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    Pardonnez-moi
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    165 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2012
    Comme la plupart des films de Maïwen...on s'ennuuuuie!!! au secours! j'ai dû me forcer pour terminer ce navet. Son seul bon film est Polisse. Pour les autres, à jeter.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2013
    Un thérapie familiale coup de poing. C'est dur et éprouvant mais sincère et humain.
    floramon
    floramon

    80 abonnés 1 422 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    j'ai trouvé le film super intéressant même si à certains moments on est horriblement mal à l'aise, j'ai trouvé le film bien fait avec un certain rythme.
    dougray
    dougray

    237 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2012
    Pour son premier film derrière la caméra, l’actrice Maiwenn confirme son beau retour sur le devant de la scène, après son one one-woman show "Le Pois chiche", en reprenant plus ou moins les mêmes ficelles, adaptées pour le grand écran. Pour ceux qui en doutaient encore, Maiwenn est une écorchée vive ayant un besoin viscérale de régler ses comptes avec son passé, et plus précisément ses blessures d’enfance. Battue par son père, poussée dans le show-biz par une mère actrice n’ayant jamais percée et projetant son ambition sur sa fille, il faut dire que l’enfance de la néo-réalisatrice n’a pas été des plus roses. La scène lui avait permis d’exprimer ce mal-être au public. "Pardonnez-moi" (qui débute par une représentation du spectacle) lui permet de passer la vitesse supérieure. Rien ne laisser cependant présager un talent de mise en scène particulier chez Maiwenn et qui pouvait laisser craindre un film sous forme de captation de spectacle. Et c’est sans doute la plus belle surprise du film ! Car Maiwenn ne se contente pas de laisser tourner sa caméra et impose un style tout à fait à part s’inspirant tant des productions tournés façon faux documentaire (voir "Le Projet Blair Witch") que du fameux dogme scandinave si cher à Lars Von Trier, le rythme et la musique en plus. C’est néanmoins plutôt du côté de Thomas Vinterberg et de son "Festen" qu’il faut chercher si l’on tient à faire un parallèle fidèle avec ce "Pardonnez-moi". On retrouve dans ces 2 films le thème central des secrets de familles et des sujets tabous (ici l’enfance maltraité, l’infidélité, l’avortement…) ainsi que le refus de toute concessions, les scènes étant abordées de façon très frontale. Le sujet hautement autobiographique permet également à Maiwenn de brouiller comme jamais la frontière entre réalité et fiction (les origines bretonnes du père et magrébines de la mère, l’utilisation d’images d’archives personnelles…), accentuant ainsi le malaise du spectateur et la réussite du film. Elle est d’ailleurs au centre de l’intrigue et se livre à corps perdu face aux fantômes de son passé (la terrible scène de la poupée face à son père est remuante tout comme les confidences de Violette à sa psy). Le reste du casting est tout aussi époustouflant, Maiwenn révélant également un autre talent : celui de pousser ses acteurs de leurs retranchements tout en leur laissant une belle marge d’improvisation. Et il faut dire qu’on n’a jamais vu Pascal Greggory aussi éblouissant dans ce rôle de père handicapé des sentiments, qu’on devine (qu’on espère ?) rongé par la culpabilité, Marie-France Pisier aussi pathétique en mère indigne, Aurélien Recoing aussi touchant en père de substitution, Hélène de Fougerolles aussi fragile ou encore Mélanie Thierry aussi mignonne. Je reprocherai néanmoins au film de parfois trop sublimer l’obsession de son héroïne (et donc de sa réalisatrice) en se souciant assez peu des victimes collatérales de son règlement de comptes (à savoir ses 2 sœurs qui ne semblent jamais lui tenir rigueur de quoi que ce soit bien longtemps) et en dressant un portrait assez peu flatteur de son compagnon (qui n’a jamais un geste tendre envers elle et doute même de la réalité de ses blessures). Peut-être aurait-il fallu, par souci d’objectivité (et surtout pour éviter la critique du manichéisme ou de la vengeance) que Maiwenn remette davantage son personnage en cause ou qu’elle lui adjoigne un compagnon attentionné. Pour le reste, la réalisatrice a néanmoins l’intelligence de ne pas condamner définitivement ses personnages et de garder la famille soudée. Un film perturbant au final étonnement optimiste qui marque la naissance d’une réalisatrice prometteuse et qui aurait largement mérité le César du meilleur premier film (surtout à la place de "Je vous trouve très beau").
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 septembre 2023
    Sortie il y a presque vingt ans, ce film mêler de fièvre et de sang annoncer déjà la naissance d’une réalisatrice prometteuse. Tourner à la fois comme un reportage et comme une fiction, «Pardonnez-moi» s’avérer être aussi bien un récit initiatique hors norme qu’une véritable étude de la famille dysfonctionnelle. Si on sent parfois que Maïwenn utilise ce film comme un expiatoire, il s’agit tout de même d’un récit assez universelle, car le film aborde certes la famille dysfonctionnelle, mais aussi la maternité, l’importance des frères et sœurs. Au final, quand on regarde le film, c’est moins bien qu’ADN ou MON ROI, mais cela reste toutefois un joli exquis et cela annonce déjà la couleur.

