Derniers Avis : Wild Generation - Page 2

D'un ennui mortel, film pompeux, n'arrive pas a la cheville du " cercles des poetes dispurus", ô malheureux ne tentez même pas un rapprochement ça seait horrible pour ceux qui se sont fait chié a faire un film de cette grandeur. Bo (si on peut appele ça une bande originale, parce que 4 titres par ci par là ne constitue en rien selon moi une Bo!!)vaiment nul pas representative des 80's (perso j aime pas Cure: les gouts et les couleurs, hein.
A eviter sauf si l'envie d'une sieste vous prend.

Le film commence au début des années 80, on nus présente Akthar, Crowther, Dakin, Lockwood, Posner, Rudge, Scripps et Timms qui sont lycéens à Cutler.
Grâce à leurs excellents résultats en Histoire, ils sont l'objet de toutes les attentions du
directeur de l'école qui compte bien les faire intégrer Oxford ou Cambridge.
Il y a Irwin le nouveau prof au méthode plutôt rustre qui leurs apprend a être ce que leurs demande, a fournir des réponse « stéréotype est leur professeurs de français Hector (Richard Griffiths), leur enseigne la poésie, la vie, l'amour, les différence...
Un "conflit" va s'instaurer entre les deux prof, de plus que Hector est "attirais" par les hommes et vers ces élèves...
On peut paraître "choquer" et "scandalise" entre les "relations" de Hector est les élèves... mais après tout, ne font-ils pas faire leurs propre chois, ne devienne-ils pas des adultes ?
Et le films par vers un collage d'histoires jetées aléatoirement dans un creuset de scènes, brutal, émouvantes, est avec l'humours, car malgré tout les sujets aborder l'humours reste présent et ne nuis pas a l'histoire (au contraire)
Les acteurs son extraordinairement douée surtout les 7 lycéens, Richard Griffi et Frances de la Tour...
Un film brillamment réussi avec un final (peut-être) attendue, mais bouleversant !

Ce film britannique est très britannique. On voit les élèves qui ne sont pas dans des classes mixtes. Le début c’était assez drôle quand le professeur M.HECTOR tapait avec ses livres sur la tête de ses élèves. Ce film n’est pas très comédie, à mon goût. Certains passages peuvent faire rire… Mais c’est très explicatif (ex : récitations des poèmes, révisions de l’histoire, de la littérature…) Je n’aimais pas trop quand ça parlait des cours, d’accord ça peut être intéressant mais je trouvais que c’était un peu trop ! Je n’aimais pas les musiques utilisées dans le film. Et puis on prenait les professeurs comme exemple des homosexuels ! Ce film parle assez des homosexuels. History Boys est un film spécial car il est unique dans l’histoire. Par contre, à la fin, c’était un choc ! On voyait M.HECTOR en moto avec le jeune professeur et au bout de quelques minutes, l’image blanchissait et on entendait les bruits des freins… Je m’étais dis : ‘’Peut-être qu’il fini mal ce film… Peut-être qu’ils sont morts ?’’ Je ne vous dis rien de plus ! La fin était touchante, on voyait la photo du groupe qu’ils avaient faite quand ils étaient partis en voyage. Je dis plutôt que ce film est un drame. Le titre du film correspond bien au film !

le sujet du film est original. le film un peu lent, mais on s'attache vite aux personnages. un peu plus de rythme l'aurait rendu parfait. on ne pourra pas lui reprocher son manque d'authenticité!

Quelques situations très subtiles, dignes de la finesse anglaise. Mais tout le reste reste vide un peu. Par contre, on ne peut qu'apprécier le jeu déluré de tous les jeunes acteurs ainsi que du professeur. Mais le scénario est peu abouti, et
manque de consistance.

History Boys se présente comme une anti-thèse à American Pie et autres « teen movies » à la gloire des cancres. Les ados du film de Nicholas Hytner sont en effet des élèves brillants, tous promis aux meilleures universités de l’Angleterre du début des années 1980. Bien sûr, l’idéal est de viser au plus haut, c'est-à-dire Oxford ou Cambridge, mais il faudra leur apprendre la petite touche d’originalité, de pensée personnelle, qui les rendra tous unique. Partagés entre un vieux professeur de lettres fantasque et à l’homosexualité difficilement refoulée, et un remplaçant venu exacerber leur sens critique vis-à-vis de l’Histoire, les héros de History Boys se découvrent peu à peu, créant leurs visions du monde à coups de citations et de bravades. Ca vous rappelle quelque chose ? Non, vraiment je vois pas ... Le Cercle des Poètes Disparus dites-vous ? Eh bien oui, et pas qu'un peu tout en ne surpassant absolument pas son aîné, dans sa première moitié, History boys est un jeu de références d’une intelligence tourbillonnante, certes souvent plus proche du théâtre filmé que du cinéma, mais peu nous importe. On se régale de cette écriture impertinente, souvent très drôle. Malheureusement, un virage mélodramatique s’effectue durant la seconde partie de l’œuvre, l’entraînant vers des sentiers bien connus (grâce à vous savez quel autre film). Plus laborieuse et prévisible, cette longue conclusion reste touchante grâce aux interprètes et au texte, mais empêche le film de séduire totalement. Il n’en demeure pas moins d’une grande classe, dispersant ça et là, entre deux dialogues éclatants, quelques touchantes réflexions sur l’existence et l’importance du savoir.

