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    There Will Be Blood
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    "je trouve les humains répugnants" tel le héros du film Day-Lewis toujours magistral dans ce genre de personnage annonce la couleur et je suis tout à fait d'accord avec lui,mais paul dano a volé la vedette à Day Lewis quel acteur talentueux, fresque sur le balbutiement du pétrole et son busness avec un grain road movie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    "je trouve les humains répugnants" tel le héros du film Day-Lewis toujours magistral dans ce genre de personnage annonce la couleur et je suis tout à fait d'accord avec lui,mais paul dano a volé la vedette à Day Lewis quel acteur talentueux, fresque sur le balbutiement du pétrole et son busness avec un grain road movie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    "je trouve les humains répugnants" tel le héros du film Day-Lewis toujours magistral dans ce genre de personnage annonce la couleur et je suis tout à fait d'accord avec lui,mais paul dano a volé la vedette à Day Lewis quel acteur talentueux, fresque sur le balbutiement du pétrole et son busness avec un grain road movie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2014
    Exceptionnel ! There Will Be Blood est un chef d’œuvre absolue, inépuisable. Paul Dano et Daniel Day-Lewis sont inarrêtables et le petit H.W est envoutant. Le scénario est absolument remarquable, la mise en scène et la photographie sont somptueuses.
    Paul Thomas Anderson est le maître de la discipline.
    6/5
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    93 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2014
    Auréolé d'un rare prestige avant même sa sortie, There Will Be Blood était attendu au tournant par de nombreux cinéphiles impatients de voir la nouvelle création de Paul Thomas Anderson. Cette attente était elle fondée? Mille fois oui! Loin d'une reconstitution tape à l'œil, ce film est avant tout psychologique en cela qu'il traite de la cupidité et de son impact terrible sur toutes les aspirations de l'homme, y comprit les plus belles (travail, religion, famille). Comme le titre l'annonce, il y a du sang dans ce film: que ce soit celui de la terre qu'on fait jaillir pour s'enrichir, ou bien celui des hommes perdus par leur avidité. La mise en scène, plus calme que ce à quoi le réalisateur nous avait habitué, atteint un niveau de maitrise magistral et laisse une grande place aux profondeurs de champs. Les acteurs livrent également une très belle performance et font de ce long-métrage une œuvre aussi excessive qu'enivrante.
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Tout a commencé dans un désert de poussière. La violence a pris ses racines dans ces territoires infinis. Dans cet espace hallucinant, nous apercevons un homme, seul, comme s'il était le premier à fouler cette terre encore vierge de tous maux. Tel le premier être sur Terre, il commence par un échec en tombant dans un puits qu'il a lui-même creusé. Ce dernier symbolise le pire des abîmes où le mal est terré. Malgré sa chute, l'homme à la longue barbe n'est pas effrayé car il vient de trouver ce qui va faire sa richesse : l'or noir. La douleur ne se ressent pas, seul la puissance compte. Nous savons désormais tout de la terrible ambition de cet individu, la main pleine de pétrole tendue vers le ciel. Sa folle ascension va pouvoir commencer.

    Avec son cinquième film, Anderson met en lumière les valeurs de l'Amérique : l'argent, la violence et la religion. Le pétrolier Daniel et le prêtre Eli représentent ces symboles. L'un utilise la chair, l'autre le verbe. Et le vice de la vengeance transparaît dans chacune de leur rencontre. Ces deux-là jouent un véritable rôle et se mettent en scène pour faire leur numéro grand-guignolesque, donnant lieu à une intelligente et superbe mise en abyme. Le décor dans lequel ils se confrontent peut passer d'une église à la lumière purement artificielle, à une salle de bowling épurée. Pour arriver à leurs fins, ils doivent vendre leur âme au diable, et l'homme devient alors l'équivalent d'une bête. Mais ce pétrole représente bien plus que de l'argent, il est une plaie indélébile dont on ne peut se défaire. Même la caméra se fait éclabousser par cette matière visqueuse qui causera la perte de beaucoup. En rivalité progressive, ils cherchent tout deux à prendre le pas sur l'autre. Mais personne ne gagnera si ce n'est la folie, s'emparant d'eux comme le pire des poisons. L'importance des éléments est d'ailleurs à souligner : le feu, l'eau, le pétrole ou la terre révèlent chacun une profonde vérité. La mine d'or qu'il y a sous nos pieds, la trahison d'un proche, la cupidité des hommes ou leur côté obscur, rien ne peut être gardé secret.

