AlloCiné
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Votre avis sur Into the Wild ?
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2008 critiques
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211 critiques
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117 critiques
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Vu en cours de philo au lycée il y a quelques années. J'ai remarqué que c'était le genre de film que beaucoup disent avoir vu pour se vanter en racontant, ensuite, sa portée philosophique et tout et tout ...
Attention, que tous ceux qui l'ont aimé ne prennent pas mal ma remarque, cela ne s'applique pas à tout le monde. Enfin, en ce qui me concerne, je n'ai pas apprécié ce film. Les paysages sont magnifiques, je comprend l'idée générale du film avec ce personnage qui en a assez de cette société de consommation et qui décide de partir... Mais au final, je me suis ennuyée... L'idée est belle, mais pour un film avec presque pas de dialogue et où on ne fait qu'admirer les paysages, certes magnifiques, 2h30, ça fait long... Je l'ai vu une fois et ça m'a suffit également...
Pour moi, c'est un film très prétentieux...
Attention, que tous ceux qui l'ont aimé ne prennent pas mal ma remarque, cela ne s'applique pas à tout le monde. Enfin, en ce qui me concerne, je n'ai pas apprécié ce film. Les paysages sont magnifiques, je comprend l'idée générale du film avec ce personnage qui en a assez de cette société de consommation et qui décide de partir... Mais au final, je me suis ennuyée... L'idée est belle, mais pour un film avec presque pas de dialogue et où on ne fait qu'admirer les paysages, certes magnifiques, 2h30, ça fait long... Je l'ai vu une fois et ça m'a suffit également...
Pour moi, c'est un film très prétentieux...
Sean Penn signe ici un véritable ode à la liberté. Into the Wild est un film bouleversant, qui fait réfléchir, il nous pousse à nous interroger sur le sens que l'on veut donner à sa vie. On est heureux de suivre ce jeune homme, très bien incarné par Emile Hirsch, qui avait tout pour "réussir" dans la société actuelle, mais qui a choisi une vie à part. Une vie extraordinaire. Sa quête du bonheur nous fait voyager à travers les Etats-Unis, au coeur de paysages sublimes, qui nous rappellent aussi la toute puissance de la Nature sur l'Homme. A chaque rencontre il nous émeut et métamorphose ces rares gens qu'il côtoie. La fin, brutale mais logique, paraît si injuste pour ce garçon qui nous est si sympathique, d'autant plus que c'est une histoire vraie. L'histoire de quelqu'un qui aimait la vie.
Magnifique film avec décors et musiques superbes. Un film que chaque cinéphile se doit d'avoir vu au moins une fois dans sa vie ! Sean Penn dirige avec brio ses acteurs, tous exceptionnels malgré l'omniprésence d'Emile Hirsch.
Pour moi, ce film est surestimé. Ok c'est bien joué, ok il y a de belles images, mais la construction avec les flash back mal placés font perdre le fil de l'histoire.
Un bon film d'aventure qui est passionnant du début à la fin. De plus, des beaux paysages et des dialogues intéressants sont à rajouter. Une bonne surprise.
Magnifique, émouvant ... un super film peu être un peu long et ennuyeux à des moments mais le film est super !!! J'adore la bonne son.
A voir pour la réflexion sur soi et pour l'œuvre.
A voir pour la réflexion sur soi et pour l'œuvre.
Paysages et Bande originale magnifiques. Comme une grosse bouffée d'oxygène.
Avant toute chose, je n'ai pas la prétention d'être impartial. Et je dois dire que je me suis plus ennuyé qu'autre chose devant ce film dénué de sens, ridicule et qui traine en longeur...
Alors je sais qu'il y a certains réalisateur devant lesquels il faut se prosterner sous peine de passer pour le dernier des béotiens, mais perso, je tord le cou à la bien-pensance et je le dis tout net : ce film est nul. Et sans point d'exclamation, ce serait lui donner trop d'importance.
Un film culte pour les babas cool et autres neo-soixanthuitarts...pourquoi pas. Mais dans le même état d'esprit de désir de liberté et de critique de la société, il y a aussi Fight Club. Un film qui prône la lutte, le passage à l'acte, la prise de risque pour changer les choses, et non pas la fuite, ou plutot la chute, vers un abîme sans fond...
Après tout, à quoi devrait on s'attendre de la part d'un film de hippie, pour hippies, ces gens qui scande l'ouverture vers les autres mais du moment qu'ils sont comme eux (et pensent comme eux surtout...vive la liberté d'expression) et en restant dans leur petit monde fermé ? Un film avec un tocard qui en a marre de la société et qui vante le retour au naturel et qui meurt comme un gland parce qu'il est trop bête pour oser flinguer une biche...
Waouh ! Quelle aventure ! Quelle leçon ! Ca nous apprend au moins que pour survivre il faut se mettre dans la peau d'un animal (rien de péjoratif) et tuer pour manger, pour vivre... La Nature, quoi... Quand je le dis qu'humanisme et instinct ne font pas bon ménage...
Alors je sais qu'il y a certains réalisateur devant lesquels il faut se prosterner sous peine de passer pour le dernier des béotiens, mais perso, je tord le cou à la bien-pensance et je le dis tout net : ce film est nul. Et sans point d'exclamation, ce serait lui donner trop d'importance.
Un film culte pour les babas cool et autres neo-soixanthuitarts...pourquoi pas. Mais dans le même état d'esprit de désir de liberté et de critique de la société, il y a aussi Fight Club. Un film qui prône la lutte, le passage à l'acte, la prise de risque pour changer les choses, et non pas la fuite, ou plutot la chute, vers un abîme sans fond...
