Une histoire de germe antonyme à l’Alien, la meilleure variante de science-fiction, revenant sur Terre florissante après l’espace décontaminé, l’isolation dans une ferme bled anglais, un grand cinéma indépendant qui se fait passer sans rougir avec maestria.
C’est britannique, irlandais et américain, c’est viscéral comme les entrailles la mise en scène au premier abord du semi-réalisme, sans enjeu effrayant, ça surprend subitement, l’ambiance boueuse, c’est sale, il y a de la boue et on découvre l’horreur sûrement.
De simples vaches d’apparence normale, sont thème central de l’intrigue, elles deviennent folles, anomalies détectées microscopiques, c’est les maïs transgéniques, un peu de clonage fécondation in vitro, la mutation est décuplée en une évolution terrible, vers ce qu’on appelle l’involution.
A une vitesse inimaginable, terrifiante, l’organisme de tout être vivant, les humains biologistes vétérinaires manipulent, attention.....! Un hommage rendu à sa place, The Thing, l’oublié congelé revient en forme, des parasites 🦠 parallèles linéaires aux droites géométriques mathématiques non cosmiques.
Une saleté intrigante à combattre vigoureusement, un message isolé sous plusieurs angles et de points de vue degré d’appréciation, des coups de pieds suffisent les protagonistes aux conduits d’aération, séparés puis réunis ensemble, juste pour le travail dans des conditions dramatiques.
Difficultés d’exploitation dans les économies des pays anglo-saxons, acharnés et survivants de cette réalisation, le pire est passé ensuite se révéler dans l’échographie mammaire bovine, c’est un cauchemar ce chef-d’œuvre.