    Qui est ce businessman Daniel Plainview ? L'homme qui a commencé seul dans un puits et qui est devenu millionnaire. Alcoolique, menteur, antipathique, envieux, colérique, il est par essence un pur pécheur. Malgré tout, nous ne pouvons cerner ce qu'il a dans la tête, ce qui donne à ce protagoniste toute son intensité dramaturgique. Il déteste les gens mais se déteste également. Ou alors, il se place au-dessus de tout le monde et souffre d'un profond complexe de supériorité. De même, le réalisateur inclut à son histoire personnelle des problèmes familiaux (confiance donnée à un frère, attraction / répulsion d'un fils), inhérents à n'importe quel récit tragique. Ce père cache toutefois un côté humain en éprouvant certains regrets, trahis par un flash-back discret mais essentiel. Ce personnage échappe à toute analyse, il est tout cela et bien plus encore, et ce n'est pas anodin qu'il ait pris une place primordiale dans l'histoire du cinéma.

    Très documenté, There Will Be Blood ne reste pas attaché à l'histoire qu'il raconte mais prend la forme d'une véritable œuvre singulière. Au-delà des innombrables thèmes dont parle Anderson, sa technique cinématographique est irréprochable, à commencer par la qualité de ses mouvements de caméra. Le cinéaste ne coupe pas un plan pour plus de facilité, il le fait durer le temps qu'il faut pour produire un résultat tout à fait abouti. Ces travellings prennent parfois le chemin de choses infinies (rail, pipeline) qui bousculent les habitudes des spectateurs, ayant l'impression d'assister à un film qui dépasse les intentions même du cinéaste. Ces plans, souvent très symétriques, renvoient également au travail du pétrolier. Sa caméra semble en effet être placée au millimètre près pour avoir la plus parfaite vision du territoire possible. En plus d'être brillant, l'américain sait se montrer intelligent en s'entourant des bonnes personnes, comme Johnny Greenwood (guitariste de Radiohead) qu'il ne lâche plus depuis The Master. Ses compositions sont tantôt noires et angoissantes, tantôt enlevées et majestueuses. Ici, la musique est la hauteur des images filmées, et ces deux arts ne font plus qu'un.

    C'est en cela que nous reconnaissons les chefs-d'œuvres atemporels : lorsqu'ils dépassent l'homme et prennent un statut culturel à part entière. There Will Be Blood est long et possède une narration assez lente. Mais toutes ses scènes sont mémorables et doivent être présentes pour atteindre la perfection. Enfin, cette ascension doit prendre fin. Daniel Plainview a fini de manger. Daniel Day-Lewis vient d'achever le plus fantastique de ses rôles. Paul Thomas Anderson a terminé son œuvre, et fait grandir le septième art de manière grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Une fresque contemplative sur un personnage obscur et prométhéen. Superbe !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2014
    Voici le typique exemple du bon film qui deviens excellent grâce aux jeu des acteurs, en particulier Daniel Day Lewis même si il ne faut surtout pas oublié les autres acteurs car tout le casting est vraiment très bon. Serte la Bande Original est de très bonne qualité et la réalisation fabuleuse, on pourrait même y retrouvé un peu de Sergio Leone par moment, mais je défie n'importe qui de voir le film et de me dire que le film serrait aussi bien sans Daniel Day Lewis. Et pour conclure. Rien que pour la scène final: respect, monsieur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Paul Thomas Anderson nous livre ici une œuvre intéressante. On y découvre un Daniel Day-Lewis au sommet de son art, avec un jeu d'acteur impressionnant. Il aide à établir un portrait dur mais réaliste de la course vers l'or noir amenant son personnage de son succès à sa décadence. La musique, dissonante la majorité du temps aide à créer une tension continue qui nous ronge tout au long du récit.
    Malgré tout, ce film soufre de nombreuses lenteurs, qui, ajouté à un durée conséquence, amènera plus d'un spectateur à s’essouffler.
    WenJiaoBao
    WenJiaoBao

