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darknat
22 abonnés
248 critiques
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2,5
Publiée le 29 juillet 2007
Bof. On prend les mêmes (quasiment) et on recommence avec le même type d'intrigue que les 2 précédents. Pas de réel suspens, tout coule de source et au final on assiste un quelque chose d'un peu trop parfait. Bonne prestation des acteurs mais bon film tout court sans plus.
le film nous offre un retour aux sources, après la complexité de l'intrigue du second on revient ici sur du classique avec un nouveau casino à braquer. Troisième oblige les passages sont plus attendus et on a perdu l'effet de surprise mais le film reste plaisiant et même meilleur que le second
Cela commence toujours par une histoire de vengeance. Cette fois c'est Reuben, l'ami et mentor de Danny, qui a fait une crise cardiaque après s'être fait escroquer par Willie Banks, homme d'affaires mégalomane. Ruiné et démoralisé, il se laisse mourir mais ses amis décident de le venger. Ils s'attaquent au casino et à l'hôtel de Banks... J'ai eu du mal à rentrer dans ce troisième volet malgré maints visionnages. Trop de personnages, trop complexe, trop dans la redite, la préparation du casse n'est pas concernante. Le final permet de démêler les nœuds mais ne sauve pas le tout à lui seul. Il est cependant toujours autant jubilatoire de voir les deux arrogants et prétentieux Terry Benedict et François Toulour se faire berner !
Le 13 ne porte pas chance cette fois-ci. Ce troisième volet est largement moins attractif. Certes on a toujours le casting de stars habituel auquel on ajoute Al Pacino. Aussi là cela ne fait pas effet. D'autant plus que le scénario est brouillon au point on s'ennuie parfois. Film qui sera vite oublié.
Grand fan de Soderbergh je ne peux trop continuais à l'excuser longtemps !
Ocean's 12 avait l'excuse dêtre une suite plus que prévisible vu le casting du 1er et de son succés !
Mais là que dire à part que Soderbergh réalise toujours aussi bien, que les acteurs s'amuse entre eux et ca se voit, que le scenario est à peine plus interressant que le 12 et loin du 11....
3eme volet qui aurait pu être eviter, mais qui se laisse voir quand même une fois.
Des stars qui s'ennuient, Vincent Cassel qui n'est là que pour décorer, un film sans histoire à raconter : Soderbergh atteint le comble du cynisme. Ainsi qu'un rare niveau de cinéma - vers le bas. Encore plus de déprime au prochain numéro ?
Après m'avoir agréablement surpris avec "Ocean's 11", puis carrément emmerdé avec "Ocean's 12", la bande de Soderbergh et Clooney se réunit pour la troisième fois pour une suite moins ennuyante que le second volet, mais bien moins emballante que le premier. Le scénario traaaaîîîne en longueur, mettant du temps à arriver là où on veut vraiment, c'est à dire au braquage. J'ai bien failli décrocher à un moment, craignant d'avoir affaire à un film du même niveau que le second. Mais lorsque le braquage commence, c'est déjà un peu plus entrainant. Malgré tout, le casse n'a rien de surprenant. Bizarrement, on a à la fois l'impression que les acteurs sont contents d'être là, mais qu'ils se font chier à la fois, se contentant de jouer les beaux gosses, avec leurs sourirs charmeurs. Soderbergh réunit toute la bande, et s'embête même à intégrer au scénario le personnage de Vincent Cassel qui fait ici vraiment de la figuration. Bref, un film que les grands fans des personnages apprécieront sûrement, pour le plaisir de retrouver Danny Ocean et sa bande. Mais me concernant, je l'ai vu, et je ne le reverrai pas.
