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Votre avis sur Peur(s) du noir ?
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Peurs du noir est un film poisseux . Ont l'apréçis comme les vices et la perversité malsaine . ça joue sur les angoisses , j'avoue il faut être un peu maso .hummm c'était bon...
"Peur(s) du noir" a comme atout principal son originalité : une pièce collective autour du thème de la peur, en dessins animés utilisant uniquement le noir et le blanc. Peur de mourir, angoisse du monstre, visions cauchemardesques et sanglantes, ou bien peur d'un paysage effrayant, d'une métamorphose imprévue... ces six variations sont véritablement flippantes. Et c'est, après l'originalité du film, le seul atout qu'il propose. car en fait, de cette étrange série (fortement déconseillée aux enfants : sexe, vulgarité, décapitations, et complexité du montage) ne sort qu'une vague sensation d'écoeurement. L'ensemble n'est pas si cohérent qu'on le dit, ou du moins il l'est à condition de mettre de côté le montage imprévisible et complètement abstrait. C'est-à-dire que le projet ne tombe pas dans l'inégalité, les morceaux ayant tous en commun ce noir et blanc utilisé d'une manière toujours renouvellée. Les rajouts musicaux sont excellents, les techniques utilisées souvent crédibles, mais dans ces six oeuvres (dont on oubliera simplement la dernière, incompréhensible histoire d'un homme chauve dans une maison sans sortie), dont certaines jouent au départ de la caricature avec exagération, il manque une réelle distinction de la personnalité de chacun : évidemment, on sait faire la différence entre 3D et coups de crayons, mais les obligeances sont tellement spécifiques qu'au final, les courts-métrages finissent par se ressembler - ce qui est peut-être voulu, pour créer un malaise, et justement une fameuse cohérence - . Mais on est un peu frustré de n'aperçevoir seulement le style de chacun, et de ne pas vraiment pouvoir les dissocier. A l'exception de l'excellent épisode sur le monstre des marais, qui contient une véritable particularité esthétique et une concentration plus large dans l'atmosphère et le paysage, le concept du collectif reste bloqué à cette barrière-là. Et puis, sinon, des intermèdes insignifiants - et qui n'ont pour but, apparemment, que de faire durer un p
Voilà un film qui se voulait effrayant, j'ai ri tellement je l'ai trouvé grossier, dénué d'intérêt et de sens. Très clairement ce film à été fait pour soi-même, pour la presse et un microcosme d'individus capables d'idolâtrer un film sous le simple prétexte que ce dernier est "artistiquement différent"... Pas étonnant qu'une dizaine de personnes est quittée la salle avant la fin (du jamais vu).
Cette pseudo "œuvre" raconte 4 petites histoires de peur du noir. Mais ces dernières sont, soit totalement prévisibles, absurdes, incompréhensibles ou avec de la violence gratuite. Finalement on ne comprend pas l'intérêt de nous raconter ces histoires, les morals sont inexistantes ou digne du CP.
Cependant le pire se cache encore entre chaque histoires qui sont coupées ou "reliées" (mais cela voudrait dire que l'ensemble forme un tout) par deux éléments :
1/Un homme qui promène 4 chiens assoiffés de sang et qui les lâchent à tour de rôle sur un enfant, un ouvrier, une femme (où le chien décide non pas de l'attaquer à la gorge, mais sous la jupe... la classe... Pourquoi ?) et... suspense pour le dernier je risque de ruiner la fin du "film".
2/ Une femme qui parle en voix off sur des dessins de carrés, triangles et ronds semblable à un écran de veille de PC, qui raconte des idioties qui se veulent clairement profondes voir même donneuses de leçon avec des thèmes comme "le racisme c'est mal", "un riche est-il meilleur qu'un pauvre", et une tirade sur "le loup est une bête pour l'homme, mais l'homme n'est-il pas une bête pour le loup.. sauf que les loups eux ne se tuent pas entre eux" c’est trop profond… manquait juste « la guerre c’est mal, la paix c’est mieux ! »
Bref un film qui peut devenir culte par sa nullité, son manque de sens et de cohésion. Bravo encore à la presse d'avoir donnée de bonne note (ont-ils vraiment vu ce film ?)
