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Votre avis sur Congorama ?
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platinoch
Un petit film qui ne paye pas de mine comme ça mais qui est très sympa. Sur fond de quête d'identité, cette histoire d'accents entre la Belgique et le Québec arrive à nous accrocher réellement sans qu'il se passe pourtant grand chose. Le traitement de l'histoire est déroutant, rappelant au passage que la Belgique est le plus grand approvisionneur d'objets cinématographiques non-identifiés du monde francophone!
Olivier Gourmet y est excellent (comme d'habitude...) de même que son alter ego canadien.
Très sympa!
Olivier Gourmet y est excellent (comme d'habitude...) de même que son alter ego canadien.
Très sympa!
Congarama nous plonge dans le destin croisé de deux fréres ne se connaissant pas et de leur père. Un des deux frères, belge (Olivier Gourmet), est un ingénieur, fils adoptif (sans le savoir) d'un écrivain à sucés et menant une petite vie sans trop de saveur dans un centre de recherche et développement à la dérive. Le deuxième, québécois (Paul Ahmarani), a grandi avec ses parents naturel et fait des recherches sur l'identification des diamants. Sans avoir un scénario d'une grande originalité, Congorama est une comédie assez légère de très bon gout. Le mélange entre la vie, la culture et les accents québécois et belges sont assez drôle, et sont exacerbées par les différences de caractère des deux personnages. On regrettera juste le personnage de Michel (le frère belge) peut-être un peu moins travaillé que celui de Louis (le canadien).
Ce film sur les tribulations d'un belge au Canada (et inversement) est juste à mourir d'ennui.
Ne vous laissez pas piéger par le concert de louange qui accompagne sa sortie et la bande annonce plutôt réussie, le film ne présente à aucun moment le moindre intérêt.
Dès la dixième minute, on ne rêve que d'une chose : que les deux personnages principaux meurent et qu'on nous libère de ce spectacle insoutenable.
Ne vous laissez pas piéger par le concert de louange qui accompagne sa sortie et la bande annonce plutôt réussie, le film ne présente à aucun moment le moindre intérêt.
Dès la dixième minute, on ne rêve que d'une chose : que les deux personnages principaux meurent et qu'on nous libère de ce spectacle insoutenable.
Le fond de l'histoire repose sur une improbable rencontre du personnage principal entre sa famille Québécoise et sa famille d'adoption Belge. On y découvre aussi l'histoire associée entre la Belgique, le Canada et le Congo. Congorama est à l'origine le spectacle produit à l'occasion de l'exposition Universelle de Bruxelles de 1957. C'est là que tout commence... Mais nous le découvrons petit à petit. Un ingénieur pas trop sérieux, plutôt inventeur, part au Quebec pour essayer de vendre une invention déroutante. Juste avant de partir, son père lui annonce qu'il a été adopté et qu'il est né au Quebec. Il va donc en profiter pour essayer de retrouver ses origines et les traces de sa vrai famille. Le spectateur comprend rapidement qu'il côtoie son frère, sa mère, mais lui ne le découvrira qu'après le film. Il y a donc un suspens, une histoire dans l'histoire, et des acteurs très convaincants, plutôt touchant même. Le côté surprenant reste celui de penser que les gênes transmettent des aptitudes.
Désservi par une bande-annonce idiote, ce film fin, inventif et captivant est un OVNI cinématographique. A la fois road-movie, film d'espionnage, drame familial et comédie, il mérite amplement le détour et confirme l'immense talent d'Olivier Gourmet.
Film qui était rempli de bonnes intentions mais qui au final se révèle décevant et totalement ennuyeux !!! J'ai beau aimé Gourmet et encore plus le Québec, je n'ai pas réussi à me mettre dans l'histoire qui est un peu molle et sans intérêt !!! Un drôle de film qui ne m'a pas séduit du tout !
Cest lexact contraire de beaucoup de films actuels. Pas dacteurs jeunes et/ou jolis, pas de scénario à entourloupe, pas deffet dimages, et pourtant une bien belle inventivité, à limage de la profession du personnage de lingénieur.
Cest du cinéma "en liberté", loin des conventions, qui se permet tout, sans jamais perdre le fil du récit, et en gardant jusquau bout des incertitudes, des doutes, des questions en suspens.
Les deux personnages principaux, paraissant au départ bien peu cinématographiques, prennent de lépaisseur tout au long du film, surprennent, révèlent jusquà la fin des facettes de leurs personnalités et de leurs vécus.
Olivier Gourmet est une fois de plus tout à fait sidérant, avec une présence énorme, géant fragile, sorte de Julie Depardieu au masculin.
Il fait beaucoup pour la grande qualité du film, mais on est loin dune simple mise en valeur de la performance dun acteur.
Il y a un ton très personnel dans la façon de raconter cette histoire, avec une caméra très mobile, pouvant être très proche des personnages, parvenant à voler des expressions, comme si parfois il ny avait pas de jeu ; on se trouve au cur du récit, totalement embarqué.
Enfin, et pour tirer encore le film vers le haut , le scénario et le montage noublient pas de faire fonctionner lesprit du spectateur, lui réservant une double vision des choses, formidablement intelligente, ludique, drôle et tragique à la fois.
Cest du cinéma "en liberté", loin des conventions, qui se permet tout, sans jamais perdre le fil du récit, et en gardant jusquau bout des incertitudes, des doutes, des questions en suspens.
Les deux personnages principaux, paraissant au départ bien peu cinématographiques, prennent de lépaisseur tout au long du film, surprennent, révèlent jusquà la fin des facettes de leurs personnalités et de leurs vécus.
