Avis : Wild Generation - Page 2

"History Boys" n'est pas très innovant lorsqu'il lorgne du côté de la potache comédie adolescente anglaise, mais piochant aussi allégrement ses références dans la littérature anglaise, le film parvient aisément à prendre une tout autre tournure, bien plus intellectuelle. Tout d'abord grâce à un scénario épuré au maximum, privilégiant l'histoire, qui ne met pas 3 minutes à démarrer, au détriment de ramifications multiples qui auraient sans doute été superflues. Puis, la mise en scène emballe, avec sa formidable capacité à faire intervenir un nombre incalculable de protagonistes dans une même scène (effort de synchronisation considérable !). Mais, ce qui rend ce film si attachant, c'est avant tout sans doute la magnifique osmose formée par cette bande de huit copains qui nous ressemblent, que campent huit jeunes interprètes charismatiques et drôles, promis à un avenir certain. Ils sont accompagnés d'acteurs 'adultes' magnifiques, Richard Griffith en tête naturellement, émouvant et sincère. Drôle et aiguisé dans son regard tendre sur l'adolescence, le film se permet également d'aborder des sujets plus graves, au détour des nombreux instants hilarants qui le parsèment : l'homosexualité, le désir, la mort, aussi, qui survient comme un crève-coeur au cours d'une scène finale bouleversante. La sensation grisante de légéreté qui émane de cette petite perle british est tellement rare qu'on la savoure intensément, pour mieux y revenir...

Ce film est d'une prétention qui serait sympathique si elle était moins visible. Tout sent l'adaptation — ratée — d'une pièce de théâtre mâtinée de comédie musicale comme il s'en monte tant dans le West-End londonien, où le metteur en scène dirige l'une des principales maisons (le Théâtre national tout de même !). Tout sonne faux : les dialogues, le contexte social, les rapports éclairés entre les élèves et entre ceux-ci et leurs profs, sans parler des personnages secondaires caricaturaux. "History Boys" porte bien mal sont nom : films ans histoire et sans grand intérêt.

c'est une superbe histoire sur la manière d'aborder les choses selon sa passion, ses convictions, ses objectifs
les acteurs jouent juste
j'ai beaucoup aimé mais ce film n'est pas accessible à un large public car il se veut très culturel

Un film long, ennuyeux, si vous avez du temps à perdre, allez-y! Sinon passez votre chemin!! C'est un conseil!! Des dialogues qui deviennent de plus en plus pesant au fil du film.

Le film commence au début des années 80, on nus présente Akthar, Crowther, Dakin, Lockwood, Posner, Rudge, Scripps et Timms qui sont lycéens à Cutler.
Grâce à leurs excellents résultats en Histoire, ils sont l'objet de toutes les attentions du
directeur de l'école qui compte bien les faire intégrer Oxford ou Cambridge.
Il y a Irwin le nouveau prof au méthode plutôt rustre qui leurs apprend a être ce que leurs demande, a fournir des réponse « stéréotype est leur professeurs de français Hector (Richard Griffiths), leur enseigne la poésie, la vie, l'amour, les différence...
Un "conflit" va s'instaurer entre les deux prof, de plus que Hector est "attirais" par les hommes et vers ces élèves...
On peut paraître "choquer" et "scandalise" entre les "relations" de Hector est les élèves... mais après tout, ne font-ils pas faire leurs propre chois, ne devienne-ils pas des adultes ?
Et le films par vers un collage d'histoires jetées aléatoirement dans un creuset de scènes, brutal, émouvantes, est avec l'humours, car malgré tout les sujets aborder l'humours reste présent et ne nuis pas a l'histoire (au contraire)
Les acteurs son extraordinairement douée surtout les 7 lycéens, Richard Griffi et Frances de la Tour...
Un film brillamment réussi avec un final (peut-être) attendue, mais bouleversant !

