AlloCiné
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Votre avis sur There Will Be Blood ?
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tres bonne fresque sur une partie de l'amerique que je conaisser pas.debut du siecle dernier ou a commencer ce desir de richesse et de consomation . j'ai vraiment beaucoup aimer en particulier paul dano et daniel day lewis !!! oscar et succes largemnt meriter!!
Un film long, sombre, cynique, impitoyable. C'est l'histoire d'un homme assoiffé de réussite, d'argent et de puissance. Sa volonté de fer parvient à déjouer tous les obstacles qui se dressent devant lui. Mais à un prix que chaque spectateur appréciera. J'ai aimé la vision du réalisateur, sa volonté de se servir du film pour faire passer un message, chose qui à mon avis manque cruellement dans la plupart des films de Tarantino. Les deux protagonistes finaux, le pétrolier et l'illuminé, représentent les deux extrêmes : rapacité financière contre dévotion fanatique. Tous deux sombrent à la fin. Un film décidément bien noir, porté par un Daniel Day-Lewis au mieux de sa forme, incarnant un personnage difficile à aimer mais passionnant à suivre.
Un Daniel Day Lewis grinçant, monstrueux. Magistral dans ce film. Musique de Radiohead. Bref c'est génial.
Paul Thomas Anderson continue sa recherche de rédemption à travers ses héros aux postures christiques.
Ici Daniel Day Lewis est magistral tant dans sa prestation que dans ce personnage exceptionnel qu'est Daniel Plainview (regard simple) en chercheur de pétrole désabusé et misanthrope. Exceptionnel.
Ici Daniel Day Lewis est magistral tant dans sa prestation que dans ce personnage exceptionnel qu'est Daniel Plainview (regard simple) en chercheur de pétrole désabusé et misanthrope. Exceptionnel.
Rarement vu un film d'une telle ampleur ces dernières années, qui lui confère une dimension classique instantanée. Rarement vu prestation plus impressionnante que celle de Daniel Day Lewis. Le film nous invite à suivre son ascension au début du XXe siècle et sa réussite dans le forage de pétrole, et aussi de sa lutte de pouvoir avec les croyances religieuses locales pour mettre la population de son coté. Se dégage le portrait de l'émergence d'une "nation et une critique sousjacente d'un capitalisme sous préoccupation pour l'etre humain ". La narration est époustouflante faite de rupture et d'éllipse d'une fluidité surprenante. Par contre, certaines pistes narratives se révelent sans interet et certaines aspects de la personnalité de Plainview sont completements passés sous silence.
Surtout , ne partez pas au vu des cinq premières minutes du film. There will be blood est certainement un des films les plus grandioses de l'année 2008. Le film doit son succès au casting vraiment extra : Daniel Day-Lewis qui est au sommet du comble du maximum du talent. Une interprétation incroyable qui fait froid dans le dos quand on voit le caractère de l'acteur et du personnage , à la base totalemment opposés. On ne voit voit que lui pendant 2H40 et pourtant, on ne s'en lasse pas. Paul Dano ajoute également beaucoup à l'ambiance spéciale du film. Perfection côté musique , qui est très surprenante et angoissante.
Un scénario très bon , parfois même drôle. Exellents effets visuels , violent comme il faut et déroulement impeccable. Mes félicitations à toute l'équipe de ce film grandiose.
Un scénario très bon , parfois même drôle. Exellents effets visuels , violent comme il faut et déroulement impeccable. Mes félicitations à toute l'équipe de ce film grandiose.
Un chef-d'oeuvre, décidément Daniel Day-Lewis choisit bien ses films. Dans cette fresque américaine, la démesure des paysages n'a d'égale que la profondeur des principaux personnages. Anderson dénonce vice, monstruosité, folie, arrogance et égoïsme de l'Homme : un constat amer de notre "société". "L'or noir" est-il bien plus précieux que le respect d'autrui? Telle est la question! Incontournable!
