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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 janvier 2007
Un film littéralement bouleversant ,loin d'être aussi insignifiant qu'on l'a dit ,et comme on la signifier plus bas ,ce qui sont choqué de ces scènes de sexe non simulé ne sont venus que pour pouvoir les observer ,car qui n'était pas prévenu ?Je suis loin de m'être attaché a celles -ci ,il faut allaer plus loin ,ce film est une utopie ,l'utopie d'un monde ou l'obscurantisme imploserait et ou les gens pourraient vivre leur vie de la manière la plus libre qui soit ,dans la tolérance commune ,et quel est le sujet qui divise tant de gens de nos jours ?c'set le sexe oui le sexe et ce film en fait l'apologie ,mais non pour sa valeur stimulante mais naturelle et sociale ,Ce bordel du shortbus ce sert du sexe pour rassembler, à l'image de la scène ou l'on voit tout le petit monde en train de s'encanailler ,des grands ,des petits ,des maigres ,des gros ,des noirs ,des blanc,des hétéros ,des gays.....ce film est une merveille ,un assemblage de personnage ,de situation grotesque ,attachante ou émouvante ...a voir et a revoir!
Bon, tous mes potes m'avaient dit : va le voir c'est vraiment super ! Du coup, j'en attendais sans doute trop. Je n'ai pas été transporté. Quelques scènes comiques, mais difficile pour moi de m'identifier et du coup de ressentir quelque chose. Je ne suis pas "rentré" dans le film...
Un film drole et émouvant sur des personnages haut en couleur.On s'attache très rapidement a certains des personnages et a leur problème. Un film cependant en dehors de ce que hollywood nous avez habitué, donc succeptible de ne pas plaire au grand public.Les connaisseurs de bon film apprécieront. Soit on aime, soit on déteste,mais personne ne resteras insensibles.
Malgré une volonté de se démarquer par ses scènes crues et une recherche de sensibilité originale, mais malheureusement pas très convaincante, cette oeuvre reste brouillonne, amateur et très peu aboutie. Le seul intérêt est cette liberté de ton et cette approche sans entrave de la sexualité. La réalisation est hyper-classique et les situations très convenues
Du choc chic, du cul intellectualisé mais une belle utopie, dystopie... Un film qui bouleverse pas mal de valeur, transgresse tous les tabous et montrent des personnages attachant parce qu'ils se détestent eux même. A voir.
Franchement, ça sent la mauvaise excuse pour montrer du sexe entre hommes. Je suis tout à fait pour qu'on montre du sexe à l'écran si l'on considère que c'est une partie naturelle de la vie, et donc du cinéma, mais le film râte l'occasion en montrant de gens pour qui le sexe et tout sauf naturel (qu'ils soient hommes ou femmes). Certains trouveront de l'intérêt dans les ébâts qu'on nous montre, mais avoir de l'intérêt pour les acteurs sera beaucoup plus difficile. Une belle occasion râté
Shortbus avait attisé ma curiosité, surtout de par son odeur presque révolutionnaire. Je m'attendais à tout: surprise, choc, plaisir, rire, réflexion. En fait, je pensais soit détester, soit adorer. Mais en fait non. Derrière son apparente provocation, le thème central n'est pas le sexe, mais les sentiments et affects des personnages. Mais là où je m'attendais à quelque chose de fort, comme une gifle en plein visage, Shortbus n'est pas parvenu à me délivrer son message caché. Finalement, j'ai ri, j'ai été émue, mais paradoxalement, avec une certaine dose d'indifférence qui fait que ce film m'a laissée là où j'en étais avant de le voir.
Je suis attéré voire furieux par les critiques négatives écrites sur votre site. Comment être écoeuré par ce film si ce n'est parce qu'on a envie de l'être ? Le réduire à des scènes pornographiques montre bien que c'est dans cette seule intention que le spectateur s'est rendu dans la salle. Bien au contraire, "Shortbus" montre bien qu'il est possible de faire des scènes de sexe qui ne soient jamais porno mais bien au contraire qui ne font que rajouter de la signification à ce qui nous est montré des personnages. Rien de graveleux mais une infinie tendresse pour les héros qui montrent bien qu'il n'y a jamais de comportements déviants mais plutôt une difficulté à vivre pleinement ses sentiments. Ajoutons à cela des "acteurs" trés émouvants, une bande son qui éveille nos sens et nous transporte et une authenticité dans la mise en scène qui montre à quel point le réalisateur aime les Gens. Un authentique CHEF D'OEUVRE
Publicité fallacieuse pour un film Underground. Il eût été plus honnête d'annoncer la catégorie de public, au demeurant légitime, appelé à visionner cet avatar de him & him . D'aucuns ont eu l'idée de faire des comparaisons avec le sublime Kent Park, c'est une offense. Itou... dans notre salle également les "fourvoyés" quittaient la séance.