    Maïwenn, qui tient le rôle-titre, brille dans un personnage à sa mesure et offre une performance tout à fait bouleversante. On comprend sa nomination au César du meilleur espoir féminin, même si par la suite elle s’est révéler meilleure réalisatrice que comédienne. Pascal Gregory très bien ce père refermer sur lui-même et autocentré. Si Hélène de Fougerolles impréssione en second rôle, c’est surtout Marie-France Pisier qui épate oscillant entre humour et macabre, simplicité et tragique. On se rend compte à nouveau à quel point c’était une actrice exceptionnelle.

    Film brouillon comme il y en a tant, «Pardonnez-moi» reste tout de même à voir, car il signe le début aussi innocent que passionnant d’une jeune cinéaste qui s’est révélé être une des plus grandes cinéastes françaises. À classer aux côtés de «La Fille Publique» sortie en 2013, ce film est le portrait d’une innocente broyée par les conventions.
    Maxime P.
    Maxime P.

    66 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 novembre 2006
    Le premier film en tant que réalisatrice de Maiwenn est incontestablement une réussite. Parce qu’il fallait vraiment en avoir pour réaliser ce film quasi autobiographique mêlant vidéo d’archives de Maiwenn jeune , montrant déjà les douleurs qu’elle a éprouvé , une réalisation caméra au poignet soit avec un simple camescope numérique ou une caméra pro. Ce choix de film qui au départ ne fait pas très sérieux est en réalité un atout considérable. On est plus dans un cinéma ou le scénario est le fil conducteur mais dans du cinéma-vérité ou les acteurs ne jouent pas mais ils ont justes à être les personnages et du coup on ne voit plus la frontière réel-fiction. Car le film de Maiwenn lui sert à exorciser l’enfance douloureuse qu’elle a vécu avec son père , ce film est donc un cri de détresse de la part de la réalisatrice qui avec une violence psychologique intense dans la plupart des scènes nous touche au plus profond. C’est un film dur , qui nous met quelques peus dans une sorte de malaise car la distance si infime entre réalité et fiction n’a jamais était aussi destabilisante. Une réussite technique réalisé avec le coeur et les tripes ou Maiwenn est sidérante comme tous les autres comédiens. A découvrir.
    Flotibo
    Flotibo

    52 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 octobre 2011
    J'étais pressé de voir Polisse, dernier film de Maïwenn, mais c'était avant de voir Pardonnez-moi. Sans discuter de ses choix de mise en scène qui m'ont laissé perplexe, c'est vraiment un problème de fond. Quel est l'intérêt de déblatérer tous ses problèmes de famille sur grand écran ? Certains parleront de psychothérapie, mais pour cela, il aurait était indispensable que Maïwenn s'autocritique également. J'ai vraiment eu le sentiment que tout le monde en prend pour son grade, certainement à juste titre, mais que elle, n'est qu'une victime parfaite et innocente. Déplorable malgré une mise en scène originale et une bonne prestation d'acteurs.
    Alex'cine
    Alex'cine

