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    Le Vent se lève
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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 mai 2010
    Se souvenir d'un film avec le recul et sans l'avoir revu, tel est le concept !
    Ce film est d'une lenteur proche de l'immobilisme mais Cillian Murphy opère toujours sur moi cette fascination étrange qui s'explique peut-être par le fait qu'il est un grand acteur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Voici un film de guerre bien fait, sans faille mais qui ne m'a pas séduit et pendant lequel je me suis ennuyé. La palme d'or reste pour moi un mystère... A réserver aux amateurs du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je deviens de plus en plus sceptique...certes la réputation de ce festival est inébranlable, et nous avons découvert grâce à lui de nombreux jeunes talents et films incroyables, année après année.
    Mais depuis quelques temps, je suis surpris de constater que les films auréolés du Prix 'suprême' servent à véhiculer un message fort en profondeur, mais vu et revu maintes fois. Comprenez bien que je ne remets pas en cause la qualité technique et artistique du film, mais tout les deux ans, les oeuvres anti-militaristes et à caractère pacifiste renporte la palme! ( 2002, LE PIANISTE de Polanski, 2004 FAHRENHEIT de M. Moore, 2006 "LE VENT SE LEVE" de Ken Loach)
    Certes je respecte cette démarche car le cinéma est un média comme un autre, servant à véhiculer un message fort à travers le monde. Mais Cannes doit il suivre le mouvement, et perdre cette singularité qu'il affectionnait temps parfois? On est bien loin ces derniers temps, des "Easy Rider", "Pulp Fiction", "Velvet Goldmine" et autres "Underground" !
    Et au risque de choquer les puristes, " Breavheart", soi disant plus Hollywoodien et pop-corn, délivre le même message, parfois même avec une dramaticité mieux traitée!
    J ai donc l'impression que l'on honore plus un propos au détriment d'un ensemble de facteurs à la fois scénaristiques 'et' artistiques ...après tout pourquoi "Indigènes" n 'a pas remporté la Palme? Il traite bien de la guerre d'Algérie et à quelques scènes près des mêmes attrocités que "Le Vent se lève".
    L'année de présidence de Tarantino, tout le monde prévoyait un palmarès à l'image du style du réalisateur...quelle déception. Et idem cette année.
    Pour conclure, ce film est un bon film, mais ne mérite sûrement pas à mon avis, un prix de cette importance...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Pour une Palme d'Or, je suis un peu decu.
    Le film ne m'a pas apporte une grande emotion.
    Et il ne revolutionne pas la vision du conflit Irlandais.
    Cependant il a le merite de denoncer l'horreur de la guerre sans distinction de camps.
    Une fois derriere un fusil, peu importe la cause, on verse dans cette horreur.
    Et comme le cote historique du conflit n'est pas tres bien expliqué, j'imagine de K Loach a surtout voulu dire cela, "war is not an answer".
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Générique de fin – un peu déçu ; on s’attendait à un film génialissime mais c’est dommage, on est tombé à côté.
    Au fil d’un montage un peu désolant, le réalisateur tente de nous faire sortir les larmes au travers de scènes inutiles qui provoquent l’ennui, en agissant sur le pathos à grands coups de masse : scènes de violences à répétition où l’on voit toujours la même chose (vision manichéenne des pauvres Irlandais massacrés par l’envahisseur britannique), scène de torture où tous les petits détails sont filmés... Au bout d’un moment ça devient franchement dégueu que l’on ne ressent même pas d’émotion tellement ça devient chiant. On aurait cependant pû avoir de l’émotion de par le mélo d’une histoire d’amour mais là – à l’inverse – on ne s’y attarde pas ; ça aurait pourtant pu mettre un peu de douceur entre les scènes gores !!
    Sur le manichéisme pourtant très visible, on arrive à avoir un doute (« bah alors, c’est qui les gentils & les méchants !?») lorsque le “clan” des gentils devient lui-même divisé en 2 clans (je vous le donne en mille : les méchants & les gentils). Heureusement, je vous rassure, le héro est du bon côté. D’ailleurs pour un non initié à l’histoire irlandaise on peut avoir du mal à comprendre cette division des indépendantistes irlandais qui va séparer 2 frères pourtant si liés ; & sorti de la salle, on se précipite sur une encyclopédie.
    Au niveau de la photographie & des magnifiques paysages vallonnés, une fois encore, c’est bien essayé mais quand on y voit que des gens se faire flingués on n’y prête que très peu d’attention. Heureusement on peut noter la performance des acteurs qui eux méritent peut être la Palme. La trame de l’histoire était bonne mais le film c’est pas çà. C’est pas grave, on se console en allant regarder la VHS de Michael Collins.
    En définitif un film pas complètement nul, mais attendez qu’il passe à la télé : c’est pas la peine de payer 8€ pour çà.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 novembre 2006
    On savait que les Anglais n’avaient pas toujours été des tendres façon Jane Austen. Et après trente minutes, nous voici servis : faciès enfoncés, baves sanguinolentes, tortures de toutes espèces. Côté irlandais, on tue les traîtres, sans procès, en versant pas mal de larmes sur ses copains d’enfance, mais sans trop se poser de questions Mais bon on n’est pas venu à une partie de plaisir : c’est un film de Ken Loach après tout, et il a bien fallu les mettre dehors, ces Anglais, non ?
    Mais voilà qu’on se retrouve dans la salle d’un tribunal républicain, dans une petite ville libérée par les nationalistes. Un épicier se plaint d’une cliente qui lui doit tant et tant, réclame avec les intérêts une somme énorme. Le tribunal, indigné, condamne l’épicier à une amende. Mais les combattants qui assistent au procès sont furieux : l'épicier est un généreux donateur, ils ont besoin de lui pour acheter des armes.
    Ça y est, on est en plein dans le Ken Loach porte-étendard, et ça claque ! Que vaut la guerre si c’est pour qu’il y ait des riches comme avant ?
    L’argument fait un peu cours d’éducation civique… Mais surtout tout dans le récit commence à se déglinguer : les épisodes s’enchaînent sans cohérence, le lien avec la grande histoire est maladroit, les décors, les habits, paraissent trop léchés, écomusée de pacotille.
    Et revoilà avec la paix de 1921 les discours enfantins ! Mais rien pour rappeler que ce sont ceux qui l’ont signée, ceux qui ont fait confiance aux Anglais, qui ont eu raison. Les autres se sont obstinés à se battre, n’ont pas compris que le statut de dominion, comme au Canada ou en Australie, valait quasi-indépendance : ils ont fait couler le sang pour rien. C’est ça le vrai tragique, et que Ken Loach, tout à son souci de garder l’équilibre entre ses deux héros, le social et le bourgeois, s’est bien gardé de nous dire ! Mais bon : il a fait My name is Joe, Bread and Roses… : c’est l’essentiel !
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