Dans son jeu d'acteurs, dans ses cadrages, dans sa bande son, dans sa photo, dans les moindres détails, ce film n'est pas seulement très bon, c'est juste UNE OEUVRE MAGISTRALE.
Long, difficile, poussiéreux, noir, cruel, terrifiant, fascinant... Le film est un instantané d'une époque cruciale, qui a vu la naissance des USA, et de la société du pétrole pas cher...
"There Will Be Blood" dévoile une infinie richesse en terme de maîtrise cinématographique comme dans les thèmes qu’il aborde. Car ce film parle, certes de la conquête de l’or noir et du pouvoir religieux, mais il évoque également la conquête des hommes sur la terre, la domination des hommes entre eux, le rapport père fils, et le sacrifice de la vie au détriment des affaires…
"There Will Be Blood" : un film d’une grande richesse, boursouflé, audacieux, virtuose et puissant... bref, un grand film de cinéma que l’on est pas prêt d’oublier.
"There Will Be Blood" : un film d’une grande richesse, boursouflé, audacieux, virtuose et puissant... bref, un grand film de cinéma que l’on est pas prêt d’oublier.
Dans un cadre aux tons ôcres et bleutés, au fond d'un puits, un homme aux traits saccadés et tristes s'acharne sur la roche, à la recherche de l'or noir. C'est la première séquence de "There will be blood", le nouveau chef-d'oeuvre de Paul Thomas Anderson ("Boogie nights", "Magnolia", "Punch-drunk love"). C'est le début d'une fresque folle et démente. Le commencement de la fin. Sur une piste de bowling, noyé dans une folie démoniaque, le même homme s'acharne sur un jeune prêtre poli, faussement dévoué à sa cause, et l'achève de quatre coups de quille sur le crâne. Une mare de sang s'étale sur le parquet, lustré, envahissant le bois en chêne de rouge écarlate. C'est l'Amérique piétinée par ses propres idéaux. C'est un cadavre au crâne éparpillé qui gise là, devant nous, visage au sol, et un homme presque mort qui, à côté, s'asseoit, et rigole. Voilà le sang promis par le titre. C'est le point final de l'immense chute d'un être aux rêves qui le dépasse. En faisant de son film une épique métaphore de l'égoïsme qui gangrène son pays, les Etats-Unis, pour ne pas dire le monde entier, P.T. Anderson réalise le film parfait sur le sujet, si complexe et insaisissable, de l'industrie pétrolière. Mais le cinéaste traite de son thème en partant non pas sur une description du milieu, mais plutôt sur les conséquences inexorables qu'un idéaliste va provoquer autour de lui, et sur lui-même à commencer. Le schéma, pour le coup, était donc finalement applicable sur l'univers automobile autant que sur celui de la drogue par exemple, mais Anderson n'oublie tout de même pas de remettre son réçit dans un contexte réaliste, et souvent nous montre-t-il les difficultés de travail des ouvriers, le danger auxquels ils s'exposent consciemment sous la tutelle d'un patron qui les exploite. Bref, en 2h30, le réalisateur parvient à tout brasser ; aussi bien la difficulté du métier donc, que la dégradation totale de la relation père/fils, des croyances et des connaissances. Certes, on pourra forcém
Le Mardi 27 Mai, à 20h 15 au cinéma Le Vauban, l'écran s'éteint en Salle numéro 4. C'est la dernière projection du film "There Will Be Blood", nominé au Golden Globe comme meilleur film, ainsi que Daniel Day-Lewis, interprètant le personnage principal, comme Meilleur Acteur. La première image du métrage durant 2h38 apparaît, que déjà des frissons parcourent ma peau. Cela aurait pût s'arrêter au bout de cinq minutes, mais ce plat est si délicieux que je n'en loupe pas une seule miette. Tous les ingrédients sont ici présents pour me plaire. D'une part, plus le film avance, plus Daniel Day-Lewis devient terrifiant, j'aurais rarement vu un aussi bon acteur à ce jour. En outre, la musique imprégnée dans ces images inoubliables est sublime et ne me laisse pas indifférent. D'autre part, la mise en scène est un petit bijoux que l'on aurait eu du mal à remplacer. Et pour finir, le changement de période, l'évolution des personnages et la cruauté de Daniel Plainview, cet homme plongé dans le rêve Américain, magnifiquement interprèté par le grand Daniel Day-Lewis, font de ce film un chef d'oeuvre, un bijoux, un trésor, une perle du septième art...
