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    There Will Be Blood
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    4,1
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    1 488 critiques spectateurs

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    Nico2
    Nico2

    87 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2008
    Ce qui fait l'excellence de ce film, c'est aussi bien la beauté de ses plans que la puissance de son histoire et l'excellence de ses interprètes. On ne remerciera jamais assez Martin Scorsese d'avoir sorti Daniel Day-Lewis de sa retraite. Sa performance est là encore tout à fait impressionnante, il dégage un magnétisme certain et sa voix ténébreuse accroche littéralement le spectateur. Face à lui, Paul Dano réussit l'exploit d'exister au côté de son partenaire, ce qui est déjà impressionnant en soi (Dicaprio, même très bon, se fait complètement effacer dans Gangs of New York). Les plans sont d'une rare beauté, la séquence du derrick en feu est d'ailleurs une des plus belles du film. La comparaison du film avec Citizen Kane n'est pas exagérée: le héros, à l'image de celui du film d'Orson Welles, est non seulement un des hommes les plus puissants d'Amérique puisqu'il a le monopole sur ce qui fait sa richesse, mais c'est aussi lui qui écrit l'Histoire de l'Amérique, l'enrichit, la fait vivre, tout est bon pour la réussite, même les pires coups bas. Les affrontements entre Daniel (Lewis) et Eli (Dano) sont forts de tensions retenues: la scène de la confession où chacun manipule l'autre est extraordinaire et le final où les deux hommes finissent par régler leurs comptes est absolument prodigieuse grâce à l'intensité et la folie des deux acteurs. Quant à Paul Dano, la bonne idée de lui faire jouer Eli et son frère Paul est intéressante puisqu'elle provoque durant tout le film un malaise sur la psychologie d'Eli, et on se demande tout le film si Paul existe réellement (la réponse est donnée à la fin). There will be Blood n'est pas une grande fresque, c'est au contraire un film très intimiste où chaque personnage personnifie un caractère et joue un rôle clé dans l'Histoire des premières années de ce XXème siècle au pays des self-made men. Un chef d'oeuvre.
    this is my movies
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    722 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2016
    Une fresque réellement étourdissante offerte par P. T. Anderson qui nous retrace la vie d'un magnat du pétrole, de son 1er puit jusqu'à son apogée. Un homme dévoré par son ambition et qui place le pétrole au-dessus de tout le reste. Malgré cette folie qui transpire de lui, on arrive pas vraiment à détester ce personnage. J'ai mis un peu de temps avant de rentrer dans le film, jusqu'à la séquence de la pluie de pétrole et à partir de là, le film ne m'a plus lâché. Les images sont magnifiques, les acteurs livrent des prestations assez exceptionnelles (D. D. Lewis est au delà de tout superlatifs et son duel avec P. Dano vaut le déplacement), le scénario est lui aussi magnifique, avec un enchaînement de rebondissements à la fin qui m'a laissé scotché et il y a aussi la très belle musique de J. Greenwood. Les ellipses peuvent paraître brutales mais elles sont justifiées et ne gênent pas la compréhension du récit. Un vrai monument de cinéma, beau, tragique, parfois drôle, intéressant et passionnant jusqu'au bout. D'autres critiques sur
    JulienAllard
    JulienAllard

    37 abonnés 387 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2014
    2007 fut décidement une grande cuvée pour le cinéma indépendant américain. D'un coté, No Country For Old Men des Frères Coen et de l'autre, le film dont il est question ici, There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (ces 2 films, aux titres si pessimistes et tournés au Texas, domineront d'ailleurs les Oscars en 2008).
    N' y allons pas par 4 chemins, le film d'Anderson est une fresque épique aux ambiances "westerniennes' et "altmaniennes" sur le destin d'un homme ayant croisé la route de l'or noir. Un destin parsemé d'embûches et remettant en cause son rapport à la violence, à l'argent, à la religion et à la famille.
    Le tout accompagné d'une brillante mise en scène, d'un Daniel Day Lewis en grande forme et une musique marquante signée du guitariste de Radiohead.
    Un film sublime !
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 141 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2009
    Un chef-d'oeuvre en tout point ! De la réalisation méticuleuse sur tous les axes et la prestation magistrale d'un Daniel Day Lewis possédé à la photographie éblouissante de beauté.
    NiERONiMO
    NiERONiMO