Après tout, à quoi devrait on s'attendre de la part d'un film de hippie, pour hippies, ces gens qui scande l'ouverture vers les autres mais du moment qu'ils sont comme eux (et pensent comme eux surtout...vive la liberté d'expression) et en restant dans leur petit monde fermé ? Un film avec un tocard qui en a marre de la société et qui vante le retour au naturel et qui meurt comme un gland parce qu'il est trop bête pour oser flinguer une biche...
Waouh ! Quelle aventure ! Quelle leçon ! Ca nous apprend au moins que pour survivre il faut se mettre dans la peau d'un animal (rien de péjoratif) et tuer pour manger, pour vivre... La Nature, quoi... Quand je le dis qu'humanisme et instinct ne font pas bon ménage...
Un sublime road-movie , pleins de tendresses , de nostalgie , avec une superbe interprétation .
Bon, un film à plusieurs niveaux de lecture. Certains y ont vu un trip "trop fun" du mec rebelle qui se prend un max d'adré. D'autres, une réflexion sur les valeurs courantes de la société consumériste, en prônant la nécessité de revenir aux origines de l'humain, et en faisant l'éloge à ce titre d'un mode de vie en marge de la communauté. Troisième lecture, une critique des deux premières, justement, qui sans les réfuter complètement, met en garde contre les excès qu'elles peuvent amener, avec la morale de la fin. Bon petit film, quoi. Peut-être juste que l'ensemble manque d'un peu plus de consistance pour vraiment atteindre un statut de chef-d'oeuvre, mais pas mal quand-même.
Un film surestimé et beaucoup trop long. Même s’il s’agit d’une histoire vraie, Sean Penn nous a habitués à des films plus riches en émotions. Emile Hirsch joue un convaincant Christopher McCandless, mais c’est un rôle relativement facile et il ne parvient malheureusement pas à réellement emporter le spectateur dans sa dernière aventure. Rien de merveilleux donc, hormis les magnifiques paysages naturels... Dans le genre, voyez plutôt le dernier trappeur qui est une aventure humaine exceptionnelle !
Ce film est sur noté. L'histoire est intéressante, les personnages secondaires sont attachants, c'est beau, mais on s'ennuie la plupart du temps. C'est mal rythmé et c'est bien dommage.
TTNOUGAT
Sean Penn est un homme engagé et je comprends qu'il ait voulu raconter l'histoire d'une vie courte mais forte.Cette histoire comme toute histoire humaine mérite respect et attention.Quant à en faire un film ,pour cela il faut en avoir le talent.Ce film n'en est pas un,ce sont des morceaux de pellicules épars collés les un aux autres ,la plupart affreusement mis en scène (le pompon étant les derniers plans d'une laideur à faire vomir)et sans que le personnage principal y impregne un moindre rôle.Il passe ,charme et s'en va comme le terrible égoïste qu'il est.Sur le plan intellectuel ,il est évident que ce film racole un maximum de jeunes gens qui n'ont pas encore eu le temps de réfléchir sur l'existence humaine.Pourtant les grands esprits ne manquent pas :Montesquieu,Pascal,Einstein,Yourcénar ou bien avant J.C. Platon et Aristote nous ont apporté toutes les réponses qui permettent de comprendre puis de choisir une existence heureuse si on à la chance de faire des études comme ce fut le cas pour notre héros.Bref ,c'est un ratage complet bien dans la ligne de la majorité du cinéma d'aujourd'hui racoleur,laid et insignifiant.
Le récit nous amène à voyager au travers de l’Amérique du nord, insinuant en nous une irrépressible envie de road trip. Envie maintenue tout du long par une bande son magique dont le plus beau morceau à mes yeux est "No Ceiling". S'ajoute à la musique, de pures paysages tout simplement magnifiques, l'ambiance du film est tout bonnement enivrante.
Le personnage principal nous amène à nous interroger sur nos modes de vie actuels, créant ainsi un irrémédiable désir de liberté et d'évasion. Au cours de son périple, Christopher va rencontrer un éventail de compagnons éphémères qu'il marquera à jamais d'un manière ou d'un autre. Malgré toutes ses rencontres, il ne doute aucunement de son objectif : l'Alaska.
Cette œuvre est une bouffée d'air pure, nous extirpant de nos vies cloisonnées pendant deux petites heures.
Le personnage principal nous amène à nous interroger sur nos modes de vie actuels, créant ainsi un irrémédiable désir de liberté et d'évasion. Au cours de son périple, Christopher va rencontrer un éventail de compagnons éphémères qu'il marquera à jamais d'un manière ou d'un autre. Malgré toutes ses rencontres, il ne doute aucunement de son objectif : l'Alaska.
Cette œuvre est une bouffée d'air pure, nous extirpant de nos vies cloisonnées pendant deux petites heures.
Long et emmerdant, ce ratage complet du pourtant sympathique Sean Penn m'a consterné d'un bout à l'autre. Le scénario tient sur un ticket de métro - tout est dans le titre - et met en scène la plus désagréable tête de noeud que le cinéma ait portée à l'écran ces dernières années. Ce gamin aux souffrances intimes (ses parents sont des bourgeois, vous comprenez...) va s'inventer un personnage, Supertramp, (l'imagination libère, voyez-vous) et partir dans la nature (la beauté de la vie sauvage, n'est-ce pas, alors que la société de consommation, vraiment...). Comme de juste, on en vient à souhaiter la mort de ce succédané d'Arthur Rimbaud américain en goguette, qui charrie tant de clichés rances et convenus faits pour enchanter les bobos, qui va sous la Lune, Muse, et qui est ton féal, oh la la, vous connaissez la suite. Malheureusement, le sale gosse à l'âme chevillée au corps, le navet est dur à cuir, bref, il met un temps fou à clamser. A ne pas voir.
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