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Ça va saigner (...). Tout cela dans le seul but de faire vibrer le spectateur deux heures trente-huit durant, en brossant le portrait d'un salaud. C'est le défi relevé haut la main par Paul Thomas Anderson, qui signe là un chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Par la force et l'audace du propos, sublimé par l'extraordinaire maîtrise de la réalisation, amplifié par l'interprétation monstrueuse de Daniel Day-Lewis, There will be blood s'inscrit dans une lignée prestigieuse (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) un film sensoriel de la plus haute ambition qu'a réalisé Paul Thomas Anderson, tenu sur toute la ligne, et qui se permet les audaces les plus folles, ce des quinze premières minutes sans dialogue jusqu'à la dernière demi-heure qui se fige dans la folie. En un mot, un chef-d'oeuvre.
[There will be blood] accomplit le prodige de se situer dans la meilleure tradition du cinéma populaire ambitieux tout en imposant une réelle et profonde modernité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La virtuosité cinématographique de Paul Thomas Anderson atteint des sommets et le travail sur la photo (...) la musique discordante et inquiétante (...) conférent à ce film fabuleux le sceau du chef d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
(...) film cruel et magnifique (...) A 38 ans, le metteur en scène (...) est le premier de sa génération à produire un de ces grands films qui jalonnent l'histoire du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
There will be blood s'avance (...) comme l'un des films les plus hypnotisants de la décennie. Et comme un tournant pour toute une génération de cinéastes américains.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Austère, esthétiquement brillant et mu par des idées jusqu'au-boutistes. Anderson (...) s'appuie (...) sur une performance folle et hantée de Daniel Day-Lewis. On en ressort fasciné et meurtri, mais conscient d'avoir assisté à un grand film.
Anderson filme le tout avec une rigueur très “kubrickienne”, entraînant le récit aux frontières du fantastique grâce à la musique inquiétante de Jonny Greenwood. Incontournable.
La critique complète est disponible sur le site Metro
La mise en scène s'appuie sur la force brute des images et la puissance évocatrice d'une musique dissonante. Le réalisateur impose un nouveau cinéma qui refuse les formules et s'abat sur nous avec la force des éléments déchaînés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'intelligence de l'écriture, la fulgurance de la mise en scène, l'énergie de l'interprétation font de la vision de "There will be blood" une expérience unique et galvanisante.
La critique complète est disponible sur le site Positif
[Paul Thomas Anderson] réalise (...) un chef-d'oeuvre qui a l'ampleur d'un grand classique. L'interprétation méphistophélique de Daniel Day-Lewis (...) est littéralement démente. Paul Dano (...) le talonne dans la démesure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Âpre et désenchanté, ce grand film, dont la méditation sur le pétrôle reste d'actualité, fera date. Pour sa mise en scène puissante mais sobre, dénuée d'emphase, pas de souffle, autant que pour la performance de Daniel Day-Lewis.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Par une savante gestion du temps (...), par (...) une bande-son hantée et (...) un Daniel Day-Lewis proprement terrifiant, Paul Thomas Anderson maintient une tension permanente jusqu'à l'explosion de violence finale (...). Le film révèle alors son vrai visage: celui d'un film d'horreur grinçant (...).
"There will be blood" pourrait n'être qu'une épopée de plus sur le pétrole (...) Or Paul Thomas Anderson (...) a brillamment joué le jeu du spectaculaire (l'incendie du forage, par exemple) en privilégiant, à chaque instant, trouble, doute et ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'argent demeurera victorieux. Mais seul et du sang plein les mains. Il y aura du sang, nous avertit Paul Thomas Anderson. Et pas uniquement sur l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
(...) son [Paul Thomas Anderson] talent est comme libéré. Il est mis au service d'un film dont le programme respire à pleins poumons l'air d'un espace jamais atteint auparavant.
Paul Thomas Anderson a atteint le point qu'il visait et vient de produire la critique la plus virulente du mythe de la réussite et du self-made-man américain.
C'est un film noir et âpre (...) que signe P.T. Anderson. There will be blood distille une ambiance lourde et accablante, heureusement électrisée par les éclats de folie de Daniel Day-Lewis.
There will be blood déjoue à tous les niveaux, les attendus de la " grande fresque ". Son audace est là, surtout. Elle est, au fond, a minima. Ne porte sur rien d'immense, est volontiers centripète, plus que centrifuge. C'est l'incontestable originalité de ce film curieux, mais pas renversant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
20 Minutes
Ça va saigner (...). Tout cela dans le seul but de faire vibrer le spectateur deux heures trente-huit durant, en brossant le portrait d'un salaud. C'est le défi relevé haut la main par Paul Thomas Anderson, qui signe là un chef-d'oeuvre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Par la force et l'audace du propos, sublimé par l'extraordinaire maîtrise de la réalisation, amplifié par l'interprétation monstrueuse de Daniel Day-Lewis, There will be blood s'inscrit dans une lignée prestigieuse (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) un film sensoriel de la plus haute ambition qu'a réalisé Paul Thomas Anderson, tenu sur toute la ligne, et qui se permet les audaces les plus folles, ce des quinze premières minutes sans dialogue jusqu'à la dernière demi-heure qui se fige dans la folie. En un mot, un chef-d'oeuvre.
