Note moyenne
2,5
24 titres de presse
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Les Inrockuptibles
(...) film de libération intérieure. (...) Un grand film, on vous dit.
Mad Movies
(...) La réalisatrice s'attaque à des aberrations mentales très perilleuses à dépeindre à l'écran, mais elle y parvient en prenant appui sur l'expérience sensitive du personnage principale.
Positif
De manière évidente, la réalisatrice veut aujourd'hui passer dans la cour des grands avec Ne te retourne pas, son casting de stars et sa narration ambitieuse. Pourtant, sa signature narrative est inchangée, prouvant définitivement que Marina de Van est une cinéaste brillante et inclassable dans le cinéma français.
Télérama
POUR: (...) Un prototype stimulant de cinéma figuratif et défiguré.
20 Minutes
(...) L'atmosphère, captivante, et le talent des deux stars rendent indulgent pour les maladresses d'une mise en scène parfois démonstrative – surtout vers la fin – et pour des partenaires masculins assez insignifiants.
Dvdrama
(...) Ceux qui pensaient découvrir un film aussi tripal que Dans ma peau risquent d'être déçus. Le traitement est moins viscéral, plus détaché (...) Sans faire abstraction de ses faiblesses, nous soutenons une démarche artistique aussi libre et dérangeante.
Elle
(...) Tout se passe comme si, trop concentrée à diriger les effets spéciaux qui assurent la mue de Sophie Marceau en Monica Bellucci, Marina de Van avait un peu oublié son film, qui reste un beau numéro d'actrices.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
(...) Ne te retourne pas n'est pas le film de l'année et pourtant vous pourrez d'emblée être intrigué par cette histoire (...) Marina de Van a le sens du récit et rend haletante cette quête métaphysique (...).
Le Point
Voir le site du Point
Première
Si l'expérience n'est pas franchement concluante, il faut quand même saluer l'effort, qui donne à voir quelques images inoubliables (...) Seul celui qui ne tente rien ne commet jamais d'erreurs.
Charlie Hebdo
Ne te retourne pas s'étouffe alors dans sa propre surenchère scénaristique et, à son corps défendant, se retourne sur lui-même.
Chronic'art.com
Quand les idées sont séduisantes, il faut les mettre en crise, avant qu'elles vous dévorent.
La Croix
Ne te retourne pas vaut surtout pour ces scènes troublantes où les visages de Sophie Marceau et Monica Bellucci se mélangent de manière à la fois belle et monstrueuse. Le reste, hélas, nous semble bien bancal.
Le Monde
Marina de Van a pris un gros risque, qui s'est retourné contre elle (...) le mystère de Ne te retourne pas se défait très vite, plus vite que le film n'avance.
Libération
(...) A l'exception d'un où deux plans très bien truqués du visage d'une Jeanne composite, 2/3 Sophie, 1/3 Monica, jamais ne s'abolit une distance incrédule, d'autant plus embarrassante que la cinéaste cherche souvent à nous faire peur. Cronenberg, à la rigueur, aurait pu s'en tirer.
Metro
Si la première partie du film est assez intéressante (...), le dénouement, à la limite du ridicule, plombe l'entreprise portée par les charmantes Sophie Marceau et Monica Bellucci.
Ouest France
(...) Quel gâchis d'avoir face à la caméra les plus belles séductrices du moment pour s'en servir dans un fatras d'effets spéciaux aux rendements monstrueux.
TéléCinéObs
(...) Le résultat, malade, vacille entre le thriller psy post-Hitchcock, le conte macabre et le nanar figé dans son propre luxe, la fin ridicule achevant de le ranger dans la troisième catégorie. (...)
Télérama
CONTRE: Marina de Van (...) a choisi de résorber son beau délire dans un interminable mélo de pacotille. Regrets éternels.
Cahiers du Cinéma
(...) Misère du cinéma pitch, suite. Pitch vers quoi tend tout un cinéma de genre à prétention auteurisante, mangé par sa séduction à très court terme, comme un visage par un autre.
L'Obs
(...) Un scénario imbécile aux dialogues risibles accepté, la production financée, la chose fabriquée et, tenez-vous bien, présentée au Festival de Cannes. (...)
Le Figaroscope
Sophie Marceau dans la peau de Monica Bellucci, pourquoi pas ? Gros problème, ce genre de métamorphose physique, doublé d'effets spéciaux, n'arrange pas nos deux stars. Ajoutez une histoire de famile abracadabrante et une réalisation bancale et on obtient un joli nanar.
Le Parisien
(...) La minceur du scénario, son côté répétitif plus lassant qu'angoissant, l'effet grotesqueproduit par la superposition des deux stars ou le virage psychanalytique naïvement entamé dans la partie italienne, tout concourt au ratage de " Ne te retourne pas ".(...)