Derniers Avis sur Nocturna, la nuit magique

Pas totalement sous le charme du style graphique, j'ai malgré cela été totalement conquis par la conception des personnages et ce qu'ils représentent.

J'oserais dire qu'il y a un côté Alice au pays des Merveilles.

Vous n'avez pas grand chose à perdre, le film étant très court ; je conseille fortement à tous, même si la cible reste les enfants et jeunes enfants, la musique et l'ambiance sont enchanteurs.

Un gentil dessin animé hors des grosses productions, pas très subtil mais ludique. Une histoire au final assez classique bien que très imaginative. Les personnages sont bien construits et c'est amusant, c'est le mérite de ce film car les dessins ne sont pas bien jolis même si le tout est complexe et diversifié.

Quand le jeune Tim (Hélène Bizot) n'arrive pas à dormir a cause de sa peur du noir, il rencontre les artisans de la nuit, et c'est une façon très originale de nous montrer ce qui se passe la nuit quand nous dormons. NOCTURNA : LA NUIT MAGIQUE est un très beau dessin animé qui emprunte beaucoup au manga Japonais par sa poésie, le design de ses créatures et son histoire.

Quand le jeune Tim (Hélène Bizot) n'arrive pas à dormir a cause de sa peur du noir, il rencontre les artisans de la nuit, et c'est une façon très originale de nous montrer ce qui se passe la nuit quand nous dormons. NOCTURNA : LA NUIT MAGIQUE est un très beau dessin animé qui emprunte beaucoup au manga Japonais par sa poésie, le design de ses créatures et son histoire.

Conte délicat sur les terreurs nocturnes. Le graphisme vieillot nous fait découvrir un monde intime, touchant et gentil. La quête de Tim est psychanalytique, le monde nocturne représentant le refuge qu'il s'est créé pour échapper à la dureté de son quotidien. Échappant à la schizophrénie en dissipant sa peur, il n'en garde que ses rêves bienveillants qui l'aident à affronter la réalité. Beau film poétique qui convient aux enfants.

Un pur bijou de poésie, l'univers si simple et pourtant si terrifiant de la nuit est ici sublimé par une inventivité hors norme, des personnages atypiques et une ambiance onirique ce qui va transporté le spectateur dans un génial film d'animation sur les rêves et les peurs des enfants, une merveille.

en matière d'animation Je préfère de loin la 2D à la 3D, gestion de goût...
Mais je n'ai pas du tout adhéré au graphisme des personnages, disons.. disgracieux...
ensuite, il y a un peu de Alice au pays des merveilles mais sans le..., parfois un peu de Studio Ghibli, mais sans le... parfois vers Petit Prince mais n'est pas St-Ex qui veux...
Donc, de temps en temps on se dit après tout pourquoi pas, et puis finalement, c'est non.

Enfant solitaire subissant les moqueries de tous les enfants de son orphelinat à cause de sa peur du noir, Tim (voix : Hélène Bizot) ne peut jamais s’endormir sans dire bonsoir à son étoile, Adhara. Mais un soir, ne trouvant pas Adhara dans le ciel, il veille plus tard que prévu, et découvre alors un monde insoupçonné, Nocturna. Un monde merveilleux rempli de créatures qui accomplissent leur mission comme chaque nuit (faire rêver les enfants, emmêler les cheveux des petites filles qui dorment, faire grincer les portes ou faire briller les lampadaires…). Mais Tim doit prévenir leur chef, Moka (voix : Roger Carel), que ce monde court un grand danger. Car les étoiles continuent à s’éteindre, et sans étoiles, Nocturna n’est plus…