La mise en scène de Steven Soderbergh reste un modèle d'élégance, de malice et de fun et la musique de David Holmes demeure un pur régal. Pour le reste c'est trop long et le plan, complexe en diable, fonctionne trop bien à mes yeux. Tout le monde tombe dans le panneau un peu trop facilement. Peut-etre est ce une métaphore du hold-up en sous-main que fait Soderbergh et sa bande sur Hollywood et le box office, car ce n'est pas par ambition artistique que ce film a été fait. Coté Casting, ça roupille pas mal, minimum syndical, le meilleur reste bien évidemment...Al Pacino.
Ce qui m'avait beaucoup plus avant tout dans le premier, c'était le scénario bien huilé avec un casse effectué dans les règles de l'art et une imagination débordante. Les deux suites ont plutôt établi des casses dans les règles du grand n'importe quoi tout en étant imaginatif mais plus proche de la science fiction que de la crédibilité (le séisme, le vol de diamant par hélico...). Plus des prétextes à réunir des stars et leur faire dire des répliques marrantes (enfin 2 ou 3), on tombe dans la comédie bas de gamme où le trio Damon/Clooney/Pitt rejouent à l'identique leur rôle sans créer de véritables surprises avec un scénario bien fade côté humour.
Long, très long ! Encore pire que le second, seul le premier de la trilogie trouve grâce à mes yeux. Danny ( Clooney ) et Rusty ( Pitt ) m'ont fait pitié lorsqu'ils regardent l'émission d'Oprah, un moment des plus gênants. J'ai revu Heat il y'a de cela deux jours soit l'une des prestations les plus exceptionnel d'Al Pacino parmi un nombre important mais dans Ocean's Thirteen il est lui aussi assez pitoyable et c'est vraiment la chose qui ma le plus énervé ! Vincent Cassel, Ellen Barkin, Matt Damon ... se ridiculisent également. Je suis pas le plus grand fan de Soderbergh je l'avoue mais je dois reconnaître que certains de ces films m'ont vraiment plu comme Traffic, Erin Brockovich et justement Ocean's Eleven mais la il se décrédibilise un peu à mes yeux ( pas autant qu'avec Effets Secondaires ! ).
septiemeartetdemi.com - Le plus grand mérite d'Ocean's Thirteen ? Il a le même réalisateur que les deux premiers films de la série, ce qui lui donne une familiarité rassurante. Et un certain ennui. Il se trouve que c'est justement cette dualité qui fait du film quelque chose de comestible, car on la retrouve dans le scénario – avec les Ocean's, c'est toujours une question de scénario. J'explique.
L'introduction est timide mais elle ne retombe dans aucun des pièges tendus aux premiers opus. Elle n'est ni haletante, ni malproprement compressée. Elle est même un peu décorée de figurants ; un serveur de passage, etc. L'ambiance est mieux gérée, la musique ne jouant plus un rôle de figurant estropié.
L'histoire, cette fois-ci, tourne autour de la vengeance. Il s'agit de faire perdre beaucoup d'argent à un casino pour que le propriétaire en ressente les conséquences, et ce avec classe et discrétion. Une discrétion qui implique le creusage d'un tunnel sous le casino par une foreuse du Tunnel sous la Manche afin de provoquer un séisme. Logique, non ?
C'est là l'élément qui apporte le plus de bien et de mal à la fois, et qui permet au scénario de ne plus du tout s'embarrasser de la question de la crédibilité : on part en science-fiction totale (pas dans le sens où il y a de la science et de la fiction mais dans le sens où l'extravagance est le verre d'eau choisi pour faire passer la pilule). La science-fiction excuse pas mal de choses, mais c'est elle qu'il faut excuser. Or Ocean's ne se veut pas un film de science-fiction, ce en quoi il penche plutôt vers la mauvaise pente.
Le film sort un peu de l'engluement de ses prédécesseurs, mais il n'arrive pas pour autant à être un bon film. Il suffit pour s'en rendre compte de prendre pour exemple la panne d'inspiration de Soderbergh quant aux transitions. Les plans aériens du fabuleux building de Willy Bank sont une réserve monotonede ciment pour la construction précaire des fondations de Thirteen. Et l'on cache toujours la moitié des choses au spectateur, dans des dimensions qu'il est toujours impossible d'appréhender. D'autant que les procédés incroyables mis en place par les personnages rebondissent comme des balles magiques dans l'histoire en cassant pas mal de trucs au passage. On n'en voudra pas à Julia Roberts de ne pas être revenue.
