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    There Will Be Blood
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    Dust-in-the-wind
    Dust-in-the-wind

    14 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2012
    Putain quel film ! Daniel -day- lewis MAGISTRAL !! à voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mars 2012
    Des acteurs qui jouent tres bien mais a part ça le film est très long. Je l ai regardé en entier par curiosite mais il n y a pas beaucoup de rebondissements. Et la bande son stridente pour donner un effet de style ne m a pas vraiment emballé
    . Bref il faut vraiment aimer le genre dramatique...
    caro18
    caro18

    171 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2012
    Long et ennuyeux, cruel et pas toujours interessant.
    Mr_Moui
    Mr_Moui

    2 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2012
    Film dans la même veine que "There no country for old men" même si il est à mon goût nettement moins bon. A revoir! Mr_Moui
    3.5/5
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mars 2012
    un regard cruel et horrifique sur la nature humaine, immorale, un classic du cinéma qui vaut mieux que son rivale: No countrey for old men, 2007 est certainement la meilleur cérémonie des oscars depuis l'an 2000, un classic qui renvoie a la ciné de Scorsese, D.D.L. en la peau d'un prospecteur misanthrope, d'un caractére fort, mérite bien ses 24 récompenses dont l'Oscar, mention spéciale a la musique de johnny greenwood.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    There Will Be Blood est une superbe réussite scénaristique, visuelle, auditive. Les acteurs (dont bien sur Daniel Day-Lewis et Paul Dano sont excellents, l'image superbe et vraiment en accord avec la folie et le dégoût qui anime le film de bout en bout. Les décors sont impressionnants et la musique (Johnny Greenwood) propulse le film dans la catégorie des films d'ambiance qui vous marque toujours. Mais si le film est aussi intéressant, ce n'est pas uniquement par ce qu'il représente la réussite parfaite de la grande fresque dans la naissance du pétrole et son évolution, mais également par-ce qu'il nous montre des personnages soumis à la puissance terrible de l'or. Implacablement, le film enchaîne son histoire vouée à la mort : après un prologue qui donne l'ambiance mais également des repères historiques sur l'extraction du pétrole, on suit la montée d'un "oil man" comme il s'appelle. Tout de suite, on comprends que le film est une réussite : on ne s’ennuie pas mais on savoure la longueur des plans, on observe des paysages maintes fois peints dans les westerns mais pourtant tout semble nouveau. There Will Be Blood combine tous les éléments des classiques mais se les réapproprie pour donner un spectacle tout à fait neuf. La beauté irradie chaque plan, tout dans le scénario est calculé et maîtrisé, sans jamais penché dans le mécanique. Le film respire un caractère unique. Le héros Henry Plainviewet son fils achètent des terres et finissent par faire construire un petit village idéal avec son puis de forage, son église, ses maisons, ses champs. C'est là qu'on découvre l'étendue de la folie du film (aperçus dans le prologue) à travers le sermon incroyable de Dano. Le fils devient aveugle suite à un accident sur le terrain et le père l'abandonne. Là encore, le film gagne en intensité et soulève de nouvelles questions sur les responsabilités et l'abandon. Les affaires continuent, un homme vient et annonce qu'il est le frère d'Henry. Après quelques scènes magnifiques (la plage avec ses ombres et ses lumières, le feu de camps) qui exposent avec violence la folie qui prend le héros au fur et à mesure, on croit être sauvé : une ellipse. Un château, un saccage abominable, un homme perdu, le fils qui revient et se fait rejeter. Henry est devenu fou. Le prêtre (Paul Dano) revient et la discussion prend de l'ampleur. Le prêtre et Henry sont frères, demis frères. Pourtant tout les opposaient avant, maintenant, le Paul veut monter sa propre exploitation. Et là, tout explose, le film atteint dans son ambiance, ses dialogues, ses personnages des profondeurs que peu