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Un visiteur
0,5
Publiée le 10 février 2018
Quelqu'un m'a recommandé ce film. Je le trouve un peu trop cliché, le script est vague sans profondeur. Il cherche à provoquer le rire et ça tourne vite au ridicule.
Ah la la l’une de mes comédies préférées! Et l’un des films les plus drôles que j’ai vu et l’un des plus sous estimés! Presque aussi drôle que le film La banane du réalisateur Gagliardi! On suit ici un personnage assez caricatural de la glorieuse nation du Kazakhstan 🇰🇿 qui visite l’Amérique « tout simplement » le film est assez audacieux culotté et politiquement incorrect! Sacha Baron Cohen se donne à fond dans ce rôle, un rôle qu’il conservera dans ses interview et qui lui collera à la peau, cela lui a valut un le golden globe du meilleur acteur! Le film a fait polémique car jugé raciste et véhiculant des clichés mais Borat cherche seulement à en rire! Le film a fait scandale au Kazakhstan mais a eu pour effet de lui faire remonter son taux de tourisme! En bref Borat est un film débordant d’humour! « Mon nom Borat, j’aime sexe » Évidemment il faut être amateur d’un humour peu conventionnel et contraire à l’humour que l’on nous oblige à faire! Un film génial! C’est nice! �
Une comédie complètement décalée, à ne surtout pas prendre au premier degré tant l'humour y est outrageusement bourrin, vulgaire et subversif mais au delà de cette façade assez radicale, une critique acerbe et sensée de l'Amérique aussi bien citadine que rurale. Sasha Baron Cohen, dans son registre particulier, est excellent, un film qui égratigne tout le monde, politiquement incorrect. S'agit-il là d'un coup de pur génie ou d'une vague fumisterie ?
Le meilleur film comique de tout les temps, hors films français. Vous aimez l'humour qui tache, à la Groland, à la South Park ou à la Charlie Hebdo qui se moque de tout sans limite ? Ou vous avez aimé chat noir chat blanc? Ce film est fait pour vous. La première fois que je l'ai vu, j'ai failli faire un malaise tellement j'ai ris, ça ne m'était pas arrivé depuis les Visiteurs. Chat noir chat blanc est excellent aussi, mais plus politiquement correcte et moins drôle. A noter que Le dictateur, avec le même acteur principal mérite également le détour.
C’est quand même vraiment à mourir de rire, Borat est l’un des films les plus drôles. Entre mise en scène et caméra cachée, l’oeuvre demeure contreversé et ignoble. Un premier volet déjà incroyable pour ses séquences de malaise insoutenables. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 5/5
On va pas tortiller des fesses : c'est bel et bien face à un véritable OVNI que nous nous trouvons. En effet, ce « Borat » ne ressemble en rien aux comédies que nous sommes habitués à voir. Le personnage principal a tout pour (dé)plaire : stupide, inculte, raciste, xénophobe, antisémite quelle que soit la religion) sexiste, misogyne et j'en passe et des meilleurs. Et pourtant, malgré toutes ces tares, jamais il n'est antipathique. Sacha Baron Cohen n'y va pas par quatre chemins et en met plein la tronche à tout le monde. Ça commence fort d'entrée de jeu avec la présentation du village natal (situé en réalité en Roumanie). Les kazakhs sont présentés comme des gens vivant encore quasi à l'âge de pierre. Prostitution et inceste semblent être des actes banals. Et le mec te dit tout ça avec un smile qui lui monte jusqu'aux esgourdes. Mais la cible principale, c'est les USA. SBC en dresse un portrait détestable. « Borat », c'est l'exemple typique du film qui divise radicalement. Car usant d'un humour odieux et scato et qui ose tout, quitte à tomber dans la démesure. Mais il est quand même bien difficile de résister à la méchanceté du perso principal. Et les occasions de se marrer ne manquent pas (le dîner chez les riches est un sommet). Pourquoi trois étoiles ? Pendant les 50 premières minutes, nous assistons à un délicieux déluge d'humour méchant. Mais l'ensemble a quand même un peu de mal à tenir la distance sur 1h20. Arrivée (ou passée) la scène de catch avec le producteur obèse (la seule ne présentant aucun intérêt d'ailleurs), un essoufflement se fait sentir et ça devient un peu lourd. Et deuxièmement, ça manque de méchanceté. Ça aurait pu aller encore plus loin. SBC ne semble pas aller au bout de son idée. Mais finalement, pas de quoi trop altérer la véritable jouissance procurée par ces 50 premières minutes évoquées ci-dessus. « Borat », on aimera ou on détestera, c'est à éloigner des marmots, mais il faut le voir, un objet aussi singulier mérite visionnage.