Juste nul. Le film lorgne du côté du Cercle des Poètes disparu et échoue lamentablement. Les discours sur l'homosexualité ne présentent pas le moindre intérêt... On se demande vraiment pourquoi avoir fait ce film.

Un petit film sympathique qui ne restera pas dans les mémoires. Une sorte de "Cercle des poètes disparus" version gay, avec humour british et jeunes premiers aux jolis minois. Adapté de la pièce éponyme, le casting a lui aussi été entièrement reconduit sur grand écran. Quelques dialogues bien sentis, des scènes très drôles et d'autres assez poussives, quelques baisses de rythme, on a un peu le droit à tout. L'interprétation, quoique un brin théatrale, est plutôt solide. Le corps professoral est mené avec brio par Richard Griffiths, vu dans tous les Harry Potter, assez touchant en amoureux des mots et aussi un peu trop de ses élèves. Les jeunes acteurs ne s'en sortent pas trop mal. Une certaine image de la société anglaise, où, jusqu'il y a encore peu de temps, être gay était synonyme de maladie et de prison. A propos de belles histoires d'amour masculines dans les collèges anglais, on préfèrera revoir Maurice ou Another country.

Film terne, fade. Le concept est proche de celui du Cercle des Poetes Disparus. Mais je trouve que c'est décevant, malgré des acteurs plutôt convaincants.

Une telle densité de texte et ... de poésie, de réflexions sur le sens de la conjugaison des temps, je comprend que certains n'aiment pas, pour c'est à voir et à revoir, que ce soit pour la tirade sur les femmes et le sens de l'histoire, -ou le non sens - si je suis l'à propos d'Hector, le sens que l'on donne à l'enseignement, ou ce qui peut tirer de l'ennui le professeur qui corrige : mais oui! attaquez, ayez des propositions, revitalisez votre vision des devoirs, prenez votre liberté... Sans oublier les quelques passages chantés, ce film est un poème en prose, un peu libre mais tellement riche en leçons, que je me moque pas mal des clichés, il a des choses à dire, et c'est une belle transposition de la pièce, alors à tous les acteurs, MERCI

Un film très intelligent et sensible sur des jeunes à un tournat important de leur vie, personnelle comme scolaire. L'erreur serait de le comparer au Cercle des poètes disparus. Certes, ils abordent le même sujet, mais History boys a un humour que ne cherchait pas à avoir le Cercle des poètes.
A voir en VO... Pour le cours de Français!

Un film souvent drole, parfois cinglant, mais manquant tout simplement de rythme, et d'une touche de magie. Le réalisateur n'arrive pas ici à mettre de la distance avec l'oeuvre (en l'occurrence, ici, une pièce de théatre) qu'il adapte. Ceci se ressent malheureusement durant tout le film, ce qui l'empèche de voyager.

Comment apprendre, comment étudier et comment recracher notre culture, voilà ce que j'ai pu retenir du film, un espèce de "le cercle des poètes disparu" avec malheureusement quelques histoires sexuelle qui n'ajoute rien au film. J'ai aimé apprendre l'histoire, la culture générale de cette manière au lieu d'être assis devant un bureau. Les dialogues sont savoureux, beaucoup de citations mais bien choisi. Il ne faut pas perdre une miette du film sinon on se sent un peu perdu.
Une sacré expérience.

Une histoire de collégiens issus de milieu modeste et d'une école sans réputation qui souhaitent intégrer les grandes écoles.
On assiste à une éducation très différente entre deux profs.
Des regrets par rapport à la pièce de théatre qui est mille fois mieux

Film anglais à mi-chemin entre Le péril jeune et Les sous-doués et c'est bien là que le problème réside : alternance pénible de moments franchement drôles et de passages beaucoup plus amers qui coupent le rythme. Ne boudons néanmoins pas notre plaisir : on aime les survêtements Adidas en polyester des années 80, l'Angleterre d'Oxford et Cambridge et ce mélange entre légère insouciance adolescente et ambition scolaire.