ont abordés. Ca se finit sur un parquet de bowling, avec une quille. Le choix du lieu est aussi important : cette piste où on lance une boule pour défoncer les quilles est l'endroit parfait pour ces révélations et ces folies finales. Certains phrases restent célèbres : "I drink your milshake" ou "I'm finished". Le film se termine par une scène inoubliable, par cet afflux de sang et de malaise aux tempes, accompagné de ce parfait concerto de Brahms. Paul Thomas Anderson et son équipe ont bien réussit leur coup : leur bébé est devenu culte et pour de bonnes raisons pour une fois. Le film se termine bien comme on l'avait annoncé : dans le sang et la folie. "There Will Be Blood". E.M
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 mars 2012
    There Will Be Blood est le genre de film qu'on voit très rarement. On ne peut qu'etre renverser par ce film tout simplement excellent, il faudra attendre qu'il prenne véritablement vie car pour ma part le début m'a laissé assez perplexe mais on est inévitablement hypnotisé par la réalisation de Paul Thomas Anderson qui est parfaite, sans aucunes failles. Il impose un style magnifique, comme une leçon de mise en scène, vraiment bluffante du début à la fin. Difficile de trouver les mots pour qualifier cette oeuvre unique d'une force incroyable et d'une intensité rare qui nous nous emporte totalement. La performance de Daniel Day-Lewis est magistral (Oscar mérité), il interprète ce rôle à la perfection dans toute sa complexité (je ne pense pas que beaucoup d'acteurs puissent l'égaler).
    Déjà un classique !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Très beau film. Tout est maîtrisé à la perfection. Les plans séquences sont magnifiques. Les acteurs sont fabuleux notamment Daniel Day-Lewis et Paul Dano.
    SuperMadara
    SuperMadara

    84 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2012
    Un drame intéressant , d'une intelligence remarquable et porté par des acteurs exceptionnels mais le tout s'égare et stagne... Complexe et hypnotique , le scénario raconte la conquête de l'or noir par un pétrolier travailleur et égocentrique qui se retrouve accueilli par une communauté religieuse presque sectaire et qui va l'obliger a combattre ses démons , une intrigue morale et qui parle avec importance et intelligence de la folie des hommes a travers la religion , l'argent ou la réussite mais parfois , ça semble stagner et ça s'éparpille beaucoup . Formidable acteur encore oscarisé , Daniel Day-Lewis livre une nouvelle incarnation de son personnage , il se donne corps et âme pour rendre humain et vraie son personnage , face a un Paul Dano impressionnant dans son exercice de prêche . Très lente et hypnotique , la mise en scène de Paul Thomas Anderson est réussi , une sorte de prêche qui s'orchestre avec une certaine froideur et une vision terriblement grandiose de la folie des hommes .
    Un western dramatique et humain réussi , des acteurs de haut niveau et une intelligence certaine mais qui pousse a la confusion .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2012
    Sans faire l'intello de service, il faut bien avouer que la sortie en DVD du film permet d'avoir enfin une idée de la V.O., avec notamment la voix du faux-frangin de Daniel Plainview, très irritante. Comme le film, d'ailleurs. Voila, c'est ça. C'est un film irritant. La musique de Greenwood, guitariste de Radiohead, n'aide pas beaucoup. Le film aurait beaucoup plus plu (au sens de toucher le grand public, but du cinéma, quand même) avec quelque chose de plus sirupeux ou de plus émotionnel. Et pourtant ça fonctionne. Justement parce que c'est une vision froide de la période 1901-1927, et que il n'y a aucun manichéisme dans le film. L'erreur aurait été de faire du prêtre Eli le gentil de l'histoire, mais il est aussi englué dans ses propres contradictions que Plainview. L'image, les longs plans séquence, le jeu des acteurs est excellent. Certains ont trouvé Day-Lewis cabotin, pourtant il est à mon sens excellent dans ce rôle de "winner" athée, brutal, obstiné et complexe sur le fond. Bon, c'est vrai qu'on rit peu, et il n'y a pas de bêtisier à la fin. Cinq étoiles quand même !!!