Production franco-espagnole sortie à l’insu de tous, Nocturna, la nuit magique mériterait bien une deuxième chance, tant elle apparaît digne de rivaliser avec ses concurrents américains ou japonais.
Certes, le film s’adresse d’abord à un jeune public, et le regarder avec des yeux d’adultes nécessitera une certaine indulgence, mais il sera tout de même difficile de ne pas se laisser séduire par la perfection formelle de ce dessin animé, des graphismes à l’esthétisme soigné à une animation irréprochable. Le scénario se suit assez bien, et il s’en dégage une poésie irrésistible. En effet, la mythologie dense créée par les scénaristes fourmille de détails tous plus pittoresques et savoureux les uns que les autres, et c’est un plaisir de suivre Tim dans son parcours à travers ce monde enchanteur, à l’originalité très poussée.
Bien sûr, Nocturna n’est pas dénué de naïvetés ni son scénario de quelques confusions et détours inutiles (je dois avouer que je n'ai pas bien compris à quoi servaient les embrumeurs sortis par M. Pi), mais pour peu qu’on arrive à se laisser séduire par son univers d’une inventivité et d’une magie qui n’ont rien à envier aux grands de chez Disney ou Pixar, on passera aisément sur les quelques défauts d’un spectacle plein de charme, sans vulgarités ni noirceur excessive, et qui parvient sans peine à réveiller l’enfant qui sommeille en chacun de nous.

Un petit garçon n'arrive pas à s'endormir. Il se glisse sur le toit et scrute le ciel à la recherche de son étoile et ne la trouve pas. Il part donc à sa recherche et découvre alors le monde de la nuit, tout le système qui se met en place lorsque les enfants s'endorment. C'est un très beau film. Plein de poésie et d'humour. Les personnages sont très attachants et le mystère qui les entoure donnent une belle envergure au film. Les détails sont divins comme les emmêleuses de cheveux et les faiseurs de bruits. C'est très joli de découvrir ça à travers les yeux d'un enfant. La morale est belle et simple. C'est une histoire pour l'enfant et rien que pour lui. Il est seul au milieu de ce monde fantastique et c'est une belle façon de pousser le spectateur à prendre des décisions, à croire en lui. C'est un film que je recommande à tous les parents

Avec "Nocturna, la nuit magique", Victor Maldonado et Adrian Garcia ont visé très haut. Cette ambition se dévoile à travers un film d'animation où le fond prometteur se voit malheureusement gâché par une base formelle bancale et pétrie de conventions. Le terreau proposé avait tout pour être fertile ; tout au long du film, on se surprend à découvrir un univers nocturne très imaginatif, ponctué de personnages originaux (Chat-man, lumignons, ébouriffeuses...), lorgnant du côté de Burton sans jamais en atteindre le niveau. La faute à une intrigue au déroulement fort classique ainsi que quelques scènes gnangnans qui finissent d'amener les regrets. Pour les plus jeunes.

(...) Quand nous parlons de films indépendants, cela touche également le domaine de l’animation (...) Nocturna est de ceux-là. Un long-métrage franco-espagnol sorti dans la plus grande indifférence (...) La première chose qui va vous toucher avec Nocturna, c’est son histoire. Un scénario totalement original, qui dépeint l’univers de la nuit avec une inventivité des plus bluffantes. Tout en s’inspirant des divers récits créés par Tim Burton et Hayao Miyazaki (...) Un univers récréatif qui n’oublie pas de donner une petite leçon de vie à tous les jeunes spectateurs (...) Nocturna, c’est une assurance. Celle qu’avoir peur du noir est un sentiment absurde tant la nuit regorge de vie et de charme (...) loin des prouesses faites en informatique qui règnent désormais sur le cinéma d’animation, Nocturna conserve le charme et la beauté du design en 2D tout en se rapprochant des plus grands films de Miyazaki (...) Cependant, le film est encore loin d’arriver à la cheville des œuvres de Miyazaki : Nocturna manque cruellement de féerie (...) Une atmosphère qui semble faire du surplace alors que le visuel rayonne de magie (...) Nocturna est sans conteste un long-métrage qui mérite toute notre attention, à défaut d’être un petit bijou, alors qu’il en avait toutes les capacités.