Olivier Gourmet est une fois de plus tout à fait sidérant, avec une présence énorme, géant fragile, sorte de Julie Depardieu au masculin.
Il fait beaucoup pour la grande qualité du film, mais on est loin dune simple mise en valeur de la performance dun acteur.
Il y a un ton très personnel dans la façon de raconter cette histoire, avec une caméra très mobile, pouvant être très proche des personnages, parvenant à voler des expressions, comme si parfois il ny avait pas de jeu ; on se trouve au cur du récit, totalement embarqué.
Enfin, et pour tirer encore le film vers le haut , le scénario et le montage noublient pas de faire fonctionner lesprit du spectateur, lui réservant une double vision des choses, formidablement intelligente, ludique, drôle et tragique à la fois.
Un très bon film. Une atmosphère qui se pose là. Le genre de métrage qui vous mène précisément. Vous savez que les personnages ne sortiront pas indemne. Il y aura un avant et un après. Le tout, c'est d'arriver à nous captiver sur le sort de quelques malheureuses personnes. Ici, j'ai été tantôt captivé, tantôt curieux. Mais jamais je ne me suis ennuyé. Le scénario très intimiste aborde en plus quelques sujets assez originaux, surtout associés. Le film est réussit et maîtrisé.
Caine78
Force est de reconnaitre que ce congorama est tout de même bien sympathique. Original, humain, sincère, ses qualités sont incontestables. Toutefois, ce n'est pas réellement emballé que l'on sort de la salle. Cela est notamment du à la première partie du film, il faut le reconnaitre assez ennuyeuse. Apparement, Philippe Falardeau n'a pas su donner à ce moment là à son scénario l'élan dont il aurait eu besoin pour réellement emballé. Toutefois, l'idée de départ n'est pas totalement oublié. La preuve en est avec une deuxième partie par contre réellement réussi, amusante et même émouvante. De plus, les acteurs étaient à la hauteur, avec un Olivier Gourmet excellent (quel surprise!), le jeune Paul Hamarani très convaincant, et des personnages dans l'ensemble très attachant. Dommage donc que cette belle idée de dpéart n'aie pas totalement été abouti. Toutefois, Congorama est un film estimable et il n'y a pas la moindre honte à l'avoir vu, tant s'en faut!
Je sais que Gourmet est généralement un plaisir pour la foule dans les parties secondaires des films européens. Et donc mis à part le fait que ce Congorama traite de manière si oblique et lente de la recherche d'une personne pour ses racines et du fait qu'au fond toutes les origines et toutes les races sont liées. Je ne peux pas imaginer pourquoi ce film a été fait. L'histoire est à la fois improbable et prosaïque mais aussi mal racontée. Les personnages principaux ne sont pas attrayants bien que certains des personnages de soutien et leurs relations avec le protagoniste aient une vie propre mais ils semblent visiter un autre film bien meilleur. Le ton est inquiet et incohérent variant de tranche de vie à la tragédie en passant par le mélodrame et la farce absurde très brièvement. Ajoutez que je n'ai pas compris grand-chose a cette histoire que puis-je dire d'autre...
Un film plus qu’étrange, ça se regarde mais pour ma part, je n’ai pas accroché plus que cela au style du réalisateur et à son histoire (pourtant pas si mauvaise que cela). Je le déconseille vivement !
Film rempli de bonnes intentions , mais cela ne suffit pas à faire un film. C'est lent, poussif, et manque terriblement de rythme pour une histoire censée passer de la Belgique au Canada, on ne sent aucune différence, aucun glissement. L'acteur principal ne semble pas y croire lui-même, et l'humour ne passe pas face au ton ultra sérieux du film. Tout cela est pris trop au sérieux, et n'a pas choisi son genre, (comédie dramatique?, je ne suis pas sûr). Et puis cette caméra toujours collé à lui, en gros plan, ça lasse, ça fait cache misère à un moment.
Merveilleuse surprise que ce film voyageur qui va mener Olivier Gourmet de la Belgique au Canada.
Sérieux et drôle, sensible et touchant, les acteurs sont tous formidables, le scénario travaillé, pas de longueurs. Un univers décalé et inventif dans lequel on se plonge sans retenue pour ressortir de bonne humeur.
Extra!!!
Sérieux et drôle, sensible et touchant, les acteurs sont tous formidables, le scénario travaillé, pas de longueurs. Un univers décalé et inventif dans lequel on se plonge sans retenue pour ressortir de bonne humeur.
Extra!!!
Ce film est tout simplement nul ! Il ne s'y passe rien, la bande son est inexistante, les dialogues font du raz motte en permanence (quasi inexistant). Le lien avec le congo n'a pas grand chose à voir avec l'histoire principale. On assiste à des scènes parfois longues où il n'y a ni dialogue, ni musique, ni action, ni beauté dans l'image : le vide absolu : des images gratuites (sauf pour le producteur) et sans interêt. Le basculement des points de vue est mal fait (basculement par gros blocs, alternance très classique et inaproprié vu le vide absolu qu'on a dans ce film)... Bref, n'importe quel téléfilm que vous verrez à la télé sera mieux fait et plus interessant que ce film qui ne mérite vraiment pas c
les notes incroyables que la presse lui donne.
les notes incroyables que la presse lui donne.
Belle histoire joliment raconté, un agréable moment dans une salle obscure, mais rien de mirobolant ! pas une super qualité d'image, un peu confus dans le sens ou l'histoire est montée sur des flashbacks pas très précis, "deux ans avant", "deux ans plus tard", mais malgré ces flous, l'histoire fait sourire, et l'on apprécie la jolie fin, et le bon jeu des acteurs, québécois, comme belges !
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