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    135 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2012
    There will be blood c'est un peu au pétrole ce que Scarface est à la cocaïne... L'ascension tout ce qu'il y a de plus amorale d'un homme, une vie rythmée par les trahisons, et une fin déchéante. Ce film est un vrai tourbillon, il est d'une violence inouïe (pas sur les images, mais sur le propos). C'est un chef d’œuvre de noirceur, qui dénonce à tour de rôle la corruption d'une religion pseudo libératrice, l'hypocrisie intellectuelle, la foi intéressée, l'avidité, la soif de pouvoir, en nous dressant le portrait d'un homme profondément misanthrope. Le film est très dur, à la fin on reste devant notre écran, lessivé. Daniel Day Lewis (dire que c'est le premier film que je vois avec lui... Mais dans quelle grotte vis-je ?) est incroyablement troublant dans ce rôle, et surtout extrêmement doué. Le duo qu'il forme avec Dillon Freasier (dont la maturité dans le jeu est éblouissante), toujours à la frontière entre amour et haine, protection et destruction, est d'une crédibilité hallucinante... La scène où il court le chercher après l'explosion est de ces scènes qui marquent : un long travelling avec un rythme, une musique, de l'émotion... Ce film c'est "un film à scènes", le genre de film dont on se souvient parfaitement de certains passages (les scènes où Day-Lewis est proche de la démence, à savoir la scène de l'exorcisme ou encore la très réussie scène finale, frappent comme des coups de poing)... La photographie, elle, est splendide : Anderson (que je ne connaissais pas non plus, décidément je me coucherai moins inculte) confère à ses images une force incroyable. La profondeur de champ, les plans, les effets spéciaux... C'est un bonheur pour les yeux. Les musiques (ou la façon dont le son est exploité quand on est plongé dans la tête de HW) se confondent au film et participent à sa gravité extrême. Une histoire triste, puissante et bouleversante, sur l'exploitation du pétrole, un or noir qui souille des mains que le sang du Christ ne suffit pas à laver...
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2012
    L'histoire d'un chercheur d'argent qui va faire fortune dans le pétrole, à quel prix.
    Je ne sais pas qui était dans le jury des Oscars cette année, mais il faut admettre que « There will be blood » est de très loin le meilleur film américain depuis longtemps. Et Day Lewis explose les limites du talent typé Actors studio. Le deuxième choix des frères Cohen étant dans la même lignée, celle de l'excellence.
    Ces films montrent à quel point le cinéma hollywoodien est devenu mature, peut-être parce qu'il n'est plus uniquement le divertissement des masses, que l'âge moyen des cinéphiles s'est allongé, ou enfin que le dogme républicain de la morale puritaine est enfin en train de disparaître devant la complexité du monde qui nous entoure, en tant que victime du manichéisme de l'époque des héros, je suis impatient de voir la mentalité dans 20 ans des jeunes de 15 ans qui regardent aujourd'hui ce petit chef d'œuvre.
    Avant, les seuls héros qui échappaient à la mièvrerie du bon gars moral tout en paraissant réaliste car méchant comme un humain était toujours le méchant. « Le parrain », « Platoon », « Blade Runner », et « Scarface » sans parler des Sergio Leone. Aujourd'hui, les jeunes réalisateurs osent enfin montrer que les héros ont du sang sur les mains. Et des idées pas très catholiques.
    Effectivement, dommage pour Clooney qui a fait son boulot parfaitement tout en demi-teinte dans l'excellent « Michael Clayton », ici, c'est de la dynamite sans retenue, et c'est imbattable.
    Ce film est superbe de bout en bout, il remet à plat beaucoup de codes des films historiques, d'action ou dramatiques. La psychologie est abordée en filigrane, sauf dans une scène où tout est résumé, mais dans l'ensemble, les silences de Day sont plus parlants que beaucoup de mélodrames bavards actuels.
    La fin et quelques scènes sont extraordinaires, parce que senties, comme avec la plus forte haine, la plus grande humanité, pas celle des fleurs bleues et de la faiblesse de la civilisation, celle des survivants.
