Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Un film à petit budget mais à grandes idées (...) qu'il faut voir cet été. Profond, humain et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
un premier long métrage plus que prometteur (...) Cultivant de manière cohérente avec son propos la rupture et la perte des repères (...) il y parvient néanmoins avec une stupéfiante douceur, un sens heureux du contre-pied, un art consommé de l'irrésolution.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce film (...) évite les écueils de la sensiblerie pour s'attacher à deux personnages débordant d'humanité, qu'interprètent Ryan Gosling et l'épatante Shareeka Epps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) le plus beau film jamais réalisé sur l'enseignement.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Emmanuelle Spadacenta
(...) c'est quand le pessimisme noir se nuance de touches de lumière que le film révèle sa force : Ryan Gosling. (...) Il hante "Half Nelson" d'une souffrance contagieuse dans un rôle aux finesses inouïes.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
A première vue, tous les symptômes les plus agaçants du drame socio-démago à petit budget sont réunis (...) Oui, mais : le scénario est subtil, la mise en scène, caméra à l'épaule, à l'écoute des personnages, et l'acteur principal, un petit génie.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette fable humaniste ancrée dans notre époque fait éprouver des émotions subtiles et démontre que le cinéma indépendant américain a encore de belles heures devant lui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Héléna Villovitch
On a envie de les serrer dans les bras, ces personnages courageux qui se débattent dans un environnement compliqué.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Dider Péron
La leçon de relativisme moral de ce film n'est pas administrée avec violence mais en fait, et le jeu de Gosling y est pour beaucoup (...) Son charisme naturel fait (...) l'essentiel de ce petit film estival estimable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
(...) une sensibilité, des nuances et une émotion qui cassent la rigidité de shémas installés par de précédents traitements du même thème. La finesse de l'interprétation (...) contribue grandement à installer la chaude humanité que dégage ce mélodrame réaliste.
Première
par Mathieu Carratier
Grave mais jamais plombant, cru sans être miséreux, puissant mais pas tape-à-l'oeil, Half Nelson avance dans l'obscurité de son sujet et trouve un interrupteur précieux : Ryan Gosling. Ce mec est tellement bon qu'il doit avoir des superpouvoirs (...) Dans le genre, on fait difficilement mieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec un tel sujet, on pouvait redouter le mélo, les clichés. Il n'en est rien (...) Ryan Gosling (...) habite l'écran et s'affirme comme l'un des plus talentueux de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film indépendant qui a pour vertu d'équilibrer certains clichés (...) on note un sens de la durée (des scènes) assez rare dans le cinéma américain.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'intérêt du film est de rester sensible, filmage à l'épaule sobre, sens de la durée, sans appuyer sur le pathos potentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
Ce drame oscille (...) entre le produit hollywoodien et le film d'auteur. Ces doubles courants semblent s'annuler l'un l'autre, provoquant ainsi une sorte de mollesse dans le récit (...) Reste le charisme émouvant des deux personnages principaux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
Certes, la silhouette de ce prof gentiment misfit rappellera aux nostalgiques les paumés du grand cinéma américain des sixties. Tout ce qui lui arrive, en revanche (...) n'échappent pas à la convention.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Franz Miceli
Le grain de la pellicule est sale, les couleurs délavées, la caméra épileptique, les personnages désorientés et la bande son dépressive. Une accumulation de petits détails plutôt inoffensifs qui une fois réunis donnent au long métrage un air de déjà-vu.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Ryan Fleck (...) pédagogique hors-pair, tombeur irrésistible, champion du lancé de craie, la quitessence du cool. On a envie de lui tordre le cou.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Brazil
Un film à petit budget mais à grandes idées (...) qu'il faut voir cet été. Profond, humain et bouleversant.
Le Monde
un premier long métrage plus que prometteur (...) Cultivant de manière cohérente avec son propos la rupture et la perte des repères (...) il y parvient néanmoins avec une stupéfiante douceur, un sens heureux du contre-pied, un art consommé de l'irrésolution.
Le Parisien
Ce film (...) évite les écueils de la sensiblerie pour s'attacher à deux personnages débordant d'humanité, qu'interprètent Ryan Gosling et l'épatante Shareeka Epps.
Positif
(...) le plus beau film jamais réalisé sur l'enseignement.
Score
(...) c'est quand le pessimisme noir se nuance de touches de lumière que le film révèle sa force : Ryan Gosling. (...) Il hante "Half Nelson" d'une souffrance contagieuse dans un rôle aux finesses inouïes.
TéléCinéObs
A première vue, tous les symptômes les plus agaçants du drame socio-démago à petit budget sont réunis (...) Oui, mais : le scénario est subtil, la mise en scène, caméra à l'épaule, à l'écoute des personnages, et l'acteur principal, un petit génie.
20 Minutes
Cette fable humaniste ancrée dans notre époque fait éprouver des émotions subtiles et démontre que le cinéma indépendant américain a encore de belles heures devant lui.
Elle
On a envie de les serrer dans les bras, ces personnages courageux qui se débattent dans un environnement compliqué.
Libération
La leçon de relativisme moral de ce film n'est pas administrée avec violence mais en fait, et le jeu de Gosling y est pour beaucoup (...) Son charisme naturel fait (...) l'essentiel de ce petit film estival estimable.
Ouest France
(...) une sensibilité, des nuances et une émotion qui cassent la rigidité de shémas installés par de précédents traitements du même thème. La finesse de l'interprétation (...) contribue grandement à installer la chaude humanité que dégage ce mélodrame réaliste.
Première
Grave mais jamais plombant, cru sans être miséreux, puissant mais pas tape-à-l'oeil, Half Nelson avance dans l'obscurité de son sujet et trouve un interrupteur précieux : Ryan Gosling. Ce mec est tellement bon qu'il doit avoir des superpouvoirs (...) Dans le genre, on fait difficilement mieux.
Télé 7 Jours
Avec un tel sujet, on pouvait redouter le mélo, les clichés. Il n'en est rien (...) Ryan Gosling (...) habite l'écran et s'affirme comme l'un des plus talentueux de sa génération.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Un film indépendant qui a pour vertu d'équilibrer certains clichés (...) on note un sens de la durée (des scènes) assez rare dans le cinéma américain.
Les Inrockuptibles
L'intérêt du film est de rester sensible, filmage à l'épaule sobre, sens de la durée, sans appuyer sur le pathos potentiel.
Paris Match
Ce drame oscille (...) entre le produit hollywoodien et le film d'auteur. Ces doubles courants semblent s'annuler l'un l'autre, provoquant ainsi une sorte de mollesse dans le récit (...) Reste le charisme émouvant des deux personnages principaux.
Télérama
Certes, la silhouette de ce prof gentiment misfit rappellera aux nostalgiques les paumés du grand cinéma américain des sixties. Tout ce qui lui arrive, en revanche (...) n'échappent pas à la convention.
MCinéma.com
Le grain de la pellicule est sale, les couleurs délavées, la caméra épileptique, les personnages désorientés et la bande son dépressive. Une accumulation de petits détails plutôt inoffensifs qui une fois réunis donnent au long métrage un air de déjà-vu.
Cahiers du Cinéma
Ryan Fleck (...) pédagogique hors-pair, tombeur irrésistible, champion du lancé de craie, la quitessence du cool. On a envie de lui tordre le cou.