Cette pseudo "œuvre" raconte 4 petites histoires de peur du noir. Mais ces dernières sont, soit totalement prévisibles, absurdes, incompréhensibles ou avec de la violence gratuite. Finalement on ne comprend pas l'intérêt de nous raconter ces histoires, les morals sont inexistantes ou digne du CP.
Cependant le pire se cache encore entre chaque histoires qui sont coupées ou "reliées" (mais cela voudrait dire que l'ensemble forme un tout) par deux éléments :
1/Un homme qui promène 4 chiens assoiffés de sang et qui les lâchent à tour de rôle sur un enfant, un ouvrier, une femme (où le chien décide non pas de l'attaquer à la gorge, mais sous la jupe... la classe... Pourquoi ?) et... suspense pour le dernier je risque de ruiner la fin du "film".
2/ Une femme qui parle en voix off sur des dessins de carrés, triangles et ronds semblable à un écran de veille de PC, qui raconte des idioties qui se veulent clairement profondes voir même donneuses de leçon avec des thèmes comme "le racisme c'est mal", "un riche est-il meilleur qu'un pauvre", et une tirade sur "le loup est une bête pour l'homme, mais l'homme n'est-il pas une bête pour le loup.. sauf que les loups eux ne se tuent pas entre eux" c’est trop profond… manquait juste « la guerre c’est mal, la paix c’est mieux ! »
Bref un film qui peut devenir culte par sa nullité, son manque de sens et de cohésion. Bravo encore à la presse d'avoir donnée de bonne note (ont-ils vraiment vu ce film ?)
Bon film collectif d'animation, qui n'est pas la simple superposition de récits d'épouvante mais une oeuvre harmonieuse, au graphisme recherché. Le leitmotiv de l'homme aux chiens est un sommet du genre.
Un film d'animation pour adultes composé de plusieurs histoires de style différents sur la peur,l'ambition est intéressante,le résultat un peu moins.La première histoire est passionnante,du coup le reste parait plus faible.Les dialogues de Nicole Garcia sont assez savoureux mais l'ensemble reste un peu bancal.
Ce genre de film n’est pas courant et parle à notre imagination plus qu’a nos pulsions, alors difficile de tenir la concentration : je l’avoue j’ai eu les paupières lourdes quelques fois. Et puis la musique a sut compenser ces faiblesses.
Il est vrai que les réalisateurs de cette animation n’ont pas la compétence des grands d’Hollywood capables de transformer l’absence de talent en un chef d’œuvre, à grands coups de communication.
Soit dit en passant, en France nous apprenons vite. Astérix aux jeux olympiques est à ce titre un chef d’œuvre… de supercherie.
Mais revenons à notre sujet. Celui qui a sut titiller mon imaginaire, chatouiller mes émotions et éveiller mes souvenirs d’enfant. Car ces peurs n’effraient plus les vieux cons dans mon genre. Mais elles ont ressuscité l’enfant que je ne sollicite plus tant que ca malheureusement. et ca fait du bien.
À cela il faut ajouter la voix de Nicole garcia, suave, nous énonçant les peurs d’adultes blasés. Et ce faisant, mine de rien, nous retournant une image de nous même qui mérite surement une sévère remise en question. Artur H en narrateur est tout simplement magnifique un des rôles principaux, hypnotisant.
Bon ! C’est une animation et je ramène tout à deux acteurs bien vivants ! Voila qui risque de gâcher ma volonté de convaincre le plus grand nombre d’aller voir s’ils y sont.
Les dessins sont criants de réalisme j’ai un souvenir fort d’une route bordée de peupliers d’un enfant marchant dans les eaux boueuses d’un marais, des nuages menaçant, une petite fille que je ne supportais plus de voir souffrir. J’en suis revenu avec une envie folle d’apprendre a dessiner
Je vais donc passer une bonne journée avant d’aller recoucher l’enfant que j’étais. Émus de le voir lutter contre ses peurs du noir. Et pas si mecontent du résultat tout compte fait.
Il est vrai que les réalisateurs de cette animation n’ont pas la compétence des grands d’Hollywood capables de transformer l’absence de talent en un chef d’œuvre, à grands coups de communication.
