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    No Country for Old Men - Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme
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    2 272 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 février 2009
    Mais où est passée la fin du film ? Les frères Cohen ont-ils perdu la dernière bobine ?

    Ce qui est sur, c'est que la critique réagit de la même façon qu'une oeuvre d'art moderne qui m'avait marquée: un nom, et un socle vide avait fait un ravage lors d'une exposition: les gens criais au génie. Ce qu'ils ont appris après, c'est que la pièce n'était pas arrivée...
    Les critiques de ce film démontrent que ce genre de mises en valeur par la soit disant compréhension mystique de l'incompréhensible est toujours de mise dans la pensée moderne de l'"art".

    Ce film est raté, comme d'autres personnes l'ont soulevé, il n'est palpitant que par l'espoir d'une fin et d'un dénouement qui n'arrive pas et laisse vraiment le spectateur sur sa faim.

    D'autre part, beaucoup d'émoglobine absolument pas nécessaire, sans compter le total manque de réalisme des blessures (je sais ce que l'on ressent avec une fracture ouverte du bras, et on ne trottine pas avec seulement son bras en écharpe pour retourner se soigner soi-même...).

    Seul point positif: de très beaux paysages.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 avril 2009
    Film inutile. Il a de nombreuses qualités, dont tout le monde a déjà fait l'apologie en long, en large (soucis du détails, réalisation, ...). Au final cependant, on se demande bien a quoi tout cela a servi... a part nous donner l'envie de nous suicider. En général j'attends des films que je regarde au moins un petit quelque chose de positif, mais la néant, c'est comme si on passait 2 heures a regarder une histoire racontée par un mec qui s'en fout. Il y en a que ca fait bander... pas moi.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juillet 2009
    D'une lenteur insoupçonnable, "No country for old men" n'est qu'un pseudo-chef d'oeuvre surévalué. Sans début, ni fin... (s'agit-il d'un nouveau concept cinématographique?) le scénario est bourré de dialogues inutiles à l'intrigue... Ca parle beaucoup, mais cette diarrhée verbale finit par lasser, tout comme les personnages (sans exception) antipathiques et ridicules. Des meurtres, du blah blah, des longueurs, du sang, des longueurs, du blah blah et des longueurs, de la violence et du blah blah, rien ne nous passionne jamais. Les frères Coen auront encore une fois réussi à se faire passer pour de grands cinéastes... pourtant il serait temps d'ouvrir les yeux. Combien ont-ils acheté leurs oscars?
    Eselce
    Eselce

    1 418 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2016
    Traque pour de l'argent. L'originalité réside surtout dans l'arme à pression du tueur et son comportement atypique. Il y a un bon rythme et de l'action bien dosée dans la traque. Un bon divertissement même si le final laisse un goût d'inachevé.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2021
    Un western virtuose et déjanté à la sauce des frères Coen. Avec un Javier Bardem magistralement effrayant (oscarisé pour le rôle).
    Oscar du meilleur film.
    Nicolas V
    Nicolas V

    91 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2017
    Un film qui démontre de manière catégorique qu'il n'est pas nécessaire d’être fan des frères cohen pour apprécier à sa juste valeur ce film. La mise en scène est quasi parfaite. les dialogues sont minimalistes mais d'une rare intensité et les personnages sont fabuleusement écrits et joués par des acteurs touchés par la grâce..... non non j’exagère pas : ) Un drame sombre, au rythme lent et aux scènes d'actions rares et rapides. soyons clair : ce n'est pas un projet marvel . No counrty for old men s’apprécie pour sa justesse, sa réalisation soignée, sa direction d'acteurs impeccable ( Javier Bardem y campe un des plus grands méchant du cinéma ) .
    Un western des temps modernes, un poème sanglant, un documentaire sur ces contrées lointaines et violentes qui ne sont définitivement pas faites pour ce vieil homme.
    cris11
    cris11