Quand nous parlons de films indépendants, cela touche également le domaine de l’animation. Et pour cause, ce genre cinématographique possède également ses grosses productions (Pixar, DreamWorks, Blue Sky…) et ses petits titres qui sortent du lot, ayant pour but d’émerveiller les enfants tout en devant faire face à la concurrence monstre des blockbusters. Nocturna est de ceux-là. Un long-métrage franco-espagnol sorti dans la plus grande indifférence (seulement plus de 173 000 entrées en France et pas de sortie américaine) qui, pourtant, a eu un beau succès lors de certains festivals (dont le Prix Goya du meilleur film d’animation en 2008). Cette critique se présente donc comme l’occasion de vous remettre sur le devant de la scène ces oubliés du grand public, non sans défauts mais qui peuvent rivaliser sans mal avec des Shrek et autres Toy Story.

La première chose qui va vous toucher avec Nocturna, c’est son histoire. Un scénario totalement original, qui dépeint l’univers de la nuit avec une inventivité des plus bluffantes. Tout en s’inspirant des divers récits créés par Tim Burton et Hayao Miyazaki, les réalisateurs/scénaristes suivent le parcours d’un garçonnet qui va découvrir spoiler: que les chats sont des animaux qui errent la nuit dans le seul but de faire dormir les enfants. Que de drôles de créatures, de manière symphonique, usent du vent, des branches contre les volets et du grincement des gouttières afin de donner vie à la nuit. Qu’une sorte de farfadet farceur est à l’origine des « petites fuites au lit ». Que des Ébouriffeuses, le penchant féminin d’Edward aux mains d’argent, travaillent durs pour vous offrir vos tignasses du matin.
Des exemples, nous pouvons encore vous en livrer, mais ça serait gâcher la surprise devant tant d’imagination ! Un univers récréatif qui n’oublie pas de donner une petite leçon de vie à tous les jeunes spectateurs.

Hormis des personnages secondaires mis de côté assez facilement et une fin gentillette prévisible au possible (en même temps, nous avons affaire à un divertissement pour enfants, donc ne chipotons pas !), Nocturna est avant tout un message pour tout ceux pour qui le noir, l’obscurité, est leur plus grande peur. Transmis par la quête du personnage principal, Tim, spoiler: qui doit affronter une ombre terrifiante (et qui fera sans doute peur aux plus jeunes d’entre nous) qui plonge la nuit dans le noir le plus total (extinction des lumières et des étoiles)
. Nocturna, c’est une assurance. Celle qu’avoir peur du noir est un sentiment absurde tant la nuit regorge de vie et de charme. Que c’est la peur elle-même qui lui donne cette image angoissante que nous lui adressons injustement. Bref, Nocturna ne se présente pas à nous telle une coquille vide qui ne compte que sur son visuel, mais plutôt comme une œuvre qui veut titiller l’attention des jeunots par ce qu’elle a à dire.

Parlons de l’animation justement ! Loin des prouesses faites en informatique qui règnent désormais sur le cinéma d’animation, Nocturna conserve le charme et la beauté du design en 2D tout en se rapprochant des plus grands films de Miyazaki. À tel point que ce long-métrage pourrait très bien figurer dans la filmographie de cet auteur d’exception, aussi bien du côté de l’animation que de l’ambiance musicale. Que ce soit au niveau visuel ou bien sonore, Nocturna vous emportera à coup sûr, que vous soyez petits ou grands !

Cependant, le film est encore loin d’arriver à la cheville des œuvres de Miyazaki, et ce à cause d’un détail assez frustrant : Nocturna manque cruellement de féérie. Alors qu’un tel univers, de tels personnages et une telle poésie nécessitent sans concession une ambiance enchanteresse, il est frustrant de ne pas être bien plus emportés que cela par des moments pourtant touchants. Une atmosphère qui semble faire du surplace alors que le visuel rayonne de magie. Il faut dire aussi que le doublage participe également à cette petite déception. Si des doubleurs professionnels s’en sortent comme à l’accoutumée (Roger Carel, Philippe Peythieu…), d’autres n’ont pas suffisamment de punch pour donner vie à leur personnage (l’animateur télé Jean-Luc Reichmann), n’étant tout simplement pas habitués à ce genre d’exercice et donnant une voix plutôt monotone aux protagonistes concernés. Avec une ambiance et un doublage qui ne déborde que trop rarement, voire jamais, d’énergie et de merveilleux, Nocturna ne déploie pas entièrement ses ailes et peut expliquer son manque d’engouement face aux œuvres de Miyazaki.

