Mon compte
    There Will Be Blood
    Note moyenne
    4,1
    19600 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur There Will Be Blood ?

    1 488 critiques spectateurs

    5
    590 critiques
    4
    367 critiques
    3
    92 critiques
    2
    196 critiques
    1
    133 critiques
    0
    110 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Cluny
    Cluny

    79 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    "Plus j'observe les hommes, moins je les aime", confesse Daniel Plainview à celui qui s'est présenté comme son frère dans un de ses rares moments d'humanité. Cet aphorisme semble correspondre à la vision de Paul Thomas Anderson dans ce Far West gagné par la fièvre de l'or noir, tant l'observation des principaux personnages de cette adaptation du roman Oil d'Upton Sinclair pourrait nous dégoûter du genre humain.

    Le prospecteur tout d'abord : homme de la terre, et même des entrailles de la Terre, comme le montre la longue séquence d'ouverture quasiment muette où nous le voyons se colleter charnellement avec le minéral, Daniel Plainview est un taiseux qui sait utiliser le langage pour charmer, quand il s'agit de convaincre les habitants de la ville-champignon de lui céder leurs terres, mais aussi pour humilier quand on ose lui résister. Son agressivité brutale s'abat sur ceux qui s'opposent à lui, mais aussi sur ceux qui l'environnent, suspectés de préparer leur trahison.

    Il semble n'avoir qu'une faille dans sa carapace, l'affection qu'il porte à son fils qu'il élève comme son futur double. Mais quand au même moment, il doit choisir entre lui porter secours et organiser le combat contre l'incendie qui ravage son derrick, il n'hésite pas une seconde. Et cette infirmité qui a frappé son fils, coupable d'avoir voulu trop plaire à ce père excessif, sera justement le prétexte pour le pétrolier afin de répudier ce rejeton devenu encombrant.

    Le prédicateur ensuite : fils d'un vieux paysan, entouré de soeurs dociles, il présente apparemment un aspect tout en douceur et en dévotion. Puis au cours d'un office, on le voit rentrer progressivement en transe pour débarasser un old timer de son arthrite, et l'exorciser comme s'il était possédé par le malin. Malgré la chapelle en bois et le pantalon trop court du prêcheur, on pense beaucoup plus aux évangélistes d'aujourd'hui (dans la scène finale de 1927, il raconte qu'il a fait de la radio), et cette transe m'a rappelé celle de "Jesus Camp" où un prédicateur faisait pleurer des gamins de dix ans à l'évocation des foetus massacrés dans les I.V.G. Quand il trouve enfin du pétrole, le premier geste de Daniel Plainview est d'oindre le front de son fils de la précieuse huile, geste qu'il reproduit quand il immerge Eli dans un mare de pétrole après l'avoir roué de coups : capitalisme aveugle et obscurantisme constituent donc les fonds baptismaux de la nation américaine, et cette violence initiale rappelle celle de "Gangs of New York".

    Oscar du meilleur acteur pour la deuxième fois, Daniel Day Lewis est effectivement prodigieux, alternant les explosions de violence et les moments plus intériorisés, encore plus inquiétants. Il faut le voir face à son fils adulte qui s'obstine à lui parler en langue des signes, et éclater d'un rire de dément quand il reconnaît le signe qui représente le forage, ou dissimulé dans la pénombre de son Xanadu, en train de tirer sur la porcelaine à travers des pièces immenses et vides. Après son rôle remarqué d'ado autiste et nietzschéen dans "Little Miss Sunshine", Paul Dano réussit à faire exister son personnage de manipulateur pitoyable, et à donner la réplique au magnat impitoyable jusqu'à l'hallucinant affrontement final.

    La mise en scène de Paul Thomas Anderson parvient à créer une tension permanente, avec de fréquentes ruptures de rythme, un lyrisme alternant avec une sécheresse, un constant contraste entre l'ombre et la lumière, et une ponctuation de la musique entêtante de Jonny Greenwood, le guitariste de Radiohead. Film puissant et habité, "There will be blood" est au cinéma de ce début de XXI° siècle ce que furent une génération avant "Le Moissons du Ciel" ou "Les Portes du Paradis".

