Un film d'une rare mocheté, pas une seule vue ou décor réellement agréable à regarder, on baigne dans la fange du début à la fin, l'histoire est complètement absconse et très enquiquinante en définitive !
Long mais looong, je n'en voyais pas la fin. La bande son est la pire que je n'ai jamais entendu. In-sup-por-ta-ble! Une très grande déception. Je ne souhaite même pas en parler d'avantage.
Récompensé du meilleur rôle aux oscars pour Daniel Day-Lewis, ce film n'est pas pour autant le soit-disant chef d'oeuvre qu'il prétend être! Je ne vois qu'une chose bien évidente, Paul Thomas Anderson ainsi que l'acteur principal Daniel Day-Lewis sont pédants et orgueilleux au plus haut point. On nomme PTA comme le nouveau Kubrick, ah bon! Pourtant, je ne me suis jamais ennuyé une seconde devant une oeuvre de Kubrick tellement la portée de son sujet est hypnotisante. Au contraire, PTA ne sait faire que dans la longueur, des scènes sont inutiles et renforcent notre ennui. De plus, je veux bien que le pétrole soit un monde d'homme, mais le propre de l'humain n'est-il pas d'avoir une libido? Non, bien sûr, Daniel Day-Lewis en tant que pionnier du pétrole, est dans une folie lucrative incontrolable qui dépasse toute envie sexuel. Pourtant vu la longueur de 2h38, une petite présence féminine ne serait pas de trop! PTA se prétend un alchimiste aguerri représentant le nouveau Kubrick ou Ford, il n'est qu'un pion s'essayant au western moderne. Il essaie de se la jouer tendance et novateur par sa musique aux sons disharmonieux et stridents mais il ne fait qu'accentuer notre énervement. La photo est par contre remarquable et des plans sont dignes des plus grands films mais c'est le seul point admirable. Pour ce qui est de la portée de la thématique abordée par PTA, elle n'est pas révolutionnaire. On apprend juste que l'homme est cupide et que le pétrole est une histoire de gros sous depuis sa génèse. Une guerre entre hommes qui amènent violence et nihilisme. Le final ne m'a rien fait du tout, les deux acteurs pendant l'affront cabotinaient autant l'un comme l'autre. Paul Thomas Anderson le nouveau Kubrick, on aura vraiment tout vu! J'ai tendance à croire que lorsqu'un un film est ennuyeux c'est un chef d'oeuvre. En simplifiant à l'extrême, c'est ce que je ressens.
De plus en plus souvent, je suis surpris par les critiques. On encense des films qui, quand je les voient, me laissent très perplexe. "No country for..." "Slumdog Millionaire" et j'en passe... Ici, mis à part D. Day-Lewis, pour qui je me suis accroché une bonne partie du film, j'avoue que je ne comprends pas des phrases du genre "intelligence de l'écriture" "fulgurance de la mise en scène" !!! On-t-il vu le film ? La mise en scène n'est pas fulgurante mais assommante ! Tout comme l'histoire qui supporte difficilement un étirement si extrême. On peut lui enlever une bonne heure sans problème. L'ennui domine. Il faut s'inquiéter du sort d'un homme aussi aimable qu'un pied de chaise, que les autres dégoute. Qui abandonne son fils pour ses profits. Qui escroc son prochain... J'ai connu héros plus porteur ! Revenons sur l'écriture, j'ai eu l'impression d'avoir manqué des épisodes. Tout cela est très décousu ! Non vraiment, j'ai l'impression qu'on revient au temps où l'art n'était qu'une masturbation en groupe d'intellects qui roucoulent en soirées mondaines...
C'était le film adulé par tous les professionnels, le chef d'oeuvre de 2008, donc je me suis dit que je devais le voir pour me faire une idée. Je crois qu'un type très respecté à dit un jour, c'est le plus grand film de tous les temps (alors qu'il devait être bourré et drogué à mort), et que tout le monde à suivi le mouvement. Moi en tout cas je me suis fait chier à cause de la lenteur du film qui dure 2h45min, je me suis "obligé" à le voir entier pour dire. C'est pour moi un des plus mauvais film que j'ai vu en 2008, peut-être que je suis bizare? Peut-être que tout le monde suit sans réfléchir la presse? En tout cas je n'ai rien ressenti en voyant ce film, à part de l'ennui, alors que, pour moi, le but d'un film est de nous faire éprouver des sensations, sentiments quels qu'ils soient.