Si vous voulez vous détendre ou rire ce film n'est pas vraiment fait pour ça. C'est un film intelligent et subtil. Bourré de références littéraires et d'études historiques. Ce film est un trimestre de préparation d'entrée à Oxford et vous êtes plongé dedans alors n'attendait pas de la détente. Toutefois History Boys est une grande réussite, une leçon de vie. Au delà du jeu exceptionnel de tous les acteurs, les dialogues sont recherchés et brillants, l'ambiance est presque amicale entre professeurs et élève ce qui rend les débats beaucoup plus intéressants et dérivant souvent vers des allusions sexuelles. Ce film est un cours, vous y entendrez des questions telles que "Comment défendre Staline?" "Si on explique l'holocauste est-ce qu'on l'excuse, peut-on l'enseigner?"
Ce film est intelligent, si vous l'êtes ne vous en privez pas!

Je m'attendais à un film totalement british dans la veine des "Dames de Cornouailles" ou "The Queen", mais quelle déception ... ce film est d'un ennui à mourir. Beaucoup de bla bla pour ne rien dire, au final on se demande pourquoi ce film existe.

Une histoire de collégiens issus de milieu modeste et d'une école sans réputation qui souhaitent intégrer les grandes écoles.
On assiste à une éducation très différente entre deux profs.
Des regrets par rapport à la pièce de théatre qui est mille fois mieux

Peut-on rêver mieux qu'un film qui reunit jolis garçons et littérature ?! Non ! A vrai dire, ce sont deux de mes passions qui sont réunis ici sur grand écran en plus de s'associer à une troisième : le cinéma. Un film brillant, où les idiots seront déconcertés mais charmés et les intellos blasés mais émus.
Laissez-vous embarquer dance cette histoire simple, complexe dans ses mots et attachante.

On est huit en classe, on est super complices avec nos profs, on apprend dans la joie en s'echangeant des remarques percutantes et des citations adéquates, il y a des homosexuels refoulés dans tous les coins, et on ira tous à "Oxbridge".
Tel est en gros le propos du film, qui ressemble à une ressucée laborieuse du Cercle des poètes disparus. En plus verbeux et plus enfonceur de portes ouvertes si c'est possible. Le montage est extrêmement fouillis, et le réalisateur nous inflige à répétion quelques agaçantes manies, comme le fait de filmer en parallele les huit étudiants ou encore de faire "déborder" le son d'une scène sur la suivante. Il rate meme l'opportunité de s'offrir une bonne bande son eighties, et ne nous distille que quelques rares morceaux comme un exercice imposé. Chacun de ces huit étudiants, muni d'une profondeur psychologique de protozoaire (un juif, un noir, un musulman, un catho assexuel, un homo, un sportif, un gros, un leader charismatique...) déclame ses dialogues en se donnant des airs. Clive Merrison (le proviseur) surjoue à la limite du supportable. Seul Richard Griffiths (Hector) s'en tire correctement et compose un personnage attachant et loufoque.
Pour couronner le tout, la fin est tartissime. Sympathique mais raté.

personnellement j'ai adoré se film sus tous les films que j'ai pue voir c lin des rares films dont je garde un souvenir très positif ce film utilise un humour dont je suis fan les répliques sont extras et les profs sont se que je souhaité avoir surtout celui joué par Richard Griffiths décaler et qui sait métre de la vies dans ses cours

Film anglais à mi-chemin entre Le péril jeune et Les sous-doués et c'est bien là que le problème réside : alternance pénible de moments franchement drôles et de passages beaucoup plus amers qui coupent le rythme. Ne boudons néanmoins pas notre plaisir : on aime les survêtements Adidas en polyester des années 80, l'Angleterre d'Oxford et Cambridge et ce mélange entre légère insouciance adolescente et ambition scolaire.

le sujet du film est original. le film un peu lent, mais on s'attache vite aux personnages. un peu plus de rythme l'aurait rendu parfait. on ne pourra pas lui reprocher son manque d'authenticité!

D'un ennui mortel, film pompeux, n'arrive pas a la cheville du " cercles des poetes dispurus", ô malheureux ne tentez même pas un rapprochement ça seait horrible pour ceux qui se sont fait chié a faire un film de cette grandeur. Bo (si on peut appele ça une bande originale, parce que 4 titres par ci par là ne constitue en rien selon moi une Bo!!)vaiment nul pas representative des 80's (perso j aime pas Cure: les gouts et les couleurs, hein.
A eviter sauf si l'envie d'une sieste vous prend.

Film terne, fade. Le concept est proche de celui du Cercle des Poetes Disparus. Mais je trouve que c'est décevant, malgré des acteurs plutôt convaincants.