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Alolfer
    Alolfer

    137 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2024
    Un Grand Film ! There Will Be Blood est un drame historique puissant, lors de l exploitation pétrolière américaine, représentant cette soif d argent et de pouvoir par l extraordinaire Daniel Day Lewis ! Pas étonnant qu'il est remporté un oscar pour ce film, tellement il est métamorphosé ! Un personnage à la fois compliqué et déterminé. Paul Dano mérite également, autant d'attention ! Côté technique, la photographie est sublime, représentant bien, la "beauté" des paysages. Realisation impeccable de la part de Paul Thomas Anderson, qui en plus d'être un très bon metteur en scène, est aussi un très bon scenariste ! Grand film des années 2000
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 octobre 2010
    Quel jeu d'acteurs de Day-Lewis et Paul Dano ! C'est long mais vraiment bon, violence bien filmée, superbe.
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2020
    There will be blood est surprenant !
    Avec sa musique dérangeante et son contexte assez peu exploité, ce film tourne surtout autour de la psychologie de Daniel Plainview qui est sans aucun doute l'un des plus immondes salopards qu'il m'ait été donné de voir incarné à la perfection par Daniel-Day-Lewis ,malheureusement retraité aujourd'hui, épaulé par d'autres acteurs de talent (surtout Paul Dano) et la réalisation de P-T Anderson très approprié et réussie.
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    139 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2012
    There will be blood c'est un peu au pétrole ce que Scarface est à la cocaïne... L'ascension tout ce qu'il y a de plus amorale d'un homme, une vie rythmée par les trahisons, et une fin déchéante. Ce film est un vrai tourbillon, il est d'une violence inouïe (pas sur les images, mais sur le propos). C'est un chef d’œuvre de noirceur, qui dénonce à tour de rôle la corruption d'une religion pseudo libératrice, l'hypocrisie intellectuelle, la foi intéressée, l'avidité, la soif de pouvoir, en nous dressant le portrait d'un homme profondément misanthrope. Le film est très dur, à la fin on reste devant notre écran, lessivé. Daniel Day Lewis (dire que c'est le premier film que je vois avec lui... Mais dans quelle grotte vis-je ?) est incroyablement troublant dans ce rôle, et surtout extrêmement doué. Le duo qu'il forme avec Dillon Freasier (dont la maturité dans le jeu est éblouissante), toujours à la frontière entre amour et haine, protection et destruction, est d'une crédibilité hallucinante... La scène où il court le chercher après l'explosion est de ces scènes qui marquent : un long travelling avec un rythme, une musique, de l'émotion... Ce film c'est "un film à scènes", le genre de film dont on se souvient parfaitement de certains passages (les scènes où Day-Lewis est proche de la démence, à savoir la scène de l'exorcisme ou encore la très réussie scène finale, frappent comme des coups de poing)... La photographie, elle, est splendide : Anderson (que je ne connaissais pas non plus, décidément je me coucherai moins inculte) confère à ses images une force incroyable. La profondeur de champ, les plans, les effets spéciaux... C'est un bonheur pour les yeux. Les musiques (ou la façon dont le son est exploité quand on est plongé dans la tête de HW) se confondent au film et participent à sa gravité extrême. Une histoire triste, puissante et bouleversante, sur l'exploitation du pétrole, un or noir qui souille des mains que le sang du Christ ne suffit pas à laver...
    tilo83
    tilo83

    23 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2013
    Un début en demi teinte, j'ai failli éteindre la TV, surtout à cause de la bande son insupportable.
    Puis je me suis dit que ça valait la peine d'essayer vu les bonnes critiques.
    Et finalement, l'intrigue commence, on est pris dans cette aventure extraordinaire d'un pionner du pétrole, violent mais attachant. Une belle expérience cinématographique. J'aime !
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2021
    La première scène du film, presque sans paroles pendant 10 à 15min est un pur moment de cinéma. On sent la tension, on sent tout de suite qu'on va voir un bon film. Ensuite le film, j'allais dire, devient plus classique mais porté par D. Day-Lewis et Paul Dano, on continue de passer un bon moment de cinéma, malgré quelques longueurs.
    C'est une belle histoire sur la conquête du pétrole et comment cela a pur rendre fou certains devenus magnat du pétrole.
    A noter que le titre français reste le titre original en anglais.
    aldanjah
    aldanjah

    72 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2008
    Daniel Day-lewis ( déjà vu dans Gangs of NY) interprète un chercheur de minerais solitaire qui vers 1900, se retrouve dans l'exploitation des gisements de pétrole. Un personnage sombre et complexe, que l'on apprends à connaitre au fil du film. Il rentrera en conflit avec Paul Dano (vu dans Little Miss Sunshine), un prêtre local qui souhaite tirer le meilleur prix des propriétés possédés par sa communauté, sur lesquels se situe un gisement. Course vers l'or noir vs religion : à travers cette rivalité, on découvre une fresque réaliste de l'Amérique de cette époque, avec une bande son de qualité et une très bonne interprétation des 2 acteurs. A voir.
    Olmo
    Olmo