    3 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    Bon jeux d'acteurs; Daniel Day Lewis est magistral de crédibilité; ce film fut une bonne surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Malgré un début et une fin intéressante, le film enchaîne les scènes à la limite du compréhensible et de l'ennui. Les protagonistes sont beaucoup trop complexes et il est presque impossible de s'attacher à eux tout en réussissant à suivre l'histoire. Les ellipses temporelles sont particulièrement mal placées et la BO est bien souvent complètement en décalage avec l'action. Bref, seul le jeu de Day-Lewis vaut le coup d’œil, pour le reste, on aime ou pas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 novembre 2013
    Ça commence comme un coup de maître : vingt minutes sans dialogues sur fond d’ascension d’un chercheur d’or au début du XXe. On pense instantanément à 2001, l’odyssée… et on se laisse transporter par le caractère hypnotique des images. Quand les mots déboulent au moment où nous ne les attendions plus, la magie ne se brise pas pour autant et on suit toujours attentivement l’épopée de ce Mr Plainview, joué par le trop rare Daniel Day-Lewis. Puis, environ à la moitié du film, tout cela s’évapore. Précisément suite au passage où son fils et pseudo-associé perd la parole dans le cadre d’une catastrophe météorologique. Ironiquement c’est ce nouveau silence qui rompt avec la domination exercée par cet antihéros sur son domaine d’activité. Et on réalise dés lors que le portrait qui nous est présenté n’est finalement guère passionnant ni fascinant. Car le personnage manque d’ambiguïté, n’égale pas « le boucher » joué par le même Day-Lewis dans Gangs of New York. Il devient trop détestable pour qu’on se sente concerné par son sort et, vu qu’il figure sur chaque plan des 2h40 que dure le long-métrage on n’a guère l’occasion de s’attacher à d’autres éléments du récit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    "Sorte de Barry Lyndon du 21ie siècle, filmé à la lumière du pétrole, "There Will be blood" nous plonge dans la vie de Daniel Plainview, un égoïste, qui aurait fait sienne la sentence: "Ce n'est pas sorcier de gagner beaucoup d'argent, quand on ne veut que gagner de l'argent" (un témoin, dans "Citizen Kane")."
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 novembre 2013
    Pur chef d'oeuvre. Je vais manquer de mots pour vous dire ce que je pense de There Will be Blood. C'est à mon sens un des plus grand film que j'ai vu, un chef d'oeuvre du 7e art qui réunit tout, absolument tout ce dont un long métrage a besoin. L'histoire est grandiose, merveilleusement adaptée. C'est une virulente critique du rêve américain et un sujet qui s'adapte à merveille à l'écran avec toute la démesure de Paul Thomas Anderson. La photo est superbe, la mise en scène géniale, tout comme les décors et les costumes. Et par dessus tout, Daniel Day-Lewis est fabuleux. Véritablement polymorphe, Day-Lewis campe un personnage à la hauteur de son talent. La scène finale est... somptueuse et virtuose à tous les égards, et résume à elle seule tout le film. Un chef d'oeuvre absolu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 novembre 2013
    15 premières minutes haletantes (et sans paroles, un hommage à Il était une fois dans l'Ouest?), une photo superbe, une musique envoutante, et pourtant, un film trop long, qui n'en finit plus de ne pas finir, et termine en grand guignol avec deux acteurs en roue libre qui en deviennent caricaturaux.
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