Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Joseph Ghosn
"Peur(s) du noir" est un ovni du cinéma d'animation, qui balade son spectateur dans une multiplicité de frayeurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
L'ensemble est d'une épatante cohérence, grâce à une direction artistique élégante, un parti pris audacieux de noir et blanc (...) et une narration ambitieuse.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les sept courts métrages d'animation qui composent "Peur(s) du noir" ne sont pas tous d'égale qualité, mais la richesse visuelle de l'ensemble est malgré tout impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Pour une fois, un "film-omnibus" qui ne se réduit pas à une ribambelle sans queue ni tête.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Françoise Delbecq
Si des techniques ultra-sophistiquées sont utilisées, le crayon reste roi et fait souffler sur ces six histoires un vent de pureté. Bienvenue au pays de l'angoisse !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Ecran Fantastique
par Stéphane du Mesnildot
Peur(s) du noir, anthologie de films d'épouvantes en animations est une passionnante expérience graphique.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Laure Garcia
Ces courts-métrages exaltent l'univers propre à chaque auteur et ses souvenirs secrets. (...) Un film-laboratoire d'une étonnante beauté provocante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Cécile Jaurès
Ces contes d'une noirceur absolue transposent fidèlement les univers singuliers des artistes (...) face à la contrainte du noir et blanc, ils déploient des trésors d'inventivité (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Eric Loret
Beau comme un Rorschach, Peur(s) du noir transforme chaque spectateur en bourreau de soi-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
(...) un imaginaire débordant et un graphisme épatant (...) ce voyage au pays de l'angoisse sait aussi carburer à l'humour quand nécessaire.
Paris Match
par Christine Haas
Chaque histoire s'anime sous diverses formes associant le charme du graphisme à l'ancienne et l'animation contemporaine à la "Persepolis".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Cette oeuvre fantastique rassemble (...) une diversité d'expressions de nos frayeurs archaïques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
L'ensemble témoigne d'une originalité et d'une créativité rares. Un pur chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Cécile Mury
Un portrait de l'enfer, à la fois intime et universel, touché par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Entrez dans l'obscurité et voyez la lumière. Actuellement, il n'y a rien de plus beau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
par Eric Coubard
"Peur(s) du noir" n'est pas uniquement un film de dessinateurs pour les gens qui aiment le dessin, il existe derrière ces historiettes, une vraie âme, qu'elle soit enfantine ou spirituelle. On préfère certaines fresques à d'autres même si on reconnaît un grand talent aux six auteurs graphiques.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Stéphane Baujean
Entre les auteurs uniquement intéressés par la mise en mouvement de leur trait (c'est le cas de Blutch), et ceux qui, par manque d'idée, tartinent leur récit de poncifs, le volume des effets à fond, Peur(s) du noir glisse sur la rétine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Peur(s) du noir est un film d'animation cohérent, en noir et blanc, qui porte ses origines artistiques, et qui suscite souvent l'angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film aligne ici et là quelques prouesses qui témoignent des ressources graphiques pour créer de l'émotion en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TéléCinéObs
par Philippe Gueran
Le résultat est inégal, parfois absurde, souvent déroutant, mais jamais banal.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'exercice étant avant tout graphique, l'animation est réduite. Peu de mouvements et de gestuelle.
Les Inrockuptibles
"Peur(s) du noir" est un ovni du cinéma d'animation, qui balade son spectateur dans une multiplicité de frayeurs.
MCinéma.com
L'ensemble est d'une épatante cohérence, grâce à une direction artistique élégante, un parti pris audacieux de noir et blanc (...) et une narration ambitieuse.
20 Minutes
Les sept courts métrages d'animation qui composent "Peur(s) du noir" ne sont pas tous d'égale qualité, mais la richesse visuelle de l'ensemble est malgré tout impressionnante.
Cahiers du Cinéma
Pour une fois, un "film-omnibus" qui ne se réduit pas à une ribambelle sans queue ni tête.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Si des techniques ultra-sophistiquées sont utilisées, le crayon reste roi et fait souffler sur ces six histoires un vent de pureté. Bienvenue au pays de l'angoisse !
L'Ecran Fantastique
Peur(s) du noir, anthologie de films d'épouvantes en animations est une passionnante expérience graphique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Ces courts-métrages exaltent l'univers propre à chaque auteur et ses souvenirs secrets. (...) Un film-laboratoire d'une étonnante beauté provocante.
La Croix
Ces contes d'une noirceur absolue transposent fidèlement les univers singuliers des artistes (...) face à la contrainte du noir et blanc, ils déploient des trésors d'inventivité (...)
Libération
Beau comme un Rorschach, Peur(s) du noir transforme chaque spectateur en bourreau de soi-même.
Ouest France
(...) un imaginaire débordant et un graphisme épatant (...) ce voyage au pays de l'angoisse sait aussi carburer à l'humour quand nécessaire.
Paris Match
Chaque histoire s'anime sous diverses formes associant le charme du graphisme à l'ancienne et l'animation contemporaine à la "Persepolis".
Positif
Cette oeuvre fantastique rassemble (...) une diversité d'expressions de nos frayeurs archaïques.
Première
L'ensemble témoigne d'une originalité et d'une créativité rares. Un pur chef-d'oeuvre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un portrait de l'enfer, à la fois intime et universel, touché par la grâce.
aVoir-aLire.com
Entrez dans l'obscurité et voyez la lumière. Actuellement, il n'y a rien de plus beau.
Brazil
"Peur(s) du noir" n'est pas uniquement un film de dessinateurs pour les gens qui aiment le dessin, il existe derrière ces historiettes, une vraie âme, qu'elle soit enfantine ou spirituelle. On préfère certaines fresques à d'autres même si on reconnaît un grand talent aux six auteurs graphiques.
Chronic'art.com
Entre les auteurs uniquement intéressés par la mise en mouvement de leur trait (c'est le cas de Blutch), et ceux qui, par manque d'idée, tartinent leur récit de poncifs, le volume des effets à fond, Peur(s) du noir glisse sur la rétine.
Le Monde
Peur(s) du noir est un film d'animation cohérent, en noir et blanc, qui porte ses origines artistiques, et qui suscite souvent l'angoisse.
Le Parisien
(...) ce film aligne ici et là quelques prouesses qui témoignent des ressources graphiques pour créer de l'émotion en noir et blanc.
TéléCinéObs
Le résultat est inégal, parfois absurde, souvent déroutant, mais jamais banal.
L'Humanité
L'exercice étant avant tout graphique, l'animation est réduite. Peu de mouvements et de gestuelle.