Fascinante adaptation kubrickienne d'"Oil!" d'U. Sinclair, P. T. Anderson réussit là un coup de maître d'une portée immarscecible, révolutionnaire. Savamment orchestré et mis en scène, ce chef d'oeuvre est le symbole même d'un renouveau générationnel du monde du cinéma. Un nouveau souffle, une nouvelle vague, un beat revival qui n'est pas prêt de rendre les armes. Hypnotisant, virtuose, exigeant, nihiliste, entier, inquiétant, rugueux, pénible, troublant, ambigüe, douteux, cruel, grand, flamboyant, noir, saignant, intimiste, lyrique, sublime, impressionnant, audacieux, douloureux, puissant, écrasant, lourd, effrayant, sobre, âpre, désenchanté, poussiéreux, monstrueux, saisissant, vertigineux, sanglant, maléfique, épique, fantastique, fiévreux, cynique, malsain, classique, démentiel, démesuré, meurtri, virulent, purulent, accablant, électrique, sale, insidieux. Un prestige qui n'a d'égal que la performance méphistophélique de l'oscarisé D. D. Lewis et la musique du fou furieux J. Greenwood. 5 étoiles. Une oeuvre monumentale, vitale, viscérale. A ne louper sous aucun prétexte. Aucun ...
There Will Be Blood est une oeuvre fascinante, troublante, marquante et ambiguie, de celles qui vous marquent a jamais. C'est une sorte de mélange de grands classiques du cinéma US (Citizen Kane, Le Parrain, Geant et Le Trésor de la Sierra Madre). Si le talent du surdoué Paul Thomas Anderson n'était plus a démontrer (Boogie Night, Magnolia) il atteint ici LA perfection, filmant avec virtuosité chaque plan, chaque instant créant des scènes d'une beautée infinie (comme celle du forage qui prend feu ou les 15 premières minutes (silencieuses) du film) accompagné de musiques plus hypnotisantes les unes que les autres. Le personnage principal, Daniel Plainview est l'un des personnages les plus marquants, complexes et fascinants que j'ai pû voir au cinéma, un personnage à la hauteur du talent immense de Mr Daniel Day-Lewis qui nous offre une performance monumentale, exceptionnelle, Day-Lewisesque, [...] sans doute la meilleure de la décénie (seul petit bémol, il en fait peut être un peut trop lors de la dernière scène du film) mais sinon c'est grandiose et l'Artiste n'a pas volé son oscar ! Il est secondé par un excelent Paul Dano qui joue juste et ne ce laisse pas (trop) bouffé par le monstre qu'il a en face de lui. Cette grande fresque, d'une richesse absolue nous sidére de la première à la dernière minute et nous confirme que le grand cinéma américain n'est pas totalement mort, on en ressort fasciné et comblé. I'm finished !
Majestueux. Je ne trouve même pas les mots pour décrire ce chef d'œuvre de Paul T. Anderson. Je suis même choqué par ce que j'ai vu, assisté à cette destruction spectaculaire de tous les "fondements" du film dans la séquence finale, avec cette violence, cette haine pure mais une profondeur toujours présente, m'a littéralement scotché au siège. Daniel Day Lewis incarne... Il ne l'incarne pas non, mais il vit le rôle de Daniel Plainview, c'est superbe, ce personnage plus que complexe, a su se faire détester mais aussi se faire aimer malgré son arrogance, envers toutes formes d'amitié ou même de politesse. Probablement le film que j'attendais depuis des années.
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