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onirique et génial.c'est ce qui me vient à l'esprit,j'aime le coté sordide et abandonné de ce nouveau monde
ou les personnages s'y emmerdent et recherche du sens à tout ça.
Les décors sont intéressants tout comme les dialogues.C'est un de mes films préférés.
J'ai lu la nouvelle dont le film s'est inspiré,c'est assez court.
l'adaptation a été bien faite,voir mieux que la nouvelle elle meme.
ou les personnages s'y emmerdent et recherche du sens à tout ça.
Les décors sont intéressants tout comme les dialogues.C'est un de mes films préférés.
J'ai lu la nouvelle dont le film s'est inspiré,c'est assez court.
l'adaptation a été bien faite,voir mieux que la nouvelle elle meme.
Tous les suicidés se retrouvent dans une sorte de non-monde similaire au nôtre, illustrant leur propre état d’esprit, un peu plus vide, illusoire, insensé, délavé, décoloré, sans états d’âme, ni sourires, ni fleurs dans la nature, ni étoiles dans le ciel. Incapables de retenter cet ultime échappatoire sous peine de replonger dans pire encore, ils n’ont plus qu’à se trouver un chemin à suivre, n’importe lequel, ou à défaut un but, pourquoi pas une utopie, ou encore à redéfinir la vie et à réinventer l’amour.
Trois pieds-nickelés post mortem, à la fois tendres et démunis par cette absence de rêve, vagabondent dès lors dans un road-movie étrangement artificiel, mais révélateur de leurs valeurs et obsessions, réapprenant à apprécier ce qui leur fut détestable, reconnaissant les moments qui pourraient être heureux, et construisant leur amour factuellement, au détriment des préceptes sociaux et des frustrations conventionnelles qui les ont conduits là.
Belle surprise que ce petit conte philosophico-morbide où les miracles comme les leçons de la vie ne peuvent être authentiques que s’ils sont fortuits, chahutés et improvisés.
Trois pieds-nickelés post mortem, à la fois tendres et démunis par cette absence de rêve, vagabondent dès lors dans un road-movie étrangement artificiel, mais révélateur de leurs valeurs et obsessions, réapprenant à apprécier ce qui leur fut détestable, reconnaissant les moments qui pourraient être heureux, et construisant leur amour factuellement, au détriment des préceptes sociaux et des frustrations conventionnelles qui les ont conduits là.
Belle surprise que ce petit conte philosophico-morbide où les miracles comme les leçons de la vie ne peuvent être authentiques que s’ils sont fortuits, chahutés et improvisés.
J’ai adoré ! Digne d’un film de Jarmuch, plein d’humour et de tendresse. Un vrai bonheur !!L’Univers de Wim wenders.
Yannickcinéphile
Petits suicides entre amis déçoit principalement par son histoire. En fait ce film part d’un concept a priori original, séduisant, prometteur sur le papier, mais on ne va quasiment pas voir ce dernier exploité dans les faits. En effet, Petits suicides entre amis aurait très bien pu être un road trip avec des humains vivants, que cela n’aurait eu aucun impact notable pour modifier le film. En dehors de quelques blessures, et de la fin qui n’est d’ailleurs pas très surprenante, ce métrage exploite très (trop) faiblement son concept, qui parait du coup assez racoleur, et frustrant pour le spectateur. Par ailleurs le film assume assez mal ses changements de tons, n’étant ni grave ni drôle, sauf en quelques occasions, le mélange des tonalités s’avérant finalement un peu frustrant. Reste l’ambiance road trip pas désagréable, quelques scènes sympathiques, mais là il y a un vrai souci.
Le casting est moyen. Pas de gros ratages d’interprétation, mais des acteurs plutôt tièdes, qui sans démériter ne retiennent pas non plus vraiment l’attention. Il y a quelques seconds rôles un peu truculents qui viennent mettre du piment parfois, globalement j’ai trouvé les interprètes assez investis dans leurs rôles, mais, peut-être car les deux personnages principaux manquent un peu de relief par rapport à ceux de l’arrière-plan, j’ai été moyennement convaincu.
