, intrigant, inattendu. Comme le film.
Télérama
par Jacques Morice
Rarement l'antienne de l'humour comme politesse du désespoir aura si bien convenu qu'à cette autofiction où la crudité est encore une mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Anne Diatkine
Il y a de l'humour dans les dialogues de ce film clanique, qui ne regarde résolument pas ses spectatrices sans que ce soit forcément réciproque.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La rédaction
Sombre et complaisant, dans ses bavardages et ses répétitions des mêmes scènes.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec une terrible lucidité et une grande crudité, Nolot se flagelle en place publique dans une oeuvre inégale dont on aime la démarche intransigeante, même si elle n'est pas totalement aboutie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Chronic'art.com
Faire coexister le dehors, les autres et soi-même sans jamais quitter cette irrépressible et envahissante conscience de soi, tel pourrait être le paradigme qui tient toute la mise en scène du film.
L'Humanité
Revenant sur le motif, comme on le dit d'un peintre, Jacques Nolot trouve chaque fois la distance qui lui permet d'éviter le naturalisme. À la recension documentaire, il préfère pratiquer la soustraction au profit d'une intransigeante simplicité. (...) Et le requiem de la scène finale, dont nous ne dévoilerons que la majesté, nous transporte bien au-delà.
L'Obs
Face au film, et même si a priori il se sentait éloigné du personnage, le spectateur n'est jamais voyeur, il est parfois complice, et toujours proche. Une manière de tour de force en douceur.
Cahiers du Cinéma
Il y a un réel plaisir à retrouver Jacques Nolot à chaque nouveau film (...). Plaisir encore que cette singularité donne désormais régulièrement de ses nouvelles sans ignorer les bénéfices et le drame, au cinéma comme en amitié, de la rareté.
Le Monde
Avant que j'oublie n'est pas un film sinistre, loin de là. C'est un film où les corps et la parole circulent dans un drôle de balet, où la vie se débat d'autant plus farouchement qu'elle remet en permanence son ouvrage sur le métier, où la réinvention de soi s'impose comme l'horizon sans cesse repoussé du possible.
Les Inrockuptibles
C'est une oeuvre du présent (...), mais aussi du passé, méthodiquement récapitulatif, balayant à coup de longs dialogues des pans entiers d'une vie.
Libération
Le film rappelle cette catégorie de gâteaux industriels : cassants à la surface, tendres en dessous. La douceur empoisonnée du film vient de cette dialectique-là.
MCinéma.com
Jacques Nolot a quelque chose d'un poète, et son troisième film, à l'énergie fatiguée, charme et touche.
Positif
Sorte de chronique intime, la mise en scène est lente, elliptique et sobre (...) Malgré des longueurs et une certaine morosité, l'humour côtoie l'ombre de la mort.
Première
(...) va-tout exaltant travaillé par le vertige de l'autobiographie, film tendu et (très) cru sur l'homosexualité, où, d'exclusion sociale en corps à corps tarifés, on ne cesse au fond de payer (...)
TéléCinéObs
Il faut se laisser prendre par cette étrange dérive poétique, ce monologue d'un homme avec lui-même, carnet de route impudique. (...) C'est beau, intrigant, inattendu. Comme le film.
Télérama
Rarement l'antienne de l'humour comme politesse du désespoir aura si bien convenu qu'à cette autofiction où la crudité est encore une mise en scène.
Elle
Il y a de l'humour dans les dialogues de ce film clanique, qui ne regarde résolument pas ses spectatrices sans que ce soit forcément réciproque.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Sombre et complaisant, dans ses bavardages et ses répétitions des mêmes scènes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Avec une terrible lucidité et une grande crudité, Nolot se flagelle en place publique dans une oeuvre inégale dont on aime la démarche intransigeante, même si elle n'est pas totalement aboutie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr