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"Désir(s)" est un film quasiment parfait, juste et beau, qui accomplit l'ambition initiale de la cinéaste : construire une oeuvre contemporaine en résonance avec le romantisme allemand.
On parle ainsi d'une "école de Berlin", Parmi ces films, "Désir(s)" est sans doute le plus romanesque, au sens où son auteur-réalisatrice (...) croit à la fêlure fatale, à l'événement clé dans une vie où se cristallise le destin. C'est aussi le plus romantique, par son mélange d'idées noires (...) et de pleine nature, et par son exaltation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le réalisme du film (...) ne retient jamais ce sentiment d'un feu qui dévore. Cette sorte d'insensibilité du réalisme (...) devient ainsi un puissant contrepoint à ce récit aussi sec que la passion et le désarroi des personnages sont poignants.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La sécheresse du film, le refus de tout lyrisme, la vérité des acteurs non professionnels qui l'incarnent, le terreau documentaire dans lequel il s'enracine, contribuent à le rendre très attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On reste tétanisé devant cette simplicité tranchante (...) Valeska Grisebach sait signifier beaucoup avec peu (...) voilà une réalisatrice à suivre de près.
Sur un rythme lent, l'observation précise de Valeska Grisebach s'attache à la poésie du quotidien et flirte avec le suicide dans une perspective métaphysique. (...) ce premier film épuré trouve sa place dans un cinéma tourné vers l'humain.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
[Le film] parvient, par l'homogénéité de sa matière filmique (...) à créer les conditions formelles de sa propre justesse, détachée de toute référence narrative arrêtée qui vaudrait norme et servirait à mesurer un contraste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Munissez vous quand même de votre tube de Guronsan avnt la séance (...) allez plutôt au restau et emballez la serveuse, histoire de faire vous-même votre séance désir(s).
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le chemin de "Désir(s)" vers ce romantisme germanique pastoral passe par une mise en scène apaisée du quotidien, peu névrotique, pas théâtrale. La réalité n'a pas besoin d'être frontale pour nous parvenir. Ce sont les dos, les trois-quarts, les biais, les ellipses, les retranchements qui disent l'histoire, au prix de quelques lenteurs dispensables.
(...) la passion filmée en gros plans et le souffle court... (...) un serrurier-mécanicien-pompier amoureux de sa femme s'éprend d'une autre et plonge dans le désespoir. Hélas !
La critique complète est disponible sur le site Première
Le danger de filmer l'ennui, c'est d'ennuyer.(...) Le film est tellement radical, complaisant et replié sur lui-même qu'il ne nous donne pas envie de s'ouvrir à lui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
"Désir(s)" est un film quasiment parfait, juste et beau, qui accomplit l'ambition initiale de la cinéaste : construire une oeuvre contemporaine en résonance avec le romantisme allemand.
Les Inrockuptibles
(...) une intelligence et une sensibilité rares (...)
Télérama
On parle ainsi d'une "école de Berlin", Parmi ces films, "Désir(s)" est sans doute le plus romanesque, au sens où son auteur-réalisatrice (...) croit à la fêlure fatale, à l'événement clé dans une vie où se cristallise le destin. C'est aussi le plus romantique, par son mélange d'idées noires (...) et de pleine nature, et par son exaltation.
Chronic'art.com
Le réalisme du film (...) ne retient jamais ce sentiment d'un feu qui dévore. Cette sorte d'insensibilité du réalisme (...) devient ainsi un puissant contrepoint à ce récit aussi sec que la passion et le désarroi des personnages sont poignants.
Le Monde
La sécheresse du film, le refus de tout lyrisme, la vérité des acteurs non professionnels qui l'incarnent, le terreau documentaire dans lequel il s'enracine, contribuent à le rendre très attachant.
MCinéma.com
On reste tétanisé devant cette simplicité tranchante (...) Valeska Grisebach sait signifier beaucoup avec peu (...) voilà une réalisatrice à suivre de près.
Paris Match
Sur un rythme lent, l'observation précise de Valeska Grisebach s'attache à la poésie du quotidien et flirte avec le suicide dans une perspective métaphysique. (...) ce premier film épuré trouve sa place dans un cinéma tourné vers l'humain.
Positif
[Le film] parvient, par l'homogénéité de sa matière filmique (...) à créer les conditions formelles de sa propre justesse, détachée de toute référence narrative arrêtée qui vaudrait norme et servirait à mesurer un contraste.
20 Minutes
La réalisatrice de "Mein Stern" filme au plus près des personnages torturés.
Brazil
Munissez vous quand même de votre tube de Guronsan avnt la séance (...) allez plutôt au restau et emballez la serveuse, histoire de faire vous-même votre séance désir(s).
Cahiers du Cinéma
Le chemin de "Désir(s)" vers ce romantisme germanique pastoral passe par une mise en scène apaisée du quotidien, peu névrotique, pas théâtrale. La réalité n'a pas besoin d'être frontale pour nous parvenir. Ce sont les dos, les trois-quarts, les biais, les ellipses, les retranchements qui disent l'histoire, au prix de quelques lenteurs dispensables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Elle
Valeska Grisebach n'est pas Pialat et, si on est désolé pour son héros qui s'embourbe, on est peu ému.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
(...) la passion filmée en gros plans et le souffle court... (...) un serrurier-mécanicien-pompier amoureux de sa femme s'éprend d'une autre et plonge dans le désespoir. Hélas !
aVoir-aLire.com
Le danger de filmer l'ennui, c'est d'ennuyer.(...) Le film est tellement radical, complaisant et replié sur lui-même qu'il ne nous donne pas envie de s'ouvrir à lui.