    27 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2013
    Maïwenn signe ici son premier film qui n'est pas une grande réussite contrairement au fameux Polisse ! Ici Maïwenn mélange la biographie de sa vie avec des vidéos incrustées de son enfance et le portrait au vitriol d'une famille déchirée par plusieurs évènements marquants tous révélés durant le film... Mais je n'ai pas aimé le jeu entre la biographie et la fiction, soit on choisit de raconter une fiction soit on raconte sa vie, mais je trouve que se servir de vidéo personnelle pour montrer que oui, comme l’héroïne du film, elle aussi à souffert dans son enfance, qu'elle avait (peut-être) un père violent c'est un peu facile pour rajouter quelques minutes à un film assez court. Puis, il faut se méfier lorsqu'on alterne les plans caméra à la première personne et caméra "classique" qu'on a bien filmé le même plan ! ça évite de se retrouver dans la scène du gâteau d'anniversaire avec une Maïwenn sale avec la caméra classique et une Maïwenn toute propre avec la caméra à la première personne... Bref, un début de réalisatrice prometteur mais pas encore concluant.
    Pascal I
    Pascal I

    752 abonnés 4 120 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2012
    Thème délicat et interprétations scotchantes de Maïwenn et de P. Gregory terrifiant de justesse ! Un lâché prise complet, acide et tonitruant. Un facilité de dialogue déconcertante et quel caractère ! Un affrontement dantesque car solitaire avec une excellente maîtrise. Dommage que l'intensité (forte) retombe souvent et que la fin devienne un peut trop consensuelle, formatée. La construction, déconstruction et reconstruction hypothétique avec tous ses tourments, douleurs et surtout souffrances, sont révélées avec une telle proximité qu'on en reste abasourdi. Un drame au vrai sens du terme, dans la durée. A découvrir ! 3.5/5 !!!
    elisa2102
    elisa2102

    138 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2010
    Mäiween est tout simplement une excellente actrice : Elle ose et n'a peur de rien.
    floflo2204
    floflo2204

    81 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2011
    Pardonnez-moi est un film très étrange, on passe du rire aux larmes en quelques minutes ( la scène du déjeuner très étrange ). Néanmoins c'est un film qui vaut le détour. Maiïwenn nous peint ici son tableau familial duquel on reste scotchés mais c'est aussi un très beau film pour un premier long-métrage. En bref un film à voir.
    aldanjah
    aldanjah

    66 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2009
    Un film que l'on doit à Maïwenn, ici scénariste, réalisatrice, productrice et surtout actrice. Un coté autobiographique, même si elle a déclaré à propos de son personnage "Ce n'est pas réellement moi dont il s'agit. Ce qu'elle vit est tout ce que j'aurais aimé qu'il m'arrive". Cette Violette est survoltée, pleine de rage, et c'est sans pincettes qu'elle règle ses comptes avec son passé et notamment sa famille. Un coté démesuré voir excessif qui me dépasse un peu, mais qui est à l'image des séquelles de l'enfance de son personnage. Un film original.
    @placeoflucas
    @placeoflucas

    25 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2023
    Un film poignant sur la papier mais, placé entre les mains encore faibles de Maïwenn et ajouté à une direction d'acteur incertaine, le sujet est partiellement décomposé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    Pour son premier film en tant que réalisatrice, Maïwenn s'offre "Son festen" dont elle reprend les grands principes. Dans ce déballage dramatico-cradingue sur la famille et ses dégâts, Maïwenn pointe du doigts les dysfonctionnements des liens du sang et règle très probablement ses comptes personnels au passage. Une entreprise honnête, sincère quoique trop conceptuelle et trop référencée. Alors oui, cette image sale, cette galerie de coupable qui crève l'écran (Pascal Greggory en tête, ce côté cinéma-guérilla et tous ces climax ne sont pas inintéressants, mais encore une fois, le cinéma français a été et est capable de bien mieux.
    Nelly M.
    Nelly M.

    94 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 novembre 2006
    J'ai trouvé l'ensemble trop frontal à mon goût, avec le risque de se fâcher avec le parent et/ou l'éducateur imparfait qui vit en chacun de nous. Soit, cette caméra invasive était nécessaire à Maïwenn : tous les battus, violés (et également toutes les femmes engrossées) par leur père, et qui n'ont pas pu le dire enfants, devraient lui en être reconnaissants. Mais il manque le pourquoi de cette violence paternelle sur cette enfant-là précisément, tout comme des explications sur la nymphomanie maternelle, ça reste biberonnant, renvendicateur d'amour en paroles et finalement assez comme il faut pour que, tant que le bébé est petit, les apparences soient sauves !
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