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Gray réussit (...) à nous faire éprouver une belle gamme de sensations sans que notre attention ne se relâche.(...) Sans prendre de risque, l'un des (...) meilleurs films US de 2007.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
La Nuit nous appartient clôture brillamment une trilogie new-yorkaise aux couleurs sombres, dont l'authenticité pointilleuse nourrit l'intensité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
De la tragédie grecque aux récits bibliques, les paraboles du bon et du mauvais fils sont ici traduites en vertiges, ponctuant son affaire de scènes d'anthologie
(...) les tourments psychologiques (...) sont exprimés par des acteurs parfaits (...) la mise en scène de James Gray (...) transcende ce polar aux relents de tragédie grecque.
Gray sait prendre au cou son spectateur, le tétaniser. (...) Il n'est que dans la concentration, son film coule d'une économie délirante où chaque seconde compte. Cela laisse l'impression d'une tension qui ne cesse de s'enfoncer dans l'inconnu. "Une Nuit du chasseur", à ne plus fermer l'oeil.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il joue avec les codes obligés du thriller pour imprimer l'efficacité de sa patte dans quelques scènes héroïques, à l'image de cette course-poursuite de voiture sous une pluie d'enfer.
Les quelques invraisemblances du scénario disparaissent devant l'urgence et le suspense des scènes d'action. Des moments intenses, techniquements magnifiques (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ce drame cornélien emprunte à nouveau le langage du polar mais aussi ceux du western et peut-être du film de samouraï, (...). Il constitue une éclatante leçon de mise en scène, mêlant réalisme et exacerbation formelle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Terriblement émouvant et composé d'une main de maître (...) James Gray a peu tourné depuis ses débuts. Mais à chaque fois, il a tourné juste, profond et admirable. Vite, la suite...
La critique complète est disponible sur le site Première
[Un] polar ultrasombre et fascinant, (...) [avec une] mise en scène serrée et totalement maîtrisée de James Gray, qui affiche un sens radical de la dramaturgie et un esthétisme jamais ostentatoire.
(...) pour S'il trace des portraits sublimes de ces héros, Gray sait aussi surprendre avec deux séquences époustouflantes. Une extraordinaire poursuite de voitures (...) et la traque des mafiosi par les flics au milieu de roseaux, où la caméra maintient un suspense interminable (...) Bref, un grand polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
James Gray n'est pas un inventeur, il prolonge des schémas anciens, mais il le fait avec goût, passion et talent. La nuit nous appartient est riche en moments mémorables (...).
Gray soigne sa narration : sur un flux tendu, elle observe avec subtilité la notion de choix, notamment dans la possibilité de faire le bien. Ou pas. Le tout mis en scène avec un classicisme approprié, évitant l'esbrouffe.
(...) Comme le bon vin, le cinéma de James Gray se bonifie avec les années. Brillant dramaturge et directeur d'acteurs, il ajoute une nouvelle corde à son arc en signant de superbes séquences d'actions (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le brio du film est surtout d'avoir parfaitement transposé l'aspect shakespearien de cette histoire de rivalité et de loyauté dans un contexte précis (...) rien ne manque au tableau et tout sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) contre Et les nuances, dans tout ça? Pas de ça chez James Gray. (...) Pour qui a connu le cadre du film (...), le New York des années 1980, un univers justement fait de frontières floues, la pilule est un peu dure à avaler. (...) Résultat : une impression de gâchis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
En virant du vice assumé à la sagesse moite, en traversant de l'ombre ténébreuse à la lumière aveugle, Gray signe un polar affecté doublé d'un mélo emphatique peu subtil et faussement moralisateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Gray ne se contente pas d'aligner les séquences d'anthologie propres à réjouir l'amateur de mise en scène pure.
Brazil
Gray réussit (...) à nous faire éprouver une belle gamme de sensations sans que notre attention ne se relâche.(...) Sans prendre de risque, l'un des (...) meilleurs films US de 2007.
Chronic'art.com
James Gray est un grand metteur en scène, néo-classique impétueux et cinéaste des nerfs, aux films épuisants de beauté.
