Derniers Avis : Congorama - Page 5

Ne vous y trompez pas : la drôlerie de la bande annonce est traître. Ce film absolument pas drôle (voir même assez triste) est d’une longueur à faire peur. En prime, on se contrefiche des personnages à qui il arrive pourtant des aventures qui auraient pu nous intéresser. Ratage total…

Je ne connaissais pas les acteurs et donc aucun préjugé pour ce film dont la bande annonce fleurait bon l'humour.
Excellent : scénario, interprétation, ça nous change des mièvreries servies par les major.
Allez voir ce film plein de vérité, d'authenticité.
Lent, c'est vrai mais nécessaire pour un rendu de qualité.
Excellent moment, du bon, du vrai cinéma.

que signifie le mot "comédie" ?
nous étions 4 spectateurs à nous demander le sens comique du film et l'intérêt si peu esthétique de filmer les acteurs d'aussi près.Nous sommes partis au bout d'une heure l' émotion n'étant pas au rendez-vous!

Ce film est tout simplement nul ! Il ne s'y passe rien, la bande son est inexistante, les dialogues font du raz motte en permanence (quasi inexistant). Le lien avec le congo n'a pas grand chose à voir avec l'histoire principale. On assiste à des scènes parfois longues où il n'y a ni dialogue, ni musique, ni action, ni beauté dans l'image : le vide absolu : des images gratuites (sauf pour le producteur) et sans interêt. Le basculement des points de vue est mal fait (basculement par gros blocs, alternance très classique et inaproprié vu le vide absolu qu'on a dans ce film)... Bref, n'importe quel téléfilm que vous verrez à la télé sera mieux fait et plus interessant que ce film qui ne mérite vraiment pas c
les notes incroyables que la presse lui donne.

Les 20 premières minutes du film sont un peu lentes,mais dès lors que les "fondations" sont coulées, le film prend une nouvelle dimention, et on reconstitue au fil du film ce puzzle belgo-franco canadien pour en arriver à une fin tendre et cruelle à la fois!!

"Il n'y a pas que des frites en Belqique"!!.

Que c'était bien ! En rencontrant le réalisateur lors d'une avant première, on a retrouvé toute sa sympathie dans ce film qui ne paye peut etre pas de mine mais qui raconte une histoire simple d'une bien belle façon ... Et Olivier gourmet est parfait comme à son habitude. Après Crazy, un deuxieme film venu du grand froid canadien qui ne laissera pas indifférent !

La bande-annonce ne me donnait pas envie d'aller voir ce film.Mais la présence d'Olivier Gourmet que j'avais découvert dans "Le couperet" m'a convaincu.
Le début est un peu lent et un évènement va amener une adhésion grandissante au film.
J'aime bien quand on a 2 prises de vue différentes sous la coupe de chaque personnage avant leur fameuse rencontre, qui fait sourire...
Et le tout accompagné par ces accents québécois, belges, qui font respirer le film.
Quand vous avez vu CONGORAMA, vous n'avez a u c u n regret!

Présenté à Cannes 2006 dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs, ce film du canadien Philippe Falardeau a été la meilleure surprise du Festival pour de très nombreux spectateurs. Olivier Gourmet y joue le rôle de Michel, un inventeur belge incompris de son employeur. Son père est un écrivain paralysé (Jean-Pierre Cassel), très impliqué en Afrique, sa femme est une congolaise réfugiée. A 41 ans, Michel apprend qu'il a été adopté et qu'il est né clandestinement dans une grange, au Québec. Comme il vient d'inventer un dégivreur de lignes à haute tension, l'occasion est belle d'aller sur place à la recherche de ses racines ! Ce film est bourré d'humour et rempli de tendresse. Olivier Gourmet est, comme presque toujours, absolument prodigieux. A noter que, dans ce film où on rit souvent, on a déjà plus ri après 10 secondes que dans les 97 minutes des "Bronzés 3" : allez voir le film, vous comprendrez pourquoi ! Enfin un film qui sort des sentiers battus !