Annoncé par un titre à rallonge on ne peut plus évocateur, le fait de proposer un choc des cultures entre le Kazakhstan et les Etats-Unis était en soi une idée intéressante. Pour attirer l’attention, quoi de mieux que de le mettre en scène par l’intermédiaire d’un reporter kazakh pour tourner un reportage ? Et quand on sait que ce grand pays de 2,725 millions de km² est livré à lui-même depuis l’éclatement de l’U.R.S.S., ça semblait promettre à priori de bonnes parties de rigolade. Oui bon dès le début, nos espoirs subissent un grand coup d’arrêt. Borat (Sacha Baron Cohen) apparait tout de suite à l’écran pour nous présenter sa famille vivant dans un village aux airs de bidonville dont le nom n’a pas été choisi (je pense) au hasard : Kuçzek, qu’on pourrait aisément prononcer en français Cul-Sec. J’accorde le fait que les noms de villages sont parfois bizarres. Le célèbre village du Lot nommé Montcuq est là pour en témoigner comme beaucoup d’autres, tels que Belbèze dans le 82. Mais revenons à nos moutons. Le choix de Kuçzek ne parait pas anodin dès les premières répliques, là où les habitants sont décrits comme des gens arriérés, des crétinoïdes profonds fiers de leur homophobie, de leur antisémitisme, de leur aptitude à violer, de la condition féminine qui se résume à la prostitution, ou encore comme des vieillards édentés d’une quarantaine d’années. Un village où tout cela est normal, comme le fait qu’on puisse coucher avec sa sœur ou sa belle-mère. En somme, l’image donnée de ce pays est loin d’en faire une vitrine attrayante, bien au contraire. Même en supposant que c’est un village de l’arrière-pays qui nous est présenté. A moins que vous ne vouliez faire du tourisme sexuel, mais je crains fort que vous ne soyez alors déçus car je ne pense pas que ce pays soit comme il a été décrit ici. Ce qui valut bon nombre de déboires à l’acteur-scénariste-producteur Sacha Baron Cohen avec les autorités de la République du Kazakhstan, mais pas seulement puisque le film a été interdit de distribution en Russie. Mais là n’est pas mon propos, aussi je vous laisse éventuellement faire les recherches sur la toile à propos des nombreuses controverses, tout à fait compréhensibles. Alors certes, le film ne se prend pas au sérieux. Mais pourquoi aller si loin dans la parodie d’un vrai faux reportage ? C’est poussé tellement loin que rien ne fait rire. Les propos tenus sur les femmes, les juifs et je ne sais quoi encore sont particulièrement choquants, au point qu’on peut se désintéresser du film et aller faire autre chose, comme l’a si bien décrit l’internaute cinéphile J.Dredd59 dans son avis. Pour couronner le tout, le vrai faux reportage tourne au fiasco comme on peut s’y attendre, plombé entre autres par un hymne kazakh sous la mélodie de l’hymne national américain. Dans les faits, j’imagine que le micro aurait eu vite fait d’être coupé. Mais bon ! Le spectateur est condamné à suivre Borat dans son périple qui vise à le faire traverser tout le pays d’est en ouest sans qu’on profite du paysage (là n’était pas le but), poussé par l’irrésistible coup de foudre qu’il a eu envers Pamela Anderson en la découvrant dans la série "Alerte à Malibu" sous la bande originale de "Top Gun" ("Take my breath away" de Berlin). Un irrésistible coup de foudre qui ne lui met qu’une seule et unique idée en tête : se marier avec la femme de ses rêves et lui faire vivre « l’explosion romantique dans son ventre » (mouais, tu parles d’un romantisme, toi…) armé de son magazine et de son poulet domestique continuellement enfermé dans son bagage, un bagage parfois (souvent) maltraité. Là-dessus, personne n’en dit rien, comme si c’était normal. Pathétique. Selon moi, ce film est un énorme gâchis. Un gros tas immonde d’insanités et de grossièretés en tout genre, de la branlette en pleine rue devant une vitrine de lingerie à la mise au paquet sur un homosexuel, en passant par le caca dans un tout petit espace vert. Comme si les kazakhs n’avaient pas une once de comportement civilisé. Un gros tas indigeste de situations toutes plus débiles les unes que les autres et dans lesquelles tout le monde en prend pour son grade. Même la bagarre avec son compagnon de route tourne aux préliminaires sexuels ! Non mais franchement à : 2,7 ! Avouez quand même qu’il y avait moyen de faire beaucoup mieux : du plus politiquement correct dans son discours, tant le contraste entre les deux cultures pouvait être savoureux par une kyrielle de situations cocasses (comme par exemple le dîner chic). Mais pour cela, faut-il avoir un brin de finesse dans l’humour… Là pour le coup, Sacha Baron Cohen n’est bon qu’à maçonner à la truelle un édifice de pseudo-humour bourré de malfaçons.