    43 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    Adapté du roman Pétrole ! (1927), There Will Be Blood est une sorte d’ovni nous hypnotisant 2h38 durant, et ce en nous contant l’ascension lente mais certaine de Daniel Plainview, pétrolier (fictif) du début du XXème siècle ; si le scénario ne paye pas de mine au premier abord, on découvre très rapidement que de par sa réalisation de haute volée, son ambiance si particulière et ses personnages superbement travaillés, que There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson tient du chef d’œuvre. La première partie du long-métrage est éloquente en la matière : aucune once de dialogues, seule l’appréhension et l’observation du protagoniste semblant être la figure centrale du film nous est proposé ; l’image se suffit d’ailleurs à elle-même, tandis que les prémices d’une BO exacerbée mais grandiose confère au tout un air franchement captivant. Ainsi absorbé par ce spectacle aussi simple que subtil, on assimile avec aisance les ellipses temporelles accompagnant les étapes principales de la conquête de l’or noir, menée par Daniel Plainview ; on suit avec intérêt son périple, le tout accompagné de son fils H.W, auréolant l’homme d’une aura bienfaisante, familiale. Mais There Will Be Blood, fort de son rythme lent, laisse monter petit à petit une tension d’abord légère, puis de plus en plus dominante, teintant l’ambiance d’une noirceur glaçante ; la qualité renversante de la photographie, la BO aussi étrange que galvanisante et enfin la découverte progressive du véritable Daniel Plainview sont d’autant d’éléments assurant la réussite de ce parti pris pour la lenteur du récit, dont les longueurs s’avèrent être finalement en tout point passionnantes. Concernant la composition du personnage principal du film, on atteint des sommets en terme d’interprétation avec l’immanquable Daniel Day-Lewis, très justement récompensé pour ce rôle hors-norme ; et comme si cela ne suffisait pas, There Will Be Blood se pare d’un casting parfait, avec une foule de seconds rôles en tout points convaincants, car tous parfaitement campés (Paul Dano et Dillon Freasier en tête de file). Bref, on est conquis de bout en bout, même si le film ne s’emballe qu’à de rares (mais intenses) instants ; on apprécie également l’intelligence rare de l’intrigue, qui malgré un sujet peu original au premier abord, ne vas cesser de surprendre avec brio. Il est enfin d’autant plus plaisant de saisir toute la portée de There Will Be Blood (vice de la fortune, de la religion …) dans son ensemble, tandis que son dénouement brutal et sans concession, mais véritablement dantesque, nous apporte les dernières lumières sur le propos de ce long-métrage … incroyable. Un chef d’œuvre de Paul Thomas Anderson donc, porté par une réalisation parfaite et un Daniel Day-Lewis saisissant ; reste l’aura atypique de ce film au combien sublime, mais pas grand public, loin de là.
    JoRod
    JoRod

    63 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2009
    Sublime ! Paul Thomas Anderson, déjà connu pour Magnolia, mais qui rester dans l'ombre des grand réalisateur, singe ici une oeuvre de toute beauté, effrayante d'éfficacité et d'une justesse superbe. La Prestation de Daniel Day Lewis est impréssionante, trés justement récompensé d'un oscar, et celle de Paul Dano trés surprenante. Le scénario est trés bon, l'atmosphère et la musique pesante ce qui rend le film magnifique.
    Un Film qui s'annonce déjà comme un grand classique du cinéma ! A voir absolument 18/20
    Redzing
    Redzing