    56 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Un film qui se veut très dur, avec des personnages assez cons (comme souvent dans le cinéma des frères Coen). Le film prend son temps. C'est un rythme très lent qui est amplifié par l'absence de musique durant tous le film. Il y a également une tension assez exceptionnelle dans certaines scènes du film. Concernant le scénario, c'est très recherché mais également bien raconté. Du côté des acteurs, ils sont vraiment très bons avec une mention spéciale pour Javier Bardem qui est incroyablement froid dans son rôle de tueur impitoyable. Ma déception sur ce film, reste la fin, plutôt surprenante, qui se termine un peu sur un point d'interrogation.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2024
    À ce jour « No Country for old men » avec ses quatre Oscars majeurs (meilleur film, meilleurs réalisateurs, meilleur scénario, meilleur second rôle masculin) glanés à la Cérémonie des Oscars de 2008 est reconnu assez unanimement par la critique comme le plus abouti des vingt films réalisés par les frères Coen de 1984 à 2018. Sorte de film synthèse de toutes les marottes des deux frères et notamment celle ayant fait leur popularité dès leur premier opus «Sang pour sang », consistant à s’emparer d’un genre cinématographique hollywoodien pour le pervertir sans toutefois en trahir les codes fondateurs. Exercice dans lequel ils excellent et devenu leur marque de fabrique.
    Quand le producteur Scott Rudin achète les droits du roman de Cormac MacCarthy, « No Country for old men », il sollicite aussitôt les deux frères qui sont alors en train de travailler sur « To the white sea » de James Diley. Ils acceptent le projet après avoir lu le roman et détecté son potentiel leur permettant de retourner vers l’univers du film noir qui avait été le genre de prédilection de leurs débuts avec « Sang pour sang », « Miller’s Crossing », « Barton Fink », « Fargo » ou même « The big Lebowski » plongée lysergique dans le film de détective à la Bogart. S’ils se sont bien sûr déjà inspirés de romans noirs ayant eux-mêmes été adaptés dans les années 1940-50, c’est ici la première fois que les deux frères adaptent une œuvre écrite.
    spoiler: L’intrigue du quidam mettant par un simple hasard la main sur une énorme somme d’argent liquide, fruit d’une transaction frauduleuse (ici trafic de drogue) ou d’un hold-up s’étant mal passés et qui se voit malgré toutes les précautions prises victime d’une chasse à l’homme impitoyable est plutôt classique mais aussi souvent génératrice de solides suspenses
    . Les frères Coen vont s’imprégner de l’intrigue proposée par le roman de MacCarthy pour la concentrer quelque peu en élaguant pour cela quelques sous-intrigues parallèles afin de pousser à leur paroxysme les morphotypes des personnages et les effets chocs de l’action. Ainsi les monologues du flic texan au bord de la retraite interprété par un Tommy Lee Jones rôdé à l’exercice vont n’être utilisés qu’à l’entame du film pour donner l’état d’esprit de ce vieux policier qui a pris tristement conscience que la violence ne répond pas toujours à une explication rationnelle car pouvant être consubstantielle à la nature de certains d’entre nous, n’attendant tout simplement que le bon moment pour se déclencher.
    C’est donc Anton Chigurh, le tueur psychopathe interprété par un Javier Bardem coupe à la Du Guesclin (ou Beatles au choix), très impressionnant mélange de sauvagerie brute et de raisonnements intellectuels qui font froid dans le dos qui va retenir toute l’attention des deux frères et par ricochet celle du spectateur. spoiler: Un tueur qui semble avoir une éthique qui lui est propre sans que jamais une véritable clef de compréhension ne soit fournie. Une forme de culpabilité ou plutôt un véritable sadisme quand il propose à ses futures victimes de jouer leur vie ou celle d’un autre à pile ou face ? A dessein les frères Coen laissent planer le doute, ne dévoilant pas toujours le sort final réservé
    à ceux qui croisent la route de Chigurh.
    Les autres personnages ne bénéficieront pas du même traitement. Le pauvre Llewelyn Moss (Josh Brolin) qui aura bataillé ferme et spoiler: parfois ingénieusement pour éviter de tomber entre les pattes du tueur-à-gages verra sa fin presque éludée par le scénario
    . Le second tueur-à-gages (Woody Harrelson) chargé par les commanditaires initiaux de stopper Chigurh pourtant conscient de l’extrême dangerosité de celui-ci fera preuve d’une naïveté inexplicable qu spoiler: i le mènera tout droit en enfer
    . Le vieux flic qui arrivera presque toujours un poil trop tard prendra sa retraite complètement désabusé prenant conscience que la foi dont il croyait jeune qu’elle le gagnerait en vieillissant, ne lui viendra pas en secours pour au moins finir sereinement son existence. Chigurgh métaphore du mal incarné disparaîtra comme il est apparu, constat d’une humanité qui ne peut pas grand-chose face au mal absolu qui réapparaît quand on le croit parti compagnon inséparable de l’homme y compris dans les grands espaces désertiques du Texas.