Une déception.. je ne comprends les commentaires dytyrambiques. Effectivement, l'histoire de ce chercheur de pétrole est l'occasion d'une fresque historique pétrolière intéressante. Ses rapports avec son fils génèrent tensions et émotions. En revanche, sa relation avec un pasteur faux prophète frise la caricature. On a l'impression d'avoir déjà vu 15 fois la description de la congrégation d'illuminés protestants. Pas très original, peu inspire, peu inspirant. Et ça fini en queue de poisson.... Dans l'ensemble, c'est d'une extreme lenteur et assez ennuyeux. Certes il y a un beau show Daniel Day-Lewis. Mais qui ne relève pas un scénario très léger. bref si vous êtes abonné ni a Télérama, ni aux cahies du cinéma, vous pouvez vous évitez cela.
Un Daniel D.lewis impeccable, mais un film trop mis en avant par la critique presse. une bande son qui irrite, des longueurs épuisantes, pour une fin abrupte et sans intéret.Film résevé selon moi a un public particulier.
Malgré quelques belles scènes (surtout la fin) et de bons acteurs, je ne vois pas en quoi ce film est un chef d'oeuvre. Je l'ai trouvé bien trop long et je me suis ennuyé assez souvent.
Allez hop, une etoile pour la prestation de DD Lewis et puis on en parle plus. Si, j'ai tout de meme envie de vous dire que je me suis fais chier. C'est frustrant. Tout le matos est la pour faire un bon film mais le scenariste avait la chiasse alors on a decide de faire sans. Je ne vois pas d'autre explication.
15 minutes sans paroles. Une musique à base de bruit, décalée, annonciatrice d'un drame. Une photo sublime, des acteurs crédibles. Et puis, ça se met à parler. Et là, c'est le drame. Une trame des plus classique, peu de rebondissements, un jeu d'acteur appuyé, une lenteur emphatique (c'est ça qui donne à penser aux pseudos intellos qu'on est face à un chef d'oeuvre... mais ce n'est pas L'assassinat de Jesse James qui, lui, utilisait le vide et le silence à bon escient). Malgré un enjeu intéressant avec deux personnages négatifs, il faudra tenir 2h25 avant la confrontation finale, qui, à force de surjouer (et qui tranche avec le reste du film), tourne à la tragi-comédie. Paradoxalement, ce final est le plus réussi du film. Le reste est joli à regarder mais on peut s'autoriser à dormir, on ne rate rien de spécial. C'est bien dommage pour un film qui s'annonçait comme une fresque spectaculaire sur l'extraction du pétrole au début du 20eme siècle. 1h38 aurait largement suffit, des pans entiers du film auraient pu être enlevés, comme le passage sur ce frère qui arrive au milieu, sans justification dramatique. Le personnage de Daniel Day Lewis opère un changement psychologique certes, mais ce ressort dramatique est inutile. J'aurais préféré voir le côté religieux approfondi avec Paul Dano, jeune espoir du ciné US, et ses relations avec Daniel Day Lewis. Il manque du panache à ce film paresseux, qui heureusement, n'a pas eu l'oscar du meilleur film, et dont le titre n'est pas loin du racolage.
L'Oscar du meilleur acteur n'est pas volé, c'est certain. A part ça, c'est abominablement long et ennuyeux, avec une musique gueularde qui dramatise à outrance chaque instant, même le plus insignifiant : migraine assurée.
Il est difficile de rester jusqu'au bout de ce film pesant.Daniel Day Lewis surjoue outrageusement. (bon, on le comprend: ça lui rapporte l'Oscar). La musique est insupportable. Rien , à aucun moment, ne nous attache au personnage. La capitalisme et la religion comme naissance de l'amérique, voilà qui est lourd, peu original et, ici, tres bruyant.