Soit dit en passant, en France nous apprenons vite. Astérix aux jeux olympiques est à ce titre un chef d’œuvre… de supercherie.
Mais revenons à notre sujet. Celui qui a sut titiller mon imaginaire, chatouiller mes émotions et éveiller mes souvenirs d’enfant. Car ces peurs n’effraient plus les vieux cons dans mon genre. Mais elles ont ressuscité l’enfant que je ne sollicite plus tant que ca malheureusement. et ca fait du bien.
À cela il faut ajouter la voix de Nicole garcia, suave, nous énonçant les peurs d’adultes blasés. Et ce faisant, mine de rien, nous retournant une image de nous même qui mérite surement une sévère remise en question. Artur H en narrateur est tout simplement magnifique un des rôles principaux, hypnotisant.
Bon ! C’est une animation et je ramène tout à deux acteurs bien vivants ! Voila qui risque de gâcher ma volonté de convaincre le plus grand nombre d’aller voir s’ils y sont.
Les dessins sont criants de réalisme j’ai un souvenir fort d’une route bordée de peupliers d’un enfant marchant dans les eaux boueuses d’un marais, des nuages menaçant, une petite fille que je ne supportais plus de voir souffrir. J’en suis revenu avec une envie folle d’apprendre a dessiner
Je vais donc passer une bonne journée avant d’aller recoucher l’enfant que j’étais. Émus de le voir lutter contre ses peurs du noir. Et pas si mecontent du résultat tout compte fait.
Ce film est une pure réussite, un bijou d'animation, des histoires toutes plutôt glauque avec les insectes, il y en a des plutôt horrifiques plus typiques la dernière histoire, une histoire plus spécial avec celle des champs et des marais, une tipiquement nippone celle du samouraï et une plutôt malsaine avec les chiens d'ailleurs le personnage qui tient les chiens a une tête de taré qui fait peur.
La salle était bouche bée des suffocations, de la transpiration, on a la pression quand vient la fin on veux se décompresser on y arrive pas la salle plongée dans le noir fait peur, on plongée dans le noir et on a peur du noir comme peur du noir a peur de la gentillesse.
A voir en connaissant ce qui vous passera ensuite.
La salle était bouche bée des suffocations, de la transpiration, on a la pression quand vient la fin on veux se décompresser on y arrive pas la salle plongée dans le noir fait peur, on plongée dans le noir et on a peur du noir comme peur du noir a peur de la gentillesse.
A voir en connaissant ce qui vous passera ensuite.
Film totalement médiocre. Certes la qualité graphique est au rendez vous. On ne peut pas dire le contraire. Mais ce n'est pas joli, ni effrayant, ni agréable, ni rien du tout. C'est juste désagréable et ennuyeux.
Par ailleurs, on a l'impression que le film essaie de se cacher derrière un pseudo intellectualisme pour cacher sa nullité. C'est typiquement ce genre de film ou d'œuvre d'art (et oui, un film est une production artistique) qui tente de dissimuler sa médiocrité PAR sa médiocrité. On se dit que c'est pas si nul, qu'il doit y avoir un sens, on se met à réfléchir... mais au final il n'y a rien d'autre que de l'ennui profond et du vide.
Le pire film que j'ai vu cette année.
Par ailleurs, on a l'impression que le film essaie de se cacher derrière un pseudo intellectualisme pour cacher sa nullité. C'est typiquement ce genre de film ou d'œuvre d'art (et oui, un film est une production artistique) qui tente de dissimuler sa médiocrité PAR sa médiocrité. On se dit que c'est pas si nul, qu'il doit y avoir un sens, on se met à réfléchir... mais au final il n'y a rien d'autre que de l'ennui profond et du vide.
Le pire film que j'ai vu cette année.