    1 165 abonnés 4 505 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Daniel Plainview est un pionnier de l'exploitation pétrolière dans l'Ouest américain. Un jour, il apprend l'existence d'un gisement au potentiel énorme dans une petite ville de Californie, et y démarre une installation, mais des rebondissements imprévus surviendront... Gros succès critique à sa sortie, "There Will Be Blood" est avant tout un festin cinématographique. Photographie magnifique et paysages sublimes, plans inspirés et parfois même impressionnants, BO prenante basée sur des instruments classiques, et un fabuleux Daniel Day-Lewis qui domine sans mal l'écran. Mais l'intérêt du film est aussi le traitement de ce protagoniste campé par l'acteur, arriviste misanthrope dont on comprend les sentiments et les contradictions, et surtout rongé par la volonté de réussir. A travers un scénario intelligent, qui se veut comme une critique du capitalisme et de la culture du self-made man très en vogue aux USA, on le suivra sans mal pendant près de 2h40. Face à lui, on repère également Paul Dano, convaincant en prédicateur aux dents longues, manière de tirer également sur le système religieux ! "There Will Be Blood" est donc un drame riche et superbement mis en scène, et fait probablement partie des meilleurs films des années 2000.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    91 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2013
    "There Will Be Blood" – rien que le titre est magnifique – est un chef-d’œuvre d'une folle ambition qui parvient à se déployer avec la force des plus grands classiques dans sa volonté de narrer la confrontation par humiliations successives entre un magnat du pétrole et un prédicateur fou. Peignant les travers humains avec exactitude, Paul Thomas Anderson filme des personnages névrosés incarnés par des acteurs puissants – Daniel Day-Lewis est une nouvelle fois parfait, mais n’éclipse pas Paul Dano qui est lui aussi excellent –, dans des décors construits avec minutie. Voir la caméra s'engouffrer dans des puits sans fond ou se faufiler autour de machines suintant le pétrole est jouissif, le balancement des engins répondant aux mouvements des ouvriers. De nombreuses scènes sont ainsi d'une splendeur impressionnante et restent gravées dans la mémoire, notamment l'introduction et la conclusion, et surtout l'incendie dantesque auquel fait face le derrick au milieu du long-métrage. Quant à la musique, elle est complexe et envoûtante, totalement en phase avec l'ambiance du film ; elle contribue même amplement à sa réussite.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    80 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 janvier 2018
    J'ai découvert le cinéma Paul Thomas Anderson à travers "There will be blood" et que dire à part que j'ai pris une énorme claque. Un seul film suffit que dis-je, une seule scène suffit pour remarquer que Paul Thomas Anderson est un cinéaste de génie. Le travail de mise en scène est époustouflant, Anderson variant les ambiances à chaque scène avec une grande facilité. Certaines séquences m'ont totalement immergé au sein de l'action quand d'autres scènes plus intimistes ont su m'émouvoir. Anderson travail son cadre à merveille en flirtant avec le cinéma de Kubrick, tout en s'appuyant sur une superbe direction de la photographie et une excellente bande originale. Et que dire de l'interprétation magistrale de Daniel Day-Lewis. Cet acteur est absolument incroyable, il dispose d'une palette de jeu d'une incroyable variété et occupe l'espace comme très élu d'acteurs sont capables de le faire. A l'image de cette prestation mémorable de Daniel Day-Lewis, "There will blood" est un film grandiose, une oeuvre hypnotique et immanquable qui tutoie la perfection.
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Tout a commencé dans un désert de poussière. La violence a pris ses racines dans ces territoires infinis. Dans cet espace hallucinant, nous apercevons un homme, seul, comme s'il était le premier à fouler cette terre encore vierge de tous maux. Tel le premier être sur Terre, il commence par un échec en tombant dans un puits qu'il a lui-même creusé. Ce dernier symbolise le pire des abîmes où le mal est terré. Malgré sa chute, l'homme à la longue barbe n'est pas effrayé car il vient de trouver ce qui va faire sa richesse : l'or noir. La douleur ne se ressent pas, seul la puissance compte. Nous savons désormais tout de la terrible ambition de cet individu, la main pleine de pétrole tendue vers le ciel. Sa folle ascension va pouvoir commencer.

    Avec son cinquième film, Anderson met en lumière les valeurs de l'Amérique : l'argent, la violence et la religion. Le pétrolier Daniel et le prêtre Eli représentent ces symboles. L'un utilise la chair, l'autre le verbe. Et le vice de la vengeance transparaît dans chacune de leur rencontre. Ces deux-là jouent un véritable rôle et se mettent en scène pour faire leur numéro grand-guignolesque, donnant lieu à une intelligente et superbe mise en abyme. Le décor dans lequel ils se confrontent peut passer d'une église à la lumière purement artificielle, à une salle de bowling épurée. Pour arriver à leurs fins, ils doivent vendre leur âme au diable, et l'homme devient alors l'équivalent d'une bête. Mais ce pétrole représente bien plus que de l'argent, il est une plaie indélébile dont on ne peut se défaire. Même la caméra se fait éclabousser par cette matière visqueuse qui causera la perte de beaucoup. En rivalité progressive, ils cherchent tout deux à prendre le pas sur l'autre. Mais personne ne gagnera si ce n'est la folie, s'emparant d'eux comme le pire des poisons. L'importance des éléments est d'ailleurs à souligner : le feu, l'eau, le pétrole ou la terre révèlent chacun une profonde vérité. La mine d'or qu'il y a sous nos pieds, la trahison d'un proche, la cupidité des hommes ou leur côté obscur, rien ne peut être gardé secret.