    Les frères Coen qui verront leur film tout d’abord encensé puis crouler sous les récompenses ont certes puisé à différentes sources comme Sam Peckinpah sans doute la plus évidente pour ce « No Country for old men » qui emprunte tant au western, qu’au film noir ou policier pour livrer une intrigue quoiqu’on en dise quelque peu désincarnée au service d’un constat amer sur la nature humaine et l’état d’une société américaine désormais rendue bien loin du rêve initial.
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2019
    Une fois n’est pas coutume, j'invite ceux et celles qui ont l’habitude de me suivre à lire l’avis de l’internaute Chuck Carrey qui figure en première page des critiques les plus utiles (sa note, 4 sur 5) : à une chose près il a écrit ce que j’ai ressenti. Malgré une fin pas très heureuse (c’est le moins qu’on puisse dire), "No country for old men" vaut quand même largement le coup d’œil. A cela plusieurs raisons, plus ou moins liées entre elles. Tout d’abord, c’est la toute première fois que les inséparables cinéastes se basent sur une œuvre littéraire, à savoir le roman éponyme de Cormac McCarthy. Conséquence, nous perdons dans ce film les clins d’œil pour cinéphiles et les afféteries qui caractérisaient jusque-là les frères Coen. Cette fois, ils ont fait fi de leur style reconnaissable entre mille pour nous servir un road movie magnifiquement tendu et violent. C’est vrai que ce film commence de façon excellentissime. Une narration en voix off dont le ton hume bon la nostalgie d’un temps révolu, accompagnée de belles images, des images montrant de vastes contrées façonnées, torturées par un climat un peu rude et qui ne laisse pousser qu’un arbre au milieu de nulle part. C’est sans ménagement aucun que le spectateur se voit emmené dans un concours de circonstances synonyme de descente aux enfers. Dans cette épopée, deux personnages se détachent très nettement de tous les autres. D’un côté nous avons un texan nommé Llewelyn Moss, incarné par Josh Brolin, californien de naissance mais qui fait un texan très convaincant, typé comme il faut avec un caractère bien trempé décoré d'une belle moustache. De l’autre nous avons un mystérieux gars joué par un Javier Bardem au sommet de son art : en personnage décérébré au premier abord, il est hallucinant d’impassibilité et met immanquablement mal à l’aise par une posture et des discours qui en font un homme à la fois singulier et inquiétant, au point qu’aucun d’entre nous ne voudrait croiser sur sa route ce genre d’olibrius à la drôle de coiffure. Outre la prestation remarquable des deux acteurs principaux, en particulier de la part de Javier Bardem, le scénario est tout aussi remarquable par sa construction. On voit Moss traquer son gibier, une scène de chasse plus ou moins classique, mais qui va prendre une tournure que dans la réalité nous qualifierons d’inattendue puisqu’elle le mène sur une découverte qui en ferait fuir plus d'un. Et sa proie change. De fil en aiguille, le traqueur devient le traqué, et le nouveau traqueur devient lui aussi le traqué avant que le dernier traqueur ne devienne à son tour traqué. Vous avez compris ? Lol ! Je vous en prie, prenez le temps de relire. C’est un peu comme le fameux « je sais ce que je sais, je ne sais pas ce que je ne sais pas », etc etc… Bref ! Pour faire plus simple, les personnages deviennent tour à tour traqueurs et traqués, dont un est vraiment détraqué. Ça y est ? J'ai réussi à vous récupérer ? Bien ! Alors continuons. Toujours est-il que la tension et le suspense sont bien présents et tiennent en haleine le spectateur dans cette fuite qui mène jusqu’à la frontière américano-mexicaine. L’allocinéen Chuck Carrey précise dans son laïus que l’absence de musique ne se remarque pas. Ben pourquoi il en parle alors ? Au contraire ! Bien sûr qu’elle se remarque ! Parce qu’elle sert et améliore de façon admirable toute la tension qui se dégage de cette course effrénée vers la vie. C’est là que le propos de Chuck Carrey est paradoxale, mais c’est sur ce curieux paradoxe que je retombe d’accord avec lui, ainsi que sur le reste. Et ensuite, il y a cette fin curieuse. Curieuse sans doute par son absence de happy end. Enfin… ça dépend pour qui ! Toujours est-il que quelque part, le spectateur attristé est déçu par la tournure des événements car il espérait une meilleure issue. Mais si on y réfléchit de plus près, la logique est tout de même respectée, et en cela on doit reconnaître que ça change des habituels happy end. Autour des deux personnages principaux, gravitent quelques autres rôles secondaires incarnés par des noms bien connus sans être jamais mis en confrontation directe à l’écran. D’un côté Woody Harrelson, que nous verrons assez peu à cause de l’arrogance de son personnage, et de l’autre Tommy Lee Jones en shérif Bell, lequel ressemble davantage aux personnages coeniens. Assurément un bon film, comme je le disais plus haut tendu et violent, avec des scènes mémorables telles que les deux scènes d’hôtel ou de la station-service, menées de main de maître par une mise en scène admirable et au cours desquelles vos ongles risquent de souffrir sous vos dents crispées. Et encore, on s’aperçoit que ce film aurait pu être plus violent encore si certaines scènes n’étaient pas faites dans la suggestion, ce qui amène par ailleurs une alternance bienvenue. Ceci dit, la suggestion est tout aussi choquante que les scènes de violence, voire peut-être plus encore… Interdiction au jeune public logique.
    Chatterer
    Chatterer