Je ne connais rien à la bd et à vrai dire cet art ne m'intéresse pas. Les quelques albums que j'ai lus m'ont souvent semblés pauvres en scénario. Evidemment, un film d'animation c'est autre chose, même si ses auteurs sont d'abord des auteurs de bd. Le magnifique Persepolis a sans doute ouvert la voie à des projets artistiquement ambitieux. Peur(s) du noir fait partie de ceux-là. D'abord parce que ce n'est pas une simple réunion de courts métrages mis bout à bout : les récits se croisent, s'entrecroisent, certains livrés d'un bloc, d'autres fragmentés, se livrant au fur et à mesure du film. Chaque histoire a bien sûr son esthétique propre avec pour points communs la peur et le noir et blanc. C'est graphiquement magnifique, surtout les volets de Blutch et de Richard McGuire. Certains récits sont plus captivants que d'autres, mais tous s'inscrivent dans une continuité artistique parfaitement cohérente. Et puis il y a les parenthèses de Pierre di Sciullo : sur un fond abstrait, l'extraordinaire voix de Nicole Garcia nous expose des peurs contemporaines sur un ton à la fois profond et drôle. C'est autre chose que les pubs pour HSBC !!! Un mot encore sur la bande son, tout à la fois minimaliste et riche, les voix de Guillaume Depardieu ou d'Arthur H, de terrifiants grognements de chiens, une BO magnifique... Un beau film ambitieux sans être élitiste, des histoires qui parlent à tous, une production française dont on peut être fier.
J'adoooorrrre..! sur le DVD en plus je peux faire MON montage, picorer à mon aise !
Que dire d'un film si particulier? On peut déjà dire que c'est un film qui dérange, autant par sa conception que par ses histoires, le fil conducteur du film, une histoire assez macabre d'un homme qui "promène ses chiens", nous prouve déjà que ce film n'a rien de conventionnel. De plus le film n'a pas a proprement un grand intérêt si ce n'est qu'au fil des histoire, le spectateur s'intéresse a ce qu'on lui montre, même si tout cela semble tiré d'un esprit tordu façon Tim Burton. Je regrette juste que ce film ne soit pas diffusé dans plus de cinéma car il est vraiment important de le voir pour toutes personnes passionnées des salles obscures. Bref, ce film vaut bien quatre étoiles!
Oui, l’obscurité me « gêne ». Après je ne sais pas si on peut dire que j’ai peur du noir ! A l’exception du temps que j’ai passé dans cette salle de projection. Tout seul. Je rigole pas, j’étais tout seul et je dois dire que durant la projection, sans rire, j’ai regardé plusieurs fois derrière moi, faut dire aussi que le personnel tardait à refermer la porte de la salle ! A dire vrai, ce n’est pas le film entier qui fait peur certains passages, certaines images, qui frappe l’imagination. Les histoires en elle-même ne sont pas originales et à la réflexion je ne crois pas que c’était le moyen choisi par les différents auteurs pour faire peur, ou du moins pour illustrer la Peur. On peut dire que l’utilisation de ces graphismes (je ne pensais pas qu’on puisses faire des images aussi différentes, les unes des autres, avec seulement deux « couleurs ») basiques à été une idée de génie et certaines scènes resteront gravées à vie dans ma mémoire (j’abuse un peu là). Pour finir, je dirais que loin d’ennuyer ou de perdre le spectateur, la narration haché du métrage avec les interludes (constitué de monologues à déconseiller aux épileptiques) permettent d’entretenir la tension et la sensation lourde et poisseuses que l’on appelle, la peur, la frousse, les glandes, la trouille en fait !
L'ensemble est assez médiocre surtout au niveau du scénario, mais c'est un film à aller voir, car le montage est intéressant et l'exercice n'est pas facile. Et 2 courts restent très bons, celui de Blutch (qualité des dessins exceptionnelle) et McGuire qui utilise les contrastes ombre/lumière à merveille.
Un vrai bonheur ce film ! je sortais en manque de vrai cinéma après le désolant "Notre univers impitoyable", je suis allé à tout hasard voir ce film. Beauté des images, incroyable talent des animateurs, musique flamboyante et surtout des scenaris à la hauteur... Il y a plus d'idées dans chacune des séquences que dans tout le cinéma français de ces derniers mois ! (à part 99F) Courez-y vite !
Un excellent film d'animation vraiment impressionnant dans la manière avec laquelle il suscite l'angoisse chez le spectateur. Des univers très différents et un montage original (2 films sont présentés en "fil rouge"). A ne pas louper pour les amateurs d'animation car on ne voit que rarement des oeuvres aussi originales. Et pour ceux qui ont lu "Black Hole" ils se régaleront avec le segment de Charles Burns !
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