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Jardins en automne accompagne la dérive heureuse d'un homme qui descend tous les niveaux de l'échelle sociale. (...) Une légèreté surnaturelle, bien que faite d'actions et de situations simples et familières à chacun d'entre nous, envahit le monde.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...) cet amour de la vie, de l'amitié, de l'abandon à l'ivrognerie partagée, est aussi amour du travail poussé à la minutie. C'est bien pour ça qu'on l'aime, cette fable de nos temps inquiets, leçon de savoir-vivre.
(...) si le "message" est maigre, prévisible et contestable, la manière de filmer est d'une autre tenue (...) Ce jeu avec les apparences et les conventions du spectacle (...) est une forme supérieurement civilisée de mise en scène.
Les scènes s'étirent, les idées se contrarient, certaines déplairont (le portrait des squatters peut irriter), mais les trouvailles, une irrésistible visite dans un entrepôt de cercueils notamment, sont à ce prix (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) sa caméra se balade, en plans séquence très élaborés des quartiers chics des ministères aux squatts nichés du côté des périphériques, elle capte toujours le drolatique et le loufoque.
(...) la richesse du film est celle d'un bric-à-brac de situations doucement décalées, parfois inattendues (...) "Jardins en automne" propose, en fait, une définition juste et réjouissante de la liberté concrète.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La temporalité du fi, dédramatisée, répétitive, lâche, permet facilement au spectateur d'en lire et d'en anticiper, avec appétit, les arabesques vagabondes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Jardins... est un pied de nez constant au politiquement correct. (...) Bref une fable exquise sur le sens des valeurs, la réconciliation et le carpe diem.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) "Jardins en automne", c'est davantage qu'un accident, plutôt une fatigue chronique. Un film de trop, un film pour rien, déjà vu, qui pèse de tout son poids de énième comptine saugrenue réalisé par un sélène hédoniste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
Jardins en automne accompagne la dérive heureuse d'un homme qui descend tous les niveaux de l'échelle sociale. (...) Une légèreté surnaturelle, bien que faite d'actions et de situations simples et familières à chacun d'entre nous, envahit le monde.
L'Humanité
(...) cet amour de la vie, de l'amitié, de l'abandon à l'ivrognerie partagée, est aussi amour du travail poussé à la minutie. C'est bien pour ça qu'on l'aime, cette fable de nos temps inquiets, leçon de savoir-vivre.
Les Inrockuptibles
"Jardins en automne" est (...) le film le plus curatif, déstressant, qu'on puisse imaginer.
Cahiers du Cinéma
(...) si le "message" est maigre, prévisible et contestable, la manière de filmer est d'une autre tenue (...) Ce jeu avec les apparences et les conventions du spectacle (...) est une forme supérieurement civilisée de mise en scène.
Elle
C'est burlesque, absurde, et ça devient carrément loufoque quand apparaît la maman du premier ministre (...)
L'Obs
Les scènes s'étirent, les idées se contrarient, certaines déplairont (le portrait des squatters peut irriter), mais les trouvailles, une irrésistible visite dans un entrepôt de cercueils notamment, sont à ce prix (...)
Le Figaroscope
(...) sa caméra se balade, en plans séquence très élaborés des quartiers chics des ministères aux squatts nichés du côté des périphériques, elle capte toujours le drolatique et le loufoque.
Le Monde
(...) la richesse du film est celle d'un bric-à-brac de situations doucement décalées, parfois inattendues (...) "Jardins en automne" propose, en fait, une définition juste et réjouissante de la liberté concrète.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Magicien de la fantaisie, Otar Iosseliani livre avec "Jardins en automne" un vibrant plaidoyer pour le retour à la quiétude existentielle.
Positif
La temporalité du fi, dédramatisée, répétitive, lâche, permet facilement au spectateur d'en lire et d'en anticiper, avec appétit, les arabesques vagabondes.
Première
Jardins... est un pied de nez constant au politiquement correct. (...) Bref une fable exquise sur le sens des valeurs, la réconciliation et le carpe diem.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Ouest France
C'est touffu et confus, et même parfois délayé ou raté. Mais il y a toujours le charme de sa fantaisie et de sa liberté.
Paris Match
(...) cette brocante cinématographique est un sympathique film d'anars, il est malheureusement un peu trop... anarchique.
TéléCinéObs
Mention spéciale à Michel Piccoli (...)
Télérama
(...) on reste sur sa faim. (...) Heureusement, le dénouement, tout de lyrisme mélancolique, rétablit in extremis un charme effiloché.
aVoir-aLire.com
Plein de belles promesses et d'espoirs désamorcés, "Jardins en automne" présente les symptômes d'un film prématurément fané.
Chronic'art.com
(...) "Jardins en automne", c'est davantage qu'un accident, plutôt une fatigue chronique. Un film de trop, un film pour rien, déjà vu, qui pèse de tout son poids de énième comptine saugrenue réalisé par un sélène hédoniste.
Score
(...) amateurisme du résultat (...)