    C'est aussi une virulente critique de la lâcheté des hommes, celle de la religion en premier lieu, celle du sentimentalisme, et enfin des dés truqués du capitalisme des « gros ». Certaines scènes sont hallucinantes, tellement tout est résumé en peu de plans, et peu de dialogues. Et généralement de manière surprenante, car on ne sait pas ce qu'il y a dans tous ces crânes.
    Bref, Day Lewis campe ici mon héros rêvé, c'est un plaisir innatendu. Un mysanthrope qui déteste son prochain avec tellement de raisons et de force que c'en est jubilatoire.
    Le défaut le plus flagrant est le peu de maquillage pour faire croire aux 15 ans ou plus qui séparent les deux périodes du film, et c'est bien dommage, car ce n'était pas le plus difficile à réussir. La photo alterne des choses ordinaires avec le très grand cinémascope. A part ça, j'étais tellement bluffé que je n'ai pas remarqué grand chose, enfin si, la flaque de pétrole sur la caméra est le genre de chose qui m'énerve toujours, car antynomique de la condition du spectateur extérieur d'un récit, mais c'est sans doute une scène que le réalisateur ne pouvait pas tourner deux fois.
    Un film tellement parfait et moderne que je préfère ne plus rien écrire, allez-y, vous ne le regretterez pas si vous avez le cœur bien accroché. Par ailleurs, ce n'est pas spécialement un film sur le pétrole, mais bien sur la réussite (matérielle) américaine et ses combattants.
    On ne peut pas conclure sans évoquer la musique. C'est une resucée de la BO de Georges Delerue dans « Police Python 357 », mais elle est magistrale, envoûtante, anachronique, jouant d'un modernisme contemporain pour mieux surprendre et faire vivre la violence d'une société qui n'a jamais compté que sur elle-même pour survivre. Les fans de Radiohead n'y trouveront aucune ressemblance, sauf sans doute le génie artistique, mais cette fois sans fausses notes.
    Sans parler d'un bien agréable Brahms servant à regarder tranquillement le générique de fin, pour ne pas sortir trop brutalement dans ce quotidien parisien si ordinaire et lâchement politiquement correct.
    Enfin, c'est le même réalisateur que l'excellent et ultra contemporain « Punch drunk love ». Bon sang ne saurait mentir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Un très bon film, très bonne photo, bon son, montre des hommes lorsqu'un homme pouvait compter. Mais le fil conducteur, qui se voulait probablement une déconstruction de l'homme d'affaire de succès dans un milieu compétitif - la course aux ressources régie par la loi de la jungle - est un peu mou.
    Devant un sujet relativement complexe, le réalisateur a préféré mettre en place un personnage assez primitif, enchainer des images simples et de laisser comprendre qui que pourra. Donc on voit le héros se débattre un peu avec son humanité embryonnaire mais surtout, sans surprises, lâcher de plus en plus la bête féroce en lui, jusqu'au final en apothéose lorsque, par la personne interposée du pasteur corrompu, probablement représentant aux yeux du héros sa propre âme rabougrie - avec laquelle il fût en compétition toute sa vie -, il se débarrasse enfin de tout reste d'humanité. Belle phrase finale, "J'ai fini", se référant tant à son assiette qu'à l'oeuvre sur sa vie.

    Dans l'ensemble à voir, entre les bons plans et la relative bonne construction des personnages, tout le monde y trouvera son compte. Mais l'histoire est pour le moins simplette.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 janvier 2012
    forcement on peut rester un peu sur sa faim vu la réputation de chef d'oeuvre du film, mais c'est quand meme un immens film , le réalisateur met du souffle et de l'épique dans son film mais il n'a pas voulu mettre du patos par ambition mais le film y aurait gagné je pense
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 janvier 2012
    Vraiment un grand film, si on sait à quoi s'attendre ! La noirceur des images, la noirceur du personnage, tout ce qu'il est prêt à faire, son charisme, la lutte pour le pouvoir, le personnage délirant du prêtre, toute la manipulation... Vraiment un grand film psychologique, avec une fin qui reste en tête.
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