    50 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2010
    En dépit de ses quelques longueurs, Anderson réussit une nouvelle fois un coup de maitre. Day-Lewis impressionnant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 septembre 2008
    un bon film, malgrés les incohérences et les imcomprehension provoqué par le scénario... a voir
    toinou
    toinou

    47 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    Paul Thomas Anderson nous a déjà prouvé que c'était un excellent réalisateur, et c'est toujours le cas avec ce film différent de ses précédents avec beaucoup plus de travelling et plans larges. La réalisation est excellente avec une mise en scène extrêmement bien maîtrisée, les costumes et les décors sont absolument incroyables et très réalistes, la BO est excellente et est très bien utilisée. Tous le casting est exceptionnel en commençant avec Daniel Day Lewis qui est impressionnant et Paul Dano qui est aussi très bon, leurs personnages sont tous très bien écrit, tout comme le scénario qui est excellent bien que légèrement complexe. Le problème du réalisateur est de toujours faire d'excellents films mais légèrement trop longs a chaque fois, l'histoire aurait pu être racontée avec 15 minutes de moins je pense, surtout pour avoir une conclusion pas très jouissive. Bref, c'est un long métrage avec une mise en scène extrêmement bien maîtrisée, un scénario extrêmement bien écrit et des performances d'acteurs inoubliables sans parler des décors formidables mais c'est légèrement trop long.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    158 abonnés 996 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2021
    There will be blood est objectivement excellent film, très dur et qui met en évidence les mauvais côtés de la nature humaine. C'est sand doute pour ça que je n'arrive pas à mettre une note plus élevée, que le film mérite néanmoins. On est pris dans cette histoire qui s'inscrit sur un temps long. La reussite de ce film doit beaucoup aux performances magistrales de Daniel Day-Lewis (remporte son 2e oscar à sa sortie) et Paul Dano et à elles seules invitent à (re)voir There will be blood de toute urgence !
    danna2509
    danna2509

    24 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2012
    Si vous avez aimé la dégaine de Day-Lewis dans Gangs of New York alors vous ne serez pas déçu! Plaisanterie mise à part ce film me scotche dans mon fauteuil chaque fois que je le vois. L'histoire est passionnante ainsi que tous les personnages. Paul Dano qui n'avait pas encore posé véritablement son empreinte dans le monde du cinéma tient la nique à D.D.L. de façon surprenante et est à deux doigts de lui voler la vedette. Sa performance est démentielle il suffit de le voir dans la scène de guérison où il entre faussement en transe. Cette scène est complètement dingue et Paul Dano prouve qu'il n'est pas très net non plus. Day-Lewis est génial à chaque plan même s'il frôle le cabotinage régulièrement. Il joue sur un fil et ne se casse jamais la figure. Les paysages, la musique, la mise en scène...tout est bon. Au passage n'hésitez pas à voir les autres films de ce réalisateur. Punch Drunk Love a été une énorme surprise. Bref, There will be blood est devenue un classique dès sa sortie, c'est clairement le genre de film à double tranchant : soit on adhère et on se laisse bercer par le film, soit ça ne passe pas.
    Moi j'ai adoré.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2024
    There Will Be Blood (2007), écrit et réalisé par Paul Thomas Anderson, est une œuvre majeure du cinéma contemporain. Ce film nous plonge dans l’ascension d’un homme, Daniel Plainview, un prospecteur d’argent devenu magnat du pétrole, interprété par Daniel Day-Lewis avec une intensité impressionnante. Entre l’exploration de l’avidité humaine et les conflits spirituels, le récit est à la fois captivant et troublant, bien qu’il ne soit pas exempt de failles.

    L’histoire se déroule à une époque de transition, lorsque l’Amérique bascule vers une modernité marquée par l’exploitation sans relâche de ses ressources naturelles. Daniel Plainview incarne parfaitement cette soif de conquête : un homme à l’ambition débordante, prêt à écraser quiconque se dresse sur son chemin. Son parcours est un miroir de l’émergence du capitalisme moderne, avec ses promesses de richesse mais aussi ses destructions.

    Paul Thomas Anderson livre un scénario structuré, bien que parfois trop lent dans sa narration. Les dialogues, bien qu’épars, résonnent comme des coups de marteau, chacun chargé de sous-entendus. L’histoire s’efforce de maintenir un équilibre entre l’intime et l’épique, bien que certains passages s’étirent un peu trop, diluant par moments l’impact émotionnel du récit.