C’est donc principalement dans son ambiance que Petits suicides entre amis marquent des points. Il y a une critique qui compare ce film à Arizona Dreams. Ce n’est quand même pas tout à fait pareil, mais il faut avouer que le métrage distille une ambiance curieuse, avec quelques plans singuliers, des idées de décors pas mal vu du tout, et une mise en scène qui, sans être des plus inventive sait mettre en valeur ce côté un poil surréaliste de certains plans. On sent un petit handicap budgétaire quand même.
Petits suicides entre amis n’est pas un film pénible ou raté, mais clairement c’est un film qui ne rend pas d’entrée très sympathique car en fait il triche sur son concept. On ne voit pas assez percer les idées mises en avant dans le titre, le résumé, et on se retrouve donc avec un produit trop fade. 2.5
Le casting est moyen. Pas de gros ratages d’interprétation, mais des acteurs plutôt tièdes, qui sans démériter ne retiennent pas non plus vraiment l’attention. Il y a quelques seconds rôles un peu truculents qui viennent mettre du piment parfois, globalement j’ai trouvé les interprètes assez investis dans leurs rôles, mais, peut-être car les deux personnages principaux manquent un peu de relief par rapport à ceux de l’arrière-plan, j’ai été moyennement convaincu.
C’est donc principalement dans son ambiance que Petits suicides entre amis marquent des points. Il y a une critique qui compare ce film à Arizona Dreams. Ce n’est quand même pas tout à fait pareil, mais il faut avouer que le métrage distille une ambiance curieuse, avec quelques plans singuliers, des idées de décors pas mal vu du tout, et une mise en scène qui, sans être des plus inventive sait mettre en valeur ce côté un poil surréaliste de certains plans. On sent un petit handicap budgétaire quand même.
Petits suicides entre amis n’est pas un film pénible ou raté, mais clairement c’est un film qui ne rend pas d’entrée très sympathique car en fait il triche sur son concept. On ne voit pas assez percer les idées mises en avant dans le titre, le résumé, et on se retrouve donc avec un produit trop fade. 2.5
Ce petit film indépendant macabre et décalé est hypnotisant et ennuyant mais au final vous fera sourire et oublier les moments creux et incompréhensibles du scénario.
un synopsis prometteur qui aurait pu donner lieu à un bon film mais le film manque de rythme
Julien D
Film américain adapté d’un roman israélien par un jeune réalisateur croate, Petits suicides entre amis profite au moins d’une approche tout autant polémique qu’universelle de ce sujet sensible qu’est le suicide chez les jeunes. Réutilisant la trame des nombreux road-trip devenus récurrents dans le cinéma indépendant américain, au risque de s’engluer dans une construction à la linéarité monotone, le scénario du film vaut essentiellement pour son point de départ qui est de réunir les suicidés dans un univers parallèle tristement morne. Ce prétexte fantastique aurait pu être le support d’un long-métrage à l’humour noir mordant ou à la poésie gothique mais Goran Dukic semble frileux à l'idée de profiter de ces deux ressorts scénaristiques. Le manque de charisme, et sûrement de talent, des acteurs (en dehors de la splendide Shannyn Sossamon) n’aident pas non plus à rendre ce film davantage passionnant que ne le sont les errances des défunts personnages qu’ils incarnent. C’est finalement uniquement le procédé technique permettant de donner corps à ce purgatoire fantomatique qui mérite finalement le coup d’œil.
C'est peut-être parce que je n'étais pas tellement en état de le regarder, mais ce film me fait GRANDEMENT penser à Arizona Dream... le génie en moins, évidemment. Alors ici, l'histoire a autant de sens que celle dans Arizona Dream, donc on ne pourra pas blâmer ce côté-là, mais je suis moins attiré par les acteurs, et malgré que je sois friand de movies roadtrip, celui-ci ne m'a guère tenu en haleine... Mais ce n'est "que" mon avis et je suis sûr que vous allez tout de même aimer ce film (comme la plupart des gens ici), mais ce n'est pas mon cas !