Comédie "déjantée" où rien ne doit être pris au sérieux, mais qui présente néanmoins des critiques indirectes des comportements sociaux des américains. Les clichés et propos racistes, homophobes etc. sont tellement gros qu'on peut parfois douter de la sincérité des propos tenus. La naïveté du héros est trop excessive pour être crédible, il n'en reste pas moins que c'est souvent très drôle, n'est-ce pas là le but premier du film ? Le film est court heureusement, et l'on ne s'ennuie pas, c'est déjà ça. Loin d'être un chef d'oeuvre, le cinéaste et l'acteur principal ont dû fait preuve de courage et de persévérance pour monter un tel film.
Borat a le mérite d'oser tout. Pas de demi-mesure, une provocation claire et précise, une dérision à toute épreuve. Sasha Baron Cohen s'assume et va plus loin que ses compères de chez Jackass ou Les 11 Commandements. Ici, l'acteur se moque de l'Amérique, mettant en avant leur racisme, leur croyance, leur homophobie, et leur mode de vie. Ils discrédite le monde occidental.
Sacha Baron Cohen a une énorme tendance de rendre ses personnage qui crée en icône du rire , rien qu'avec le cultissisme Ali G ,Brüno, Aladeen ou plus récemment Nobby dans Grimsby prouve qu'il est genial. Ce qui est vraiment génial dans ce film c'est les gags que Sacha enchaîne comme une caméra cachée, son impro est drôle et surtout ses vannes sont à tordre de rire spoiler: La scène où il dort chez des Juifs, la scène dans l'armurerie, sa bataille contre son ami tout les deux nue ses blagues peut paraître lourd et gras mais quand ta vu Ali G derrière tu sais que c'est sa signature habituelle. En tout cas je suis fan de ce personnage même si j'ai une préférence pour Nobby et Ali G .
Toute une découverte ce Borat! Le moins que l'on puisse dire c'est que le personnage tel une tornade a provoqué un certain bordel sur la planète Terre et principalement chez l'Oncle Sam. J'imagine que certains d'entre nous n’apprendront des choses avec Borat, mais, pour ma part rien qui ne vaille... La seule déferlante positive du film est le cadeau du créateur et acteur, Sacha Baron Cohen, aux habitants du petit village de Roumaine pour leur collaboration (scènes au Kazakhstan), sinon il est vraiment très pénible de regarder ce film!
Epouvantable! j'ai rarement vu aussi mauvais! tout les ingrédients y sont ,vulgarité,stupidité,médiocrité,encore pire que les comédies avec Ben Stiller ou Mickael Youn
Un film à l'humour gras, transgressif, noir, sans concessions, raciste,... et j'en passe. Mais qu'il fait du bien! Et qu'il est (plutôt) bien fait! En 1h30, Sasha Baron Cohen et Larry Charles, le réalisateur, passent en revue tous les clichés possibles et imaginables de la société américaine...pour mieux en montrer l'absurdité. C'est cela qui fait la force du film, en plus d'un humour au style, certes, pas très évolué, mais très efficace. Il faut en plus souligner l'implication de Sasha Baron Cohen dans la création et l'interprétation de son personnage.
Je comprends tout à fait que l'on puisse aimer. C'est un film à l'humour assez clivant qui personnellement m'atterre plus qu'il ne me fait rire. Tout y est lourd. Néanmoins, il faut reconnaitre à cette comédie une facture assez originale qui change des standards du genre.
Gros coup de cœur pour ce film que j ' ai découvert il y' a déjà quelques années . Borat est pour moi un coup de maître de la part de Larry Charles , car le film ne se contente d ' être une énième comédie potache , ici on ose aller plus loin dans le sujet. Tout en étant pensé comme une sorte de buddy movie loufoque , avec un mélange de caméra au poing , le film égratigne avec panache et humour les mœurs et les coutumes de nos voisins américains. Sacha Baron Cohen et Borat ne font qu ' un tout simplement tellement l' acteur à réussit à transcender son rôle pour se l ' approprier pleinement . Chaque plans du film , chaque scènes regorgent d ' idées plus farfelues les unes que les autres. Les scènes et les répliques cultes s ' enchaînent dans Borat , même si tout cela est fait avec peu de finesse il est vrai , derrière la comédie potache on sent quand même une écriture intelligente. Alors certes il y ' a des thèmes dans le film abordé parfois de manière corrosif ( comme l ' antisémitisme assez poussé des personnages ) ce qui a valut au film d ' être censuré dans de nombreux pays. Tout au long de son road trip Borat et son producteur vont donc rencontrer un panel de citoyens bien représentatif de la population américaine avec chacun leur opinions , leur croyances et leur convictions.
Borat aurait pu être facilement une éniéme comédie repoussant les limites du mauvais gout et du politiquement correcte. Il y ' a certes un peu de cela dans Borat , mais le film est aussi extrêmement bien écrit , avec un jeu d ' acteur stupéfiant de Sacha Baron Cohen, et où chaque scènes est un sommet de comédie. En résumé subversif mais hilarant.