Qu’à cela ne tienne ! Nocturna a beau ne pas être parfait, il reste cependant bien meilleur que certaines grosses productions américaines, qui s’écroulent également sous le concept « assassin » des suites et autres spin-offs. Comme il est dit en intro, le cinéma d’animation possède également ses titres qui sortent de nulle part et qui demandent qu’on y jette un coup d’œil. Nocturna est sans conteste un long-métrage qui mérite toute notre attention, à défaut d’être un petit bijou alors qu’il en avait toutes les capacités.

En cherchant les films qu'on adorait étant enfant, on peut retrouver des tas de dessins animés débiles. Mais mon dieu celui-là....
Regardez-le. Juste posez vous et regardez-le. Sans rire, je ne trouve AUCUN défaut à ce film. L'animation et l'univers graphique sont grandioses, les personnages sont beaux, et mon dieu toutes ces idées! Le film nous explique comment fonctionne le royaume de Nocturna, dont les habitants ont pour seul emploi de faire "fonctionner" la nuit. Les chats qui gueulent dans la rue? Il y a un berger des chats qui vient en mettre un dans chaque jardin. Vous êtes décoiffé le matin? Des coiffeuses rentrent chez vous pour vous repeigner à leur sauce. Vos rêves sont bizarres? Ils sont écrits et travaillés pour que des conteurs viennent les lire à votre fenêtre. La lune? C'est un phare! UN PHARE! Enfin vous voyez le genre....
Beaucoup de sites de cinéma vous diront que ce film est accessible aux 6 , je ne suis pas convaincue, sans être glauque, l'univers est assez sombre et étrange pour faire peur à un enfant, et particulièrement le méchant du film.
En bref, n'importe-qui peut être touché par cette fable universelle, ce héros orphelin qui craint plus que tout le noir, retrouvé confronté à un monde qui s'éteint, devant vaincre sa peur pour avancer. Ce film est juste beau et vous DEVEZ voir Nocturna, La nuit magique.

Il faut pas que la nuit cesse de briller. Nocturna, un monde ou un qui regarde son étoile préféré avant de s'endormir. Une nuit, il s'aperçoit que son étoile disparait, elle ne brille plus, malheureux et inquiet il ne veut pas s'endormir et tente de comprendre se qui se passe. Nocturna est un film d'animation de collaboration entre la France et l’Espagne, le décor ressort de créativité, le graphisme donne et insère pas mal de détail, un beau boulot. Des personnages soignés. L'histoire en elle-même est simple.

Des dessins sympas même si je trouve le design des enfants un peu "cheap", mais les décors sont vraiment supers beaux, une bande originale envoûtante, un monde de la nuit onirique et une histoire toute mignonne, celle de Tim un petit orphelin tête de turc de ses camarades car c'est un un rêveur qui a peur du noir, son seul réconfort, son seul point de repaire qui le rassure c'est les étoiles, particulièrement Adhara son étoile protectrice, qu'il aime regardé du haut du toit de l'orphelinat. Mais un jour celle-ci et les autres disparaissent peu à peu et le petit garçon découvre Nocturna l'univers de la nuit et les êtres qui la peuple, les créatures de Nocturna parviendront t'elles a lui faire vaincre sa phobie du noir ? En tout cas c'est un bon moyen pour les petits de ne plus avoir peur de la nuit et du noir et ce, sans violence ni une seule goutte de sang !