Les morts suicidés se retrouvent dans un monde comme le notre... mais en moins bien. Tout y est triste et moche. Bonne idée, mais pour en faire quoi ? Un road-movie romantique, forcément un peu décalé, mais laissant trop peu de place à l'humour noir. Le résultat est assez bizarre, tristounet et lent. Pas de quoi se réjouir.
Je n'ai même pas tenu jusqu'au bout, affligeant...
J'ai trouvé que l'idée du film était originale, les acteurs pas mauvais, bon, le film est lent c'est vrai mais il se laisse regarder. Son plus gros défaut, reste pour moi, la similarité du royaume des suicidés et du notre car cela créé beaucoup de non sens et soulève beaucoup de questions auxquelles l'on a pas de réponse.
"Petits suicides entre amis" est un film mauvais qui traine avec des acteurs mauvais et qui ne décolle jamais malgré une bonne introduction. Le titre (traduction française) n'est pas sans rappeler l'œuvre de Boyle "Petits meurtres entre amis" mais n'a en faite malheureusement aucun lien avec celui-ci. Toujours est- il que ce film est un jolie ratage!!
Voila un trés bon film etonnant,frais avec quelques pincées de poesie.Les suicidés ont un monde ou ils se retrouvent.Un monde proche du notre mais sec,aride avec des personnages loufoque et mysterieux.Le sujet fait beaucoup de bien , on se sent serein et leger tout le long du film par cette aventure (ou plutot road movie) poétique et rafraichissante.Les acteurs jouent trés bien et la réalisation est excellente.Pour ma part j'ai seulement compris vers la fin qu'il ne s'agissait pas du monde reel mais bien de celui des suicidés...
Au moment où Zia se coupe les veines du bras, il pénètre dans un étrange au-delà réservé aux suicidés. Dans ce monde, les victimes de suicide conserve leurs blessures dues à la manière dont elles sont "parties".
Au royaume des suicidés les morts-vivants empruntent un road movie fantastique : petit voyage drolatique de non-sens en quête de soi même, si poétique.
Le cinéaste croate image un au-delà singulier et surréaliste exaltant notre curiosité et celle de Cinemadness avec sa richesse narrative et son audace photographique probante.
De l'anglais, Wristcutters : A Love Story témoigne d'un monde où il fait mal vivre aux périples métaphoriques des causes et effets d'un remède... plutôt d'un poison amère et égoïste : le suicide. Véritable fond de pensée sinueuse sur un chemin attachant et plaisant de la liberté.
Une tentative morbide à la belle réussite cinématographique semble inclassable mêlant une harmonie des genres lyrique et intrépide.
Au royaume des suicidés les morts-vivants empruntent un road movie fantastique : petit voyage drolatique de non-sens en quête de soi même, si poétique.
Le cinéaste croate image un au-delà singulier et surréaliste exaltant notre curiosité et celle de Cinemadness avec sa richesse narrative et son audace photographique probante.
De l'anglais, Wristcutters : A Love Story témoigne d'un monde où il fait mal vivre aux périples métaphoriques des causes et effets d'un remède... plutôt d'un poison amère et égoïste : le suicide. Véritable fond de pensée sinueuse sur un chemin attachant et plaisant de la liberté.
Une tentative morbide à la belle réussite cinématographique semble inclassable mêlant une harmonie des genres lyrique et intrépide.
Je sais pas ce que les mecs qui choisissent les titres ont ds la tete...j'imagine que le titre du film fait echo a petits meurtres entre amis qui n'a pas gd chose a voir. Ici les acteurs n'ont pas bcp de charisme le synopsis interessant sur le papier se retrouve ininteressant en vrai, c'est lent et assez chiant, dommage
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