Jamais 2 sans 3 comme on dit... Par contre au niveau du scénario, là le proverbe n'est plus trop valable. Si le premier était quasi excellent, le second très bien, le troisième me laisse un peu un gout amer. Attention, je ne dis pas non plus que ce long métrage est complétement raté (sinon je ne lui aurait pas mis 3 étoiles), mais j'aurais aimé que la clôture soit meilleure. La bande est de nouveau réuni, mais cette fois sans Julia Roberts (dommage), mais avec, pour la "remplacer", le grand Al Pacino qui tient ici le rôle de "l'homme à abattre". Et pour réussir leur coup, la bande d'Ocean va faire appelle à leur ennemi juré Terry Benedict (Andy Garcia). Au niveau des prestations, surtout pour les personnages principaux, j'ai la mauvaise sensation qu'elles se "ramollissent" un peu; il n'y a plus rien de nouveau; et là où je trouvais que dans le premier volet Brad Pitt crevé bien l'écran, ici, on a le droit qu'au fantôme de ces précédents exploits. Bref un dernier volet un peu décevant pour ma part, mais qui reste quand même assez sympathique à regarder...
Le troisième est un peu mieux que le deuxième mais pour moi le premier restera le meilleur. Bref, un bon divertissement. Peut-être que si tous les acteurs présents n'était pas au générique du film, il serait moins attrayant?! Je ne sais pas... Sinon j'ai bien aimé.
Je considère Steven Soderberg comme le meilleur réalisateur nord américain de sa génération ( avec james Gray). J'ai vu à quelques rares exceptions près l'ensemble de sa filmographie riche de quelques chefs-d'œuvre de l'histoire du cinéma. Je pense à "trafic" notamment. On sait que Soderberg a réalisé des films grand public afin de financer ses projets plus ambitieux. La série des Ocean est une franchise plusieurs films. Ce "océan 13" est le troisième par ordre chronologique et de mon point de vue, il ne se distingue en rien des deux autres. Une affiche exceptionnelle, une réalisation et une photo de premier ordre, mais le scénario !! Ce n'est ni pire ni meilleur que les deux précédents. Voilà le style de films qui ne m'intéresse pas. Ce n'est même pas distrayant. On s'ennuie au bout d'un quart d'heure et on s'accroche à son siège pour ne pas arrêter cette expérience. Autant l"arnaque qu'on nous présente dans le film éponyme "l'arnaque" de George Roy Hill est parfaitement amenée, autant ici on se perd rapidement, on finit par décrocher et à tourner les pages en regardant les images. Si on regarde ses films au second degré, on peut y voir une critique d'une société uniquement mue par l'argent et par des sentiments négatifs. Se venger, arnaquer, piquer du pognon, séduire mais par intérêt...Bref ce film ( et cette série ) n'est qu'un gros paquet cadeau parfaitement emballé mais qui ne contient vraiment pas grand-chose.
Bien meilleur que le second volet, Ocean's Thirteen ne rénove en rien la trilogie, en proposant une arnaque de haut standing, savamment préparé durant le film. Mais quand on sait ce qu'on va avoir, ou plutôt voir, on est pas déçu, surtout avec un casting pareil, et des dialogues ciselés, un humour léger. Les scènes dans l'usine au Mexique sont hilarantes,tout comme celle de Clooney et Pitt devant l'émission de variété, en train de pleurer ! Bref pas grand chose à dire, le scénario est très bien conçu mais certains auront raison de penser, qu'après Ocean's Eleven, ce fut du copier/coller. Sans surprise, mais toujours agréable dans son côté loufoque volontaire, et son image VIP entretenue avec recul et ironie.