    Daniel Day-Lewis, dans le rôle de Daniel Plainview, livre une performance magistrale qui porte le film de bout en bout. Sa présence à l’écran est si puissante qu’elle occulte parfois les autres personnages, rendant son ascension et sa chute d’autant plus poignantes. Il ne joue pas seulement Plainview, il devient ce personnage complexe, à la fois fascinant et repoussant. Sa voix rauque, son regard glacial et ses accès de rage contrôlée captivent, même dans les moments où le scénario faiblit.

    Face à lui, Paul Dano incarne Eli Sunday, un prédicateur ambitieux et charismatique. Bien que sa performance soit solide, elle peine parfois à égaler celle de Day-Lewis. Les affrontements entre Plainview et Eli, bien que mémorables, manquent parfois de nuance, sombrant dans une opposition un peu caricaturale entre capitalisme et religion.

    Le travail visuel de Robert Elswit, récompensé par un Oscar, est l’un des points forts du film. Les vastes paysages désertiques, les installations pétrolières rudimentaires, et les scènes de feu et de destruction sont filmés avec un sens aigu du détail et une esthétique brute. Chaque plan semble chargé de sens, comme une toile vivante qui raconte autant l’histoire que les dialogues.

    La bande originale de Jonny Greenwood, avec ses cordes dissonantes et ses rythmes anxiogènes, renforce l’atmosphère oppressante du film. Si elle ne plaira pas à tous, elle ajoute une dimension expérimentale qui distingue There Will Be Blood des épopées classiques.

    Le film excelle dans sa capacité à explorer des thèmes universels : l’ambition, la solitude, et la tension entre foi et matérialisme. Plainview est un personnage obsédé par le succès, mais incapable de ressentir le bonheur. À mesure qu’il accumule richesse et pouvoir, il s’enfonce dans un isolement autodestructeur. Le contraste avec Eli, dont la foi vacille face à son désir de contrôle, met en lumière l’hypocrisie humaine et les illusions qui soutiennent nos ambitions.

    Cependant, certains thèmes, notamment ceux liés à la religion, auraient pu être traités avec davantage de subtilité. L’approche parfois frontale d’Anderson réduit la complexité de ces questions à des confrontations bruyantes qui frôlent l’exagération.

    Le final, qui voit Plainview sombrer dans la folie et la violence, est à la fois mémorable et dérangeant. La fameuse scène dans la piste de bowling, bien qu’iconique, peut laisser certains spectateurs perplexes par son ton théâtral et presque grotesque. Elle illustre parfaitement la déchéance de Plainview, mais elle manque d’équilibre par rapport au reste du film, donnant une impression d’excès.

    There Will Be Blood est une fresque fascinante qui capture l’essence d’une époque et les contradictions de l’ambition humaine. Cependant, elle n’est pas dénuée de défauts. Le rythme inégal, certains excès dans la mise en scène, et des affrontements parfois caricaturaux affaiblissent légèrement l’ensemble. Cela dit, les forces du film – la performance exceptionnelle de Day-Lewis, la richesse visuelle, et la profondeur thématique – l’emportent largement sur ses faiblesses.

    En définitive, There Will Be Blood est une œuvre incontournable, marquée par des moments de grandeur, mais qui ne parvient pas toujours à atteindre son ambition démesurée. C’est un film qui reste dans l’esprit bien après son visionnage, une exploration complexe de l’avidité, de la foi, et de la nature humaine, avec ses forces et ses imperfections.
    Philippe C
    Philippe C

    103 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2008
    Je suis allé voir ce film poussé par tant de critiques si positives. J'ai vu un grand film, pas un chef d'oeuvre et après "no country fo the old man" un nouveau regard réaliste et dur sur l'Amérique. Oui la photo et la musiques sont magnifiques. Oui les 2 acteurs principaux sont magistraux. Oui on peut voir dans le film les mythes fondateurs de l'Amérique actuelle. Oui on peut y trouver l'analyse des moteurs (ambition, orgueil, haine,cupidité)qui forgent les grands hommes et qui parfois les entraînent dans la solitude ou la folie. Mais non je n'y ai quasiment pas trouvé ce petit supplément qui vous prend les tripes ( sauf peut être dans le crescendo des confrontations entre les foreur et le pasteur) et je ne peux donc ajoueter une 4ème étoile à ma note.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top