«Depuis longtemps, je veux faire un film sur lamour et le sexe qui ne sautocensure en rien!» dit John Cameron Mitchell. Une déclaration dintention claire, et qui ici sassume pleinement. Pour parler de la sensibilité et de lépanouissement sexuel de ses personnages, il a choisi de mélanger les genres. On trouve donc des passages de comédie musicale et danimation, le drame nest jamais complètement dénué dhumour ou despoir, quant au rire et au plaisir, ils sont souvent teintés de mélancolie ou de tristesse enfouie. Certains regards lancés à la caméra, emplis damour, de compassion ou de désespoir, sont bouleversants. Et puis il y a le sexe. En osmose parfaite avec les thèmes traités, le film a laudace de montrer dès les premières minutes des scènes de sexe non-simulées. Une façon dinscrire la sexualité comme élément essentiel dun récit tout en balayant avec intelligence une certaine pudibonderie autour de sa représentation à l'écran. On assiste donc à de superbes orgies, on chante lhymne national américain dans une scène de triolisme gay, on sauto-fellationne, on se masturbe, on éjacule sur des uvres dart, tout cela de manière totalement décomplexée. Cest dans cette liberté et ce mélange que réside la principale réussite du film et son ton si particulier de tristesse légère. Grâce à cela, une sorte de distance est également prise, évitant le voyeurisme, le trop-plein de pathos ou le côté « thérapie de groupe» quun tel sujet pourrait supposer. Aux Etats-Unis, un «shortbus» est un car scolaire pour enfants caractériels, surdoués ou hypersensibles un choix de titre résumant la position du film, qui défend la différence et la liberté, tout en dénonçant subtilement la pression exercée par la société sur les plus fragiles et les plus sensibles. Pour cela, Shortbus représente une démarche courageuse, originale et franche. Mais cest aussi une uvre empreinte de sincérité, de sensibilité et de ludisme où souffle une joyeuse et touchante liberté.
Un film de plus a ajouter aux erreurs de "casting" de 2006 au coté de « Isolation, Ils, Toi et moi et autre Borat ». C'est simple je suis parti au bout de 15 minutes plus que suffisant pour une telle oeuvre. Mais il fallait que je signale de quel niveau est ce film : navrant. !! De nombreux spectateurs et couples sont partis comme je les comprends.
Des scènes de sexe crues, mal tournées et filmées, et autres longues scènes de sexe entre homosexuels, passionnant non !! Je ne me considère pas comme puritain, facilement choqué ou étroit desprit ; cest simple même si je navais pas une carte illimitée je serais partis Voir différents cas en mal d'amours ne trouvant pas leurs satisfactions sexuelles absolues et « créatifs aux possibles » s'il en est ?!!!(cf. première scène outrancière au possible pour les hommes), quel scénario. !!!! Un calvaire : éviter le !!!
Quelques tranches de vie qui gravitent autour d'un club un peu glauque sur les bords, des acteurs qui paient de leur personne et pas mal de gags assez cocasses font de Shortbus un moment original et rafraîchissant, malgré des scènes vraiment crûes (notamment l'introduction - euh le début quoi). A ne pas mettre entre toutes les mains (euh, devant tous les yeux) mais à regarder avec recul (façon de parler) .
Shortbus relance un débat : celui de linterdiction. Pourquoi interdire aux de 18 ans Saw 3 ou Ken Park alors que ce film, aux images bien plus explicites que le film de Larry Clark, nest seulement interdit quaux moins de 16 ans. Même si une plus forte peine serait injustifiée, on est en droit de se pose la question, le -18 nétant quune vaste supercherie. Ils sont plusieurs : lune aimerait connaître le premier orgasme avec celui quelle aime, lautre à peur de se faire pénétré et une autre ne prend son pied quen dominant. Tous ont leur point de vue sur la sexualité ; enfin .ce quils croient. Crues et viscérales, les scènes le sont incontestablement, même si je préfère ne rien dévoiler . En unifiant les êtres, en donnant une valeur bien plus spirituelle et philosophique au sexe que bien des films, Shortbus relève de la libération sexuelle quon attendait depuis un moment. Si les Ken Park, Les lois de lattraction et co traitaient du sujet, ils ne le faisaient quen leffleurant alors que ce film le prend de plein pied. Pourquoi faire lamour comme cela alors quon peut le faire comme ceci ? Le sexe nest pas quune pénétration quon fait pour faire perdurer un couple, il est le fondement de notre civilisation et de nos âmes. Celui qui na pas compris ça na rien compris .