Note moyenne
3,4
12 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'Humanité
Retour dans le passé du cinéma et de la société soviétiques avec une comédie musicale lucide liée aux errements de l'époque.
Le Figaroscope
(...) Un mélange détonant de glamour hollywoodien et d'atmosphère soviétique.
Le Monde
Grandiose et parodique, Loin de Sunset Boulevard alterne un ton de feuilleton romanesque et l'inventaire de scènes de genre codées (...).
Libération
Dans ce beau film du désenchantement, (...) le caractère le plus singulier est celui d'un scénariste blasé, figure emblématique d'une utopie artiste qui n'avait plus que ses beaux yeux (... ) pour pleurer.
MCinéma.com
On peut reprocher au film un certain classicisme dans sa forme et quelques longueurs, mais il réserve par ailleurs de grands et savoureux moments comme les scènes de comédies musicales de la " Hollywood rouge ".
TéléCinéObs
A la fois drame historique, reconstitution plutôt inspirée des tournages dantesques et réflexion sur la place de l'artiste, Minaev signe une fresque qui mérite le déplacement.
Télérama
Cette peur diffuse finit par s'infiltrer jusque dans les intrigues à l'eau de rose qui ravissaient les foules et dont Minaïev fait mesurer, peu à peu, l'angoissante gaieté forcée.
Cahiers du Cinéma
C'est (...) en s'évadant de son sujet que Minaïev (...) invente, avec le secours d'excellents acteurs, des scènes d'une belle étrangeté, mêlant délicatesse, amertume et ironie, autour de la relation platonique entre les deux héros (...)
Les Inrockuptibles
Du beau travail, un beau mélodrame, mais cela manque de souffle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Positif
Minaïev réalise (...) un remarquable travail de lumière, entre le très sombe et la surexposition. Beaucoup moins habile, le scénario, et ses chevilles par trop visibles.
Première
La reconstitution d'époque, le mélange de réalité et de fiction, ainsi que le jeu distancé des acteurs, tiennent plus de l'imagerie kitsch que de la fresque escomptée.