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    La Nuit nous appartient
    Note moyenne
    4,0
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    1 241 critiques spectateurs

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    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2011
    Un excellent film qui tient en haleine grâce, notamment, à un très bon Joaquin Phoenix.
    Stewart&cie
    Stewart&cie

    19 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2013
    Tout simplement un polar magistral. Les acteurs sont parfaits, la réalisation est parfaite et le récit parfaitement mené. Du grand cinéma.
    Franky4fingers
    Franky4fingers

    11 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2008
    Un polar moyen, mais en aucun cas un "navet" comme disent certains !!
    Mulder13
    Mulder13

    25 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2008
    Un bon film sombre, qui réussit à nous surprendre en nous narrant l'histoire de cette famille de flics. Du très bon.
    _domimi_
    _domimi_

    10 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2014
    2 étoiles pour la scène d'intro. Le reste pour Joaquin.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 décembre 2007
    je ne suis pas du genre à écrire des critiques sur internet, mais là j'avoue avoir été tellement énervé par l'ensemble des critiques dithyrambiques vis à vis de ce film que je prend la peine d'écrire cette première critique. Rarement j'ai connu un tel aveuglement global des critiques. Cela arrive parfois pour défendre une oeuvre rare et méconnue du publique, mais à ce niveau c'est "il faut sauver le soldat Gray" de la part de 98% des journalistes dit critiques ciné. Déjà première chose, j'ai quitté la salle avec un ami au 2/3 du film tellement nous l'avons trouvé pauvre et sans intérêt. Pas une scène, pas une idée, pas un plan, pas un battement de cils des acteurs qui n'aient été déjà vu 100 fois ailleurs et en mieux. A l'heure ou des réalisateurs magnifiques comme michael mann, paul greengrass et ridley scott nous livrent des oeuvres réellement digne de l'appellation de chef d'oeuvre, voir une oeuvre aussi molle que We own the night laisse pantois, surtout de la part du il est vrai (mais anciennement) prometteur James Gray. Alors oui son premier film fut stupéfiant de réalisme, mais quelle chute sur ce 3 film. Attendez 7 ans d'attente pour créer çà ! c'est incroyable. On n'est pas chez Terrence Mallick non plus ! Mais revoyez vos classiques, revoyez le solitaire de Michael mann. Le pire, je pense que même james gray n'a pas été satisfait de ce film et n'en demandait pas tant des critiques. la preuve c'est à la base une oeuvre de commande il le dit lui-même. Alors finalement ce n'est pas un problême en soit, ni le fait d'un scénario déjà vu, mais la pauvreté de la réalisation, cette course poursuite minable, ces incohérences dans les rebondissements (phenix qui rentre chez les flics!pfff ..) , vraiment, comme on disait avec mon pote, c'est chercher à expliquer l'inexpliquable, ce film n'est que NEANT !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2009
    Apres the Yards , James Gray remet le couvert avec l histoire de deux frere un flic comme le pere, et l autre gerant de boite de nuit avec ce que ca comporte (drogue...). Joaquim Phoenix , Mark Whalberg, Robert Duvall et la belle Eva Mendes dans un film juste parfait.
    Bcar
    Bcar

    12 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2010
    James Gray livre içi un très bon film qui comme a son habitude concerne la famille et ces relations. Ce film au scénario intéressant est surtout mis en valeur par ses interprètes tous très bon et encore plus Wahlberg qui comme à son habitude crève l'écran.
    Malhreusement "la nuit nous appartient" manque un peu d'inventivité, ça n'en pas moins un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 avril 2008
    Ca demarrait super bien. Une ambiance sombre, un conflit apparent dans une meme famille. On pouvait s'attendre à un bel affrontement. Au lieu de ça, on assiste à une union des deux frangins pour lutter contre les mechants traficants. Au final vive la serie B. Quel dommage!! L'idée etait tres sympa au depart.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2008
    Film divertissement essentiellement grâce à la prestation de l’excellent Joaquim Phénix et ce malgré les invraisemblances à la limite de la science fiction mais bon en Amérique tout est possible : Un cocaïnomane peut devenir flic en 2 jours et un blessé par balle au visage peut voir disparaitre toute cicatrice en 4 mois……On ne changera pas Hollywood du jour au lendemain !!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 mai 2011
    Bon film avec un bon casting d'acteurs mais je trouve la moyenne des notes (presse et spectateurs) surévaluées.
    christophe M.
    christophe M.

    10 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Certes, c'est du cinéma mais on a du mal à croire à cet individu qui passe de la fréquentation même subie du milieu de la drogue à la police en tant que lieutenant et en très peu de temps uniquement par vengeance.
    Blankovitch
    Blankovitch

    53 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2021
    Une grosse déception. Vu aujourd'hui, j'ai été abasourdi par le côté grotesque du scénario, par le jeu caricatural des acteurs.
    Tous les poncifs des films policiers américains y sont, aucune nuance, aucune crédibilité. Un navet.
    rocky6
    rocky6

    31 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2022
    Un bon film policier mais dont j'attendais plus au vu du casting. Je trouve que le film manque de punch et de tension. Joaquin Phoenix est excellent.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2019
    La carrière de James Gray me fascine : il est ce qu'il y a de plus proche actuellement des réalisateurs classiques des années 40 à 50, de ces faiseurs aussi engagés comme metteurs en scène qu'en tant que scénaristes, tout aussi excellents dans l'un comme l'autre de ces deux métiers extrêmement techniques. Il en ce sens proche, avec ses trois premiers films (Little Odessa, The Yards et La nuit nous appartient), proche de Billy Wilder quand il écrivait et réalisait, coups sur coups, les magnifiques Boulevard du crépuscule et Le Gouffre aux chimères.