    85 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 janvier 2008
    C’est avec beaucoup d’attention et d’intérêt que j’ai suivis ce film réunissant un casting plutôt pas mal. Josh Brolin est toujours impeccable. Javier Bardem est surprenant et très convainquant dans son rôle de méchant fou furieux. Tommy Lee Jones…Ben, j’comprends pas l’intérêt de sa présence et encore moins l’intérêt d’intégrer un personnage aussi inutile…Mais bon…

    Les frères Coen, nous embarquent à la frontière qui sépare le Mexique du Texas où un homme, Llewelyn Moss (l’excellent Josh Brolin) tombe sur ce qui ressemble à une tuerie et y découvre un mallette pleine de billets. Il décide alors de s’en emparer et se sauve le plus loin possible avec le magot. Le hic est qu’un maboul avec son arme peu commune, un shérif et un chasseur de têtes sont à ses trousses…

    Le film démarre très bien. Il en devient même passionnant. Il y a des moments où je suis resté scotché par une mise en scène prenante.

    A plusieurs moments, les Frères Coen jouent avec le spectateur de manière troublante.

    Mais alors ce qui commence à me gaver de plus en plus est que j’estime que lorsqu’un film est terminé, quand il n’y a plus rien à raconter…Pourquoi en rajouter 20 minutes…Ces vingt dernières minutes m’ont ennuyé d’une force !!! ça m’a même gâché l’ensemble du film !

    Dommage…J’aurais aimé lui mettre au moins les 3 étoiles méritées !
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    109 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 février 2015
    Les frères Cohen, où l’art de faire des films sans scénario et quand même être récompensés on ne sait pas trop pourquoi. Alors certes, le film dispose d’une ambiance assez unique froide et sombre avec un tueur absolument parfais, glacial et intriguant, d’une intrigue initial correcte d’un gars qui trouve 2 millions et qui se fait poursuivre par un tueur en série, mais aussi d’une réalisation correct et d’une absence de musique qui donne un sentiment particulier. Mais ça, c’est la base d’un film c’est à partir de cela qu’on fait un film, ça ne suffira jamais pour faire autre chose qu’un film potable. Car le film n’exploite pas ses personnages, en ne se contentant que de l’instant présent, qu’il a une fin la plus rapide de l’histoire cinématographique : littéralement il est mort c’est la fin, qu’il possède un rythme très lent qui fait décrocher son spectateur dès le milieu le rendant ainsi long. Qu’il a également des invraisemblances, entre les personnes mortellement touchés qui se relèvent comme si de rien n’était, où du gars qui trouve à vue d’œil une mallette dans un champ, et d'autres… Le tout en oubliant ses seconds rôles, dont on se demande toujours l’utilité.
    Pourtant il commence bien avec un ton rapidement donné et intéressant (seulement au début malheureusement) et plus le film avance et moins on est satisfait. Les scènes intéressantes sont celles du tueur qui amènent un certain suspens. Le reste est vide. La fin, bâclée, ne fait que souligner les faiblesses d’un film, finalement sans saveur.
    Le cinéma des frères Cohen reste particulier, sans réussir à être intéressant. Du travail vite fait, pour un film juste mauvais. Et trop surestimé.
    Shelby77
    Shelby77

    168 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Critique de "No Country For Old Men".
    Difficile de donner mon ressenti sur un tel film. Les frères Cohen nous plonge dans un western moderne de course poursuite impliquant un psychopathe à l'arme improbable, un chanceux qui ramasse des millions de dollars (mauvaise idée qu'il regrettera par la suite) et l'homme qui veut rétablir l'ordre et mettre fin à cette traque sanglante. No Country For Old Men c'est un peu l'affrontement entre le bien et le mal. Javier Bardem dégage un charisme impressionnant, chaque scène où il apparaît est un moment spécial. On regrettera la mollesse niveau scénario au milieu du film. 4/5
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Ambiance sympathique de film des frères Cohen; c'est pas déplaisant.
    Monotrema
    Monotrema

    13 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Un excellent film... pendant 1h30. La dernière demie heure est totalement ratée. Le personnage de tommy lee jones y est inintéressant et les longueurs sont a se taper la tête contre les murs. On se demande ce qui s'est passé dans la tête des frères Cohen.
    Benoist R.
    Benoist R.

    7 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2013
    Tout ça pour ça ? Voilà ce qu'on se dit en regardant ce navet ! On en espère d'avantage à juste titre étant données les bonnes notes et critiques. On reste sur sa fin, une véritable déception.
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