Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Un film choral où les destins de six paumés s'entremêlent de façon très habile.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Dominique Borde
(...) le charme de ce film mosaïque est de faire traverser le drame par des instants de comédie. Au bord des larmes, on grimace un sourire et une humanité réaliste et émouvante transparaît, un peu comme dans les comédies italiennes de la grande époque.
Metro
par Jérome Vermelin
Le scénario manque de véritable enjeu dramatique, mais on se prend au jeu grâce à des comédiens impeccables et à une bande son pop-rock qui ponctue avec justesse le parcours des uns et des autres.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
[Martin Valente] essaie (...) d'apporter des couleurs nouvelles au tableau de société (...) Iltente aussi d'alterner les tonalités de son récit, partagé entre la comédie ici et le drame ailleurs (...) Mais tout ça sans qu'au bout du compte l'ensemble parvienne à se dégager d'une forte sensation de déjà trop vu.
Télérama
par Juliette Bénabent
(...) rien de bien neuf, des personnages déjà vus bien qu'impeccablement interprétés (...) La cause semble entendue quand, miracle, le film s'anime (...) les personnages du pharmacien (...) et de la jeune mère héroïnomane (...) prennent corps (...) et leur improbable tandem fait enfin surgir un peu de grâce et d'émotion dans ce film impressionniste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Qu'est qu'un film choral ? Robert Altman, aux Etats-Unis, lui donna ses lettres de noblesse avec Short Cuts (1993). Le malheur est que le succès de ce dernier engendra une kyrielle d'avatars plus insipides les uns que les autres, dont la vogue n'est hélas pas éteinte. Fragile(s) en est, cette semaine, le désespérant exemple.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Si dans la première demi-heure (...) le film se regarde avec plaisir, on entre ensuite dans une période certes sympa mais un peu décevante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Force est de reconnaître que si le résultat n'est pas honteux, il n'est pas non plus très enthousiasmant (...) une comédie dramatique qui malgré de bonnes intentions et un beau casting déçoit. Ce second long métrage est plombé par une structure narrative artificielle et son trop plein de personnages principaux.
Première
par La rédaction
(...) ne convainc jamais. Trop d'artifices et de grosses ficelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Audrey Zeppegno
Les accidentés de la vie de FRAGILE(S) (...) ont tous quelque chose de nous. Alors fatalement, on s'attache... jusqu'à ce que l'effet miroir se dissipe sous le coup d'une mise en scène décousue qui ne voit pas plus loin que le bout de la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Jean-Pierre Guerand
Le maigre plaisir que distille ce film se mesure au diapason de l'amour qu'on porte à ses interprètes : François Berléand trop envahissant dans son éternel numéro de bougon, Jean-Pierre Darroussin en sous régime et une jolie révélation, Sara Martins.
aVoir-aLire.com
par Marie Bernard
L'écriture passe en force, avec des dialogues comme des situations manquant de subtilité, la mise en scène de fluidité et la distribution des rôles d'audace. Au final, un spectacle sans grande ambition, sauvé de la platitude la plus totale par la qualité de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film qui ressemble à d'autres avec les sempiternels Darroussin, Gamblin, Berléand, spécialistes de la tragi-comédie de moeurs. Mais il y a mieux (...) Ici l'émotion est plaquée sur un récit moraliste stigmatisant toute déviance. Pour faire passer la pilule, on tente de faire diversion avec une flopée de " running gags " navrants (...) Bref, circulez, y a rien à voir...
20 Minutes
Un film choral où les destins de six paumés s'entremêlent de façon très habile.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) le charme de ce film mosaïque est de faire traverser le drame par des instants de comédie. Au bord des larmes, on grimace un sourire et une humanité réaliste et émouvante transparaît, un peu comme dans les comédies italiennes de la grande époque.
Metro
Le scénario manque de véritable enjeu dramatique, mais on se prend au jeu grâce à des comédiens impeccables et à une bande son pop-rock qui ponctue avec justesse le parcours des uns et des autres.
Ouest France
[Martin Valente] essaie (...) d'apporter des couleurs nouvelles au tableau de société (...) Iltente aussi d'alterner les tonalités de son récit, partagé entre la comédie ici et le drame ailleurs (...) Mais tout ça sans qu'au bout du compte l'ensemble parvienne à se dégager d'une forte sensation de déjà trop vu.
Télérama
(...) rien de bien neuf, des personnages déjà vus bien qu'impeccablement interprétés (...) La cause semble entendue quand, miracle, le film s'anime (...) les personnages du pharmacien (...) et de la jeune mère héroïnomane (...) prennent corps (...) et leur improbable tandem fait enfin surgir un peu de grâce et d'émotion dans ce film impressionniste.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Qu'est qu'un film choral ? Robert Altman, aux Etats-Unis, lui donna ses lettres de noblesse avec Short Cuts (1993). Le malheur est que le succès de ce dernier engendra une kyrielle d'avatars plus insipides les uns que les autres, dont la vogue n'est hélas pas éteinte. Fragile(s) en est, cette semaine, le désespérant exemple.
Le Parisien
Si dans la première demi-heure (...) le film se regarde avec plaisir, on entre ensuite dans une période certes sympa mais un peu décevante.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Force est de reconnaître que si le résultat n'est pas honteux, il n'est pas non plus très enthousiasmant (...) une comédie dramatique qui malgré de bonnes intentions et un beau casting déçoit. Ce second long métrage est plombé par une structure narrative artificielle et son trop plein de personnages principaux.
Première
(...) ne convainc jamais. Trop d'artifices et de grosses ficelles.
Score
Les accidentés de la vie de FRAGILE(S) (...) ont tous quelque chose de nous. Alors fatalement, on s'attache... jusqu'à ce que l'effet miroir se dissipe sous le coup d'une mise en scène décousue qui ne voit pas plus loin que le bout de la mélancolie.
TéléCinéObs
Le maigre plaisir que distille ce film se mesure au diapason de l'amour qu'on porte à ses interprètes : François Berléand trop envahissant dans son éternel numéro de bougon, Jean-Pierre Darroussin en sous régime et une jolie révélation, Sara Martins.
aVoir-aLire.com
L'écriture passe en force, avec des dialogues comme des situations manquant de subtilité, la mise en scène de fluidité et la distribution des rôles d'audace. Au final, un spectacle sans grande ambition, sauvé de la platitude la plus totale par la qualité de son interprétation.
L'Humanité
Un film qui ressemble à d'autres avec les sempiternels Darroussin, Gamblin, Berléand, spécialistes de la tragi-comédie de moeurs. Mais il y a mieux (...) Ici l'émotion est plaquée sur un récit moraliste stigmatisant toute déviance. Pour faire passer la pilule, on tente de faire diversion avec une flopée de " running gags " navrants (...) Bref, circulez, y a rien à voir...