    Auteur intemporel à la carrière aussi longue que restreinte (il n'en est actuellement qu'à 7 films en 25 ans), il signait ici une nouvelle oeuvre incroyablement aboutie, belle et émouvante, de ces drames shakespeariens dont il semble détenir le secret. Gray a ceci d'incroyable et qu'il n'a pas perdu de son premier film à son dernier en date, le très joli Ad Astra : seul à le faire actuellement, il prend toujours le contexte du film de genre pour explorer une jungle hostile, ici jungle urbaine, d'où jaillira la quête de vie d'un homme perdu dans son quotidien étouffant.

    Il s'agit toujours, avec Gray, de détruire les habitudes de la routine par le retour de la figure du père, représentant le plus imposant de ce que l'auteur recherche à chaque film, le mariage entre vie actuelle de ses personnages et l'héritage familial qui s'offre à eux, tout aussi mauvais qu'il soit. Alors qu'il représentait avec The Yards la tentative de corruption d'un repris de justice (Mark Wahlberg) par sa belle famille mafieuse, il place We Own the Night en miroir direct : Phoenix, qui interprétait précédemment le jeune malfrat plus ou moins mauvais, campe ici le fils de policier directeur de boite de nuit pour qui retrouvailles familiales sera synonyme, à première lecture, d'entrave à sa vie.

    Du frère qui s'incruste dans son quotidien, on retient aussi le père qui le détruit entièrement : Robert Duvall, autre grand acteur à passer dans le moule de James Gray, incarne une figure de mentor charismatique et touchant, toujours proche de ses enfants avec une faiblesse émotionnelle dissimulée derrière ses grands airs de policier incorruptible et expérimenté. Il gère avec une grande maîtrise ses deux fils que tout oppose, et qui seront voués à se reconnaître comme plus proches que ce qu'ils croient.

    Jolie du début à la fin et portée par la photographie et la mise en scène magnifique de James Gray (il suffira de voir le magnifique plan de présentation d'Eva Mendes, la clope à la main, pour finir bouche-bée dès les 15 premières minutes), la relation que partagent les personnages de Phoenix et Wahlberg (le fils de flic prévu futur directeur de la police) est tantôt touchante tantôt énervante, passe par toutes les étapes de la colère, du deuil et des retrouvailles, caractérisant à la perfection deux protagonistes interprétés de manière majestueuse (Phoenix est une nouvelle fois électrisant) et jouissant d'une personnalité propre, nuancée, constamment postée sur la frontière de ce qui fait le bien et de ce qui fait que l'on peut se rabaisser à faire le mal.

    Il y a toujours eu de cela dans le cinéma de Gray, mais la thématique de la dualité de l'homme trouve ici l'apogée du talent de son réalisateur/scénariste : du père qui pâtit d'avoir aidé les autres toute sa vie au russe dealer pour qui la loi fait office de texte fondateur du mal, le développement des différents personnages secondaires à importance variable sera travaillé avec assez de soin et de talent pour offrir au spectateur une réflexion intéressante sur la question du point de vue, jamais vraiment formulée.

    C'est à ce jeu qu'il excelle : La nuit nous appartient est à ce point intelligent qu'il décide de placer ses thématiques les plus intéressantes en simple interprétation, sans jamais porter de jugement de valeur sur ses personnages (à part, peut-être, sur les agissements de plus en plus cruels du dealer), et les mêlant à une action progressive, gère la tension de ses scènes de combats/course-poursuite jusqu'à les rendre haletantes, terribles, attristantes.

    Car il ne fait pas bon vivre, chez James Gray, d'être partisan de métiers des armes; qui que l'on soit, si l'on est lié de prêt ou de loin à la mort, si l'on tente de la propager ou qu'on la propage en tentant de l'endiguer, le résultat sera le même : famille et honneur s'en verront détruits à petit feu, et finiront aussi annihilés que les relations sociales des personnages de James Gray (le couple que partage Phoenix avec Eva Mendes en est à la fois le plus bel et le plus terrible exemple). Quelle importance de tuer des innocents ou de tuer ceux qui ont tué les innocents? La finalité est la même, et des vies sont détruites.

    Enfin, il suffit de briser la routine d'une vie basée sur la violence pour inverser la balance; que Phoenix comprenne, par la destruction de son cercle proche, qu'il ratait sa vie à gâcher inconsciemment celle des autres était l'étape essentielle du cheminement du héros chez Gray. Un chemin inévitable qui conduira à son inéluctable résurrection en milieu de champ de maïs en flammes, tel un... Phoenix?

    Un grand film.
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