    Qui est ce businessman Daniel Plainview ? L'homme qui a commencé seul dans un puits et qui est devenu millionnaire. Alcoolique, menteur, antipathique, envieux, colérique, il est par essence un pur pécheur. Malgré tout, nous ne pouvons cerner ce qu'il a dans la tête, ce qui donne à ce protagoniste toute son intensité dramaturgique. Il déteste les gens mais se déteste également. Ou alors, il se place au-dessus de tout le monde et souffre d'un profond complexe de supériorité. De même, le réalisateur inclut à son histoire personnelle des problèmes familiaux (confiance donnée à un frère, attraction / répulsion d'un fils), inhérents à n'importe quel récit tragique. Ce père cache toutefois un côté humain en éprouvant certains regrets, trahis par un flash-back discret mais essentiel. Ce personnage échappe à toute analyse, il est tout cela et bien plus encore, et ce n'est pas anodin qu'il ait pris une place primordiale dans l'histoire du cinéma.

    Très documenté, There Will Be Blood ne reste pas attaché à l'histoire qu'il raconte mais prend la forme d'une véritable œuvre singulière. Au-delà des innombrables thèmes dont parle Anderson, sa technique cinématographique est irréprochable, à commencer par la qualité de ses mouvements de caméra. Le cinéaste ne coupe pas un plan pour plus de facilité, il le fait durer le temps qu'il faut pour produire un résultat tout à fait abouti. Ces travellings prennent parfois le chemin de choses infinies (rail, pipeline) qui bousculent les habitudes des spectateurs, ayant l'impression d'assister à un film qui dépasse les intentions même du cinéaste. Ces plans, souvent très symétriques, renvoient également au travail du pétrolier. Sa caméra semble en effet être placée au millimètre près pour avoir la plus parfaite vision du territoire possible. En plus d'être brillant, l'américain sait se montrer intelligent en s'entourant des bonnes personnes, comme Johnny Greenwood (guitariste de Radiohead) qu'il ne lâche plus depuis The Master. Ses compositions sont tantôt noires et angoissantes, tantôt enlevées et majestueuses. Ici, la musique est la hauteur des images filmées, et ces deux arts ne font plus qu'un.

    C'est en cela que nous reconnaissons les chefs-d'œuvres atemporels : lorsqu'ils dépassent l'homme et prennent un statut culturel à part entière. There Will Be Blood est long et possède une narration assez lente. Mais toutes ses scènes sont mémorables et doivent être présentes pour atteindre la perfection. Enfin, cette ascension doit prendre fin. Daniel Plainview a fini de manger. Daniel Day-Lewis vient d'achever le plus fantastique de ses rôles. Paul Thomas Anderson a terminé son œuvre, et fait grandir le septième art de manière grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2010
    Un chef d'oeuvre fascinant et passionnant. La mise en scène est sublime, les acteurs impressionnants (Daniel Day Lewis inoubliable en escroc dérangé) la reconstitution historique brillante, le scénario immensément sombre et déjanté. "There Will Be Blood" est déja un classique, il est au cinéma ce qu'est un Victor Hugo en littérature.
    buddy-holly
    buddy-holly

    125 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juin 2011
    Un pur chef-d'oeuvre,une claque.Un drame sombre et dur sur le pétrole de Paul Thomas Anderson.Une histoire forte,dur,sombre,belle et originale,une mise en scène magistrale,et bien sur,les acteurs sont excellents: Daniel Day-Lewis est exceptionnelle et accompli là sa meilleure performance avec celle du boucher de Gangs of New York,la photographie est sublime,les décors et les paysages de l'Ouest américainsont superbes,l'ambiance est dure et crasseuse,la scène de l'expulsion de pétrole est vraiment impressionnante et la fin est plutot violente.Merci Mr.Anderson pour ce chef-d'oeuvre.Master Piece !
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    151 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2014
    Le chef d'oeuvre sur la conquête du pétrole avec les talentueux Daniel Day-Lewis , Paul Dano, Ciaran Hinds. Par le réalisateur de Magnolia. Golden Globe Award du meilleur acteur , Oscar du meilleur réalisateur, Oscar de la meilleure d'Argent du meilleur réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mai 2013
    "je trouve les humains répugnants" tel le héros du film Day-Lewis toujours magistral dans ce genre de personnage annonce la couleur et je suis tout à fait d'accord avec lui,mais paul dano a volé la vedette à Day Lewis quel acteur talentueux, fresque sur le balbutiement du pétrole et son busness avec un grain road movie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 avril 2008
    Un grand film, tout simplement. Daniel-Day Lewis est formidable, Paul Dano est pas mal, mais bon. La camera de Paul Thomas Anderson est remarquable. Bref, ce film va rentrer dans l'histoire du cinema, en tant que chef-d'oeuvre....
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