Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Brazil
par Mathieu Beaudou
Les lumières du faubourg est animé par cette poésie burlesque irrésistible qui fait émerger l'humain dans le moindre geste maladroit, dans le moindre regard dépité, dans le moindre plan. Sous leurs airs minuscules, les films de Kaurismäki sont immenses.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) toujours cette parcimonie sublime du plan qui dure juste ce qu'il faut (...), ces notes d'ironie douloureuse et souriante qui n'appartiennent qu'à ce cinéaste à nul autre pareil, si dur en apparence, si doux tout au fond.
Positif
par Jean A.Gili
Il y a, dans les Lumières du faubourg, comme une raréfaction d'épure, un travail exemplaire pour un cinéaste qui n'a peut être jamais été aussi maître de ses moyens expressifs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Les Lumières du Faubourg est du pur Kaurismaki et pourtant le film se voit comme s'il était tout neuf, sans précédent.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Françoise Delbecq
Dans un Helsinki nocturne, étrange et métallique, les rapports humains ne s'expriment que dans la violence. Visages figés, économie de dialogues, mise en scène dépouillée, Aki Kaurismaki, une nouvelle fois, va à l'essentiel. Un film lumineux qu'un Renoir ou un Carré n'aurait pas renié.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Emile Breton
Lumières de la ville, aussi digne dans son refus de l'émotivité facile (...) dit que ce cinéaste venu du froid n'a pas fini de nous étonner : il n'y a pas plus tendre observateur que lui d'un monde qu'il voudrait fraternel.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Un petit chef d'oeuvre d'esthétique et de lucidité glaciales.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Aki Kaurismäki plus bressonien et pessimiste que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Pas gai, le monde d'Aki Kaurismäki. Il présente ce mélodrame(...) pour raconter, dans la pudeur et la retenue, les émois d'une intense histoire d'amour.
Paris Match
par Christine Haas
Pas de sentimentalisme dans ce mélo dont la noirceur contraste avec les couleurs chaudes d'un décor stylisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Emmanuelle Spadacenta
(...) profondément humaniste, Kaurismäki a l'art et la manière d'embellir la poisse et le poisseux, et d'en faire un grand bal drolatique, trash et poétique (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Frédéric Strauss
Noir et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Aki Kaurismäki (...) peint des situations en apparence banales pour leur conférer un relief unique et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) la petite musique kaurismakienne continue de nous ensorceler.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les Lumières du faubourg ne brillent pas du seul éclat de la noirceur : il y a aussi la musique -les sublimes tangos de Carlos Gardel, le rock énervé du groupe que vont voir Kostinen et sa noire amante - et l'élégance épurée de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
La petite fabrique kaurismäkienne semble bien épuisée, mais cet épuisement dégage une certaine puissance expressive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(...)même si Aki Kaurismaki n'a rien perdu de son cinéma, de cette patte si singulière et reconnaissable entre mille, le spectateur reste sur sa faim.
Première
par Olivier de Bruyn
Beau et indiscutable, oui, mais un poil frustrant...
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Quand un cinéaste n'a rien à ajouter à son oeuvre qu'une simple répétition, un pauvre bégaiement, une facile reprise, il faut se poser des questions...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Marc Petit
Malgré la beauté du désespoir qui habille certains plans, l'ensemble, linéaire et sans surprise, laisse le spectateur sur le bord de la route.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
TéléCinéObs
par Alain Riou
Indispensable à tout cinéphile kaurismäkien un tant soit peu charismatique.
Brazil
Les lumières du faubourg est animé par cette poésie burlesque irrésistible qui fait émerger l'humain dans le moindre geste maladroit, dans le moindre regard dépité, dans le moindre plan. Sous leurs airs minuscules, les films de Kaurismäki sont immenses.
L'Obs
(...) toujours cette parcimonie sublime du plan qui dure juste ce qu'il faut (...), ces notes d'ironie douloureuse et souriante qui n'appartiennent qu'à ce cinéaste à nul autre pareil, si dur en apparence, si doux tout au fond.
Positif
Il y a, dans les Lumières du faubourg, comme une raréfaction d'épure, un travail exemplaire pour un cinéaste qui n'a peut être jamais été aussi maître de ses moyens expressifs.
Cahiers du Cinéma
Les Lumières du Faubourg est du pur Kaurismaki et pourtant le film se voit comme s'il était tout neuf, sans précédent.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Dans un Helsinki nocturne, étrange et métallique, les rapports humains ne s'expriment que dans la violence. Visages figés, économie de dialogues, mise en scène dépouillée, Aki Kaurismaki, une nouvelle fois, va à l'essentiel. Un film lumineux qu'un Renoir ou un Carré n'aurait pas renié.
L'Humanité
Lumières de la ville, aussi digne dans son refus de l'émotivité facile (...) dit que ce cinéaste venu du froid n'a pas fini de nous étonner : il n'y a pas plus tendre observateur que lui d'un monde qu'il voudrait fraternel.
Le Journal du Dimanche
Un petit chef d'oeuvre d'esthétique et de lucidité glaciales.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Aki Kaurismäki plus bressonien et pessimiste que jamais.
Ouest France
Pas gai, le monde d'Aki Kaurismäki. Il présente ce mélodrame(...) pour raconter, dans la pudeur et la retenue, les émois d'une intense histoire d'amour.
Paris Match
Pas de sentimentalisme dans ce mélo dont la noirceur contraste avec les couleurs chaudes d'un décor stylisé.
Score
(...) profondément humaniste, Kaurismäki a l'art et la manière d'embellir la poisse et le poisseux, et d'en faire un grand bal drolatique, trash et poétique (...)
Télérama
Noir et lumineux.
aVoir-aLire.com
Aki Kaurismäki (...) peint des situations en apparence banales pour leur conférer un relief unique et bouleversant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) la petite musique kaurismakienne continue de nous ensorceler.
Le Monde
Les Lumières du faubourg ne brillent pas du seul éclat de la noirceur : il y a aussi la musique -les sublimes tangos de Carlos Gardel, le rock énervé du groupe que vont voir Kostinen et sa noire amante - et l'élégance épurée de la mise en scène.
Les Inrockuptibles
La petite fabrique kaurismäkienne semble bien épuisée, mais cet épuisement dégage une certaine puissance expressive.
MCinéma.com
(...)même si Aki Kaurismaki n'a rien perdu de son cinéma, de cette patte si singulière et reconnaissable entre mille, le spectateur reste sur sa faim.
Première
Beau et indiscutable, oui, mais un poil frustrant...
Chronic'art.com
Quand un cinéaste n'a rien à ajouter à son oeuvre qu'une simple répétition, un pauvre bégaiement, une facile reprise, il faut se poser des questions...
Fluctuat.net
Malgré la beauté du désespoir qui habille certains plans, l'ensemble, linéaire et sans surprise, laisse le spectateur sur le bord de la route.
TéléCinéObs
Indispensable à tout cinéphile kaurismäkien un tant soit peu charismatique.