Elle
La Nuit nous appartient clôture brillamment une trilogie new-yorkaise aux couleurs sombres, dont l'authenticité pointilleuse nourrit l'intensité dramatique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
De la tragédie grecque aux récits bibliques, les paraboles du bon et du mauvais fils sont ici traduites en vertiges, ponctuant son affaire de scènes d'anthologie
L'Obs
(...) C'est poignant et magnifique.
Le Figaroscope
Un bon polar, efficace et solide, où la guerre entre flics et truands se double d'une tragédie familiale puissante, d'une belle épaisseur humaine.
Le Monde
(...) les tourments psychologiques (...) sont exprimés par des acteurs parfaits (...) la mise en scène de James Gray (...) transcende ce polar aux relents de tragédie grecque.
Libération
Gray sait prendre au cou son spectateur, le tétaniser. (...) Il n'est que dans la concentration, son film coule d'une économie délirante où chaque seconde compte. Cela laisse l'impression d'une tension qui ne cesse de s'enfoncer dans l'inconnu. "Une Nuit du chasseur", à ne plus fermer l'oeil.
Ouest France
Il joue avec les codes obligés du thriller pour imprimer l'efficacité de sa patte dans quelques scènes héroïques, à l'image de cette course-poursuite de voiture sous une pluie d'enfer.
Paris Match
Les quelques invraisemblances du scénario disparaissent devant l'urgence et le suspense des scènes d'action. Des moments intenses, techniquements magnifiques (...)
Positif
Ce drame cornélien emprunte à nouveau le langage du polar mais aussi ceux du western et peut-être du film de samouraï, (...). Il constitue une éclatante leçon de mise en scène, mêlant réalisme et exacerbation formelle.
Première
Terriblement émouvant et composé d'une main de maître (...) James Gray a peu tourné depuis ses débuts. Mais à chaque fois, il a tourné juste, profond et admirable. Vite, la suite...
TéléCinéObs
D'un classicisme somptueux (...) Exceptionnel.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
[Un] polar ultrasombre et fascinant, (...) [avec une] mise en scène serrée et totalement maîtrisée de James Gray, qui affiche un sens radical de la dramaturgie et un esthétisme jamais ostentatoire.
Le Parisien
(...) pour S'il trace des portraits sublimes de ces héros, Gray sait aussi surprendre avec deux séquences époustouflantes. Une extraordinaire poursuite de voitures (...) et la traque des mafiosi par les flics au milieu de roseaux, où la caméra maintient un suspense interminable (...) Bref, un grand polar.
Les Inrockuptibles
James Gray n'est pas un inventeur, il prolonge des schémas anciens, mais il le fait avec goût, passion et talent. La nuit nous appartient est riche en moments mémorables (...).
MCinéma.com
Gray soigne sa narration : sur un flux tendu, elle observe avec subtilité la notion de choix, notamment dans la possibilité de faire le bien. Ou pas. Le tout mis en scène avec un classicisme approprié, évitant l'esbrouffe.
Metro
(...) Comme le bon vin, le cinéma de James Gray se bonifie avec les années. Brillant dramaturge et directeur d'acteurs, il ajoute une nouvelle corde à son arc en signant de superbes séquences d'actions (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Après Little Odessa et The Yards, James Gray persiste et signe dans la veine noire avec ce polar pls classique mais tout aussi classieux.
Télérama
Le brio du film est surtout d'avoir parfaitement transposé l'aspect shakespearien de cette histoire de rivalité et de loyauté dans un contexte précis (...) rien ne manque au tableau et tout sonne juste.
Cahiers du Cinéma
Gray oscille entre schématisme et véracité, entre stylisation des archétypes et réalisme du détail vrai.
Le Parisien
(...) contre Et les nuances, dans tout ça? Pas de ça chez James Gray. (...) Pour qui a connu le cadre du film (...), le New York des années 1980, un univers justement fait de frontières floues, la pilule est un peu dure à avaler. (...) Résultat : une impression de gâchis.
aVoir-aLire.com
En virant du vice assumé à la sagesse moite, en traversant de l'ombre ténébreuse à la lumière aveugle, Gray signe un polar affecté doublé d'un mélo emphatique peu subtil et faussement moralisateur.