L'Obs
[There will be blood] accomplit le prodige de se situer dans la meilleure tradition du cinéma populaire ambitieux tout en imposant une réelle et profonde modernité.
La Croix
La virtuosité cinématographique de Paul Thomas Anderson atteint des sommets et le travail sur la photo (...) la musique discordante et inquiétante (...) conférent à ce film fabuleux le sceau du chef d'oeuvre.
Le Monde
(...) film cruel et magnifique (...) A 38 ans, le metteur en scène (...) est le premier de sa génération à produire un de ces grands films qui jalonnent l'histoire du cinéma américain.
Libération
There will be blood s'avance (...) comme l'un des films les plus hypnotisants de la décennie. Et comme un tournant pour toute une génération de cinéastes américains.
MCinéma.com
Austère, esthétiquement brillant et mu par des idées jusqu'au-boutistes. Anderson (...) s'appuie (...) sur une performance folle et hantée de Daniel Day-Lewis. On en ressort fasciné et meurtri, mais conscient d'avoir assisté à un grand film.
Metro
Anderson filme le tout avec une rigueur très “kubrickienne”, entraînant le récit aux frontières du fantastique grâce à la musique inquiétante de Jonny Greenwood. Incontournable.
Ouest France
Cette équipée sauvage, intime et lyrique à la fois, offre à Paul Thomas Anderson les éléments d'une fresque impressionnante.
Paris Match
La mise en scène s'appuie sur la force brute des images et la puissance évocatrice d'une musique dissonante. Le réalisateur impose un nouveau cinéma qui refuse les formules et s'abat sur nous avec la force des éléments déchaînés.
Positif
L'intelligence de l'écriture, la fulgurance de la mise en scène, l'énergie de l'interprétation font de la vision de "There will be blood" une expérience unique et galvanisante.
Première
[Paul Thomas Anderson] réalise (...) un chef-d'oeuvre qui a l'ampleur d'un grand classique. L'interprétation méphistophélique de Daniel Day-Lewis (...) est littéralement démente. Paul Dano (...) le talonne dans la démesure.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Âpre et désenchanté, ce grand film, dont la méditation sur le pétrôle reste d'actualité, fera date. Pour sa mise en scène puissante mais sobre, dénuée d'emphase, pas de souffle, autant que pour la performance de Daniel Day-Lewis.
TéléCinéObs
Par une savante gestion du temps (...), par (...) une bande-son hantée et (...) un Daniel Day-Lewis proprement terrifiant, Paul Thomas Anderson maintient une tension permanente jusqu'à l'explosion de violence finale (...). Le film révèle alors son vrai visage: celui d'un film d'horreur grinçant (...).
Télérama
"There will be blood" pourrait n'être qu'une épopée de plus sur le pétrole (...) Or Paul Thomas Anderson (...) a brillamment joué le jeu du spectaculaire (l'incendie du forage, par exemple) en privilégiant, à chaque instant, trouble, doute et ambiguïté.
aVoir-aLire.com
C'est dire la puissance de There will be blood, chef-d'oeuvre indiscutable dont on n'a pas fini d'épuiser les beautés.
Brazil
L'argent demeurera victorieux. Mais seul et du sang plein les mains. Il y aura du sang, nous avertit Paul Thomas Anderson. Et pas uniquement sur l'écran.
Cahiers du Cinéma
(...) son [Paul Thomas Anderson] talent est comme libéré. Il est mis au service d'un film dont le programme respire à pleins poumons l'air d'un espace jamais atteint auparavant.
Charlie Hebdo
Paul Thomas Anderson a atteint le point qu'il visait et vient de produire la critique la plus virulente du mythe de la réussite et du self-made-man américain.
Le Journal du Dimanche
C'est un film noir et âpre (...) que signe P.T. Anderson. There will be blood distille une ambiance lourde et accablante, heureusement électrisée par les éclats de folie de Daniel Day-Lewis.
Le Parisien
Voilà une oeuvre monumentale, fascinante, d'une richesse rare (...) de celles qui restent gravées dans les mémoires.
Chronic'art.com
There will be blood déjoue à tous les niveaux, les attendus de la " grande fresque ". Son audace est là, surtout. Elle est, au fond, a minima. Ne porte sur rien d'immense, est volontiers centripète, plus que centrifuge. C'est l'incontestable originalité de ce film curieux, mais pas renversant.
Les Inrockuptibles
Une fable extrêmement appuyée, vouée au cabotinage de Daniel Day-Lewis. Attention, faux chef d'oeuvre.