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    Dans Paris
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    2,7
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    290 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mai 2014
    une soirée de branle je me suis maté ce film sur france 4 mais c'est quoi ce film de merde bobo pseudo auteur clichesque à mort que c'est mauvais*

    Duris est un liché vivant le bobo des bobos je pense qu'il a dépassé le troll de Biolay

    Non mais franchement ça me fait trop penser aux inconnus , la nuit des escars , "vous pouvez pas comprendre" ou le realisateur qui gueule remettez le dans sa caaaaage ! , c'est exactement ça les inconnus avaient complétement cernés le problème c'est d'un ridicule ce genre de film .
    willycopresto
    willycopresto

    134 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Je ne regrette qu'une seule chose : avoir perdu 90 mn de mon temps en regardant ce film où je me suis ennuyé à mourir. L'histoire est aussi plate que les dialogues (je devrais dire monologues)
    En plus si vous êtes neurasthénique, mieux vaut fuir !
    Mais qu'est-ce que Guy Marchand, au demeurant excellent dans un rôle qui lui est inhabituel, a été faire dans cette galère ?
    Willycopresto
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2014
    Dans paris est loin de passionner,Honorer se prend pour cinéaste de la nouvelle vague. Il singe Godard mais n'arrive pas à la qualité des meilleurs films de son modèle. Tout sonne creux là dedans,il n'y a que de l'ennui mis sur pellicule.
    CrackO DingO
    CrackO DingO

    46 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2014
    J'aime Paris. Voilà pourquoi j'ai regardé ce film. Débile non?! Quel ennui... Du début à la fin. Prévoyez une planche à repasser ou beaucoup de café. ------Février 2014------
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2014
    Romain Duris et Louis Garrel en tête d'affiche d’un film d’auteur ? ça donne vachement envie! Hèlas, il fallut dèchanter! Amère dèception pour tous ceux qui, à la vision du film musical "Les chansons d'amour" en 2007 ou de "La belle personne" en 2008, avaient cru dècouvrir, en Christophe Honorè, un cinèaste original! "Dans Paris", il signe son film le plus inègal, bien pire que "Non ma fille, tu n'iras pas danser" en 2009! Pour autant les influences sont claires et nettes! C'est un Honorè trop ambitieux et dèboussolè, à la recherche de lui-même, qui se prend tellement pour Godard que ça en devient caricatural et ennuyeux! Jamais intense mais souvent directe, son histoire n’en est pas moins personnelle même si elle est dèpourvue de tout fond hormis la tristesse soixante-huitarde qui plane durant tout le mètrage! Metteur en scène qui en fait trop, scènariste inepte, histoire incohèrente, langage horripilant, un Louis Garrel absent qui se force à jouer son rôle et un Romain Duris qui fait une gueule de dix pieds de longs! Dans le rôle du père, Guy Marchand est pourtant très bon (l'unique * est pour lui) mais le mal-être de ces personnages gâche vraiment le tout! Et quand Duris chante pour Joana Preiss, on n'atteint le summum du toc! il y a quand même deux minutes de bonheur avec le « Cambodia » de Kim Wilde dans une chambre, une jolie scène en extèrieur entre Garrel et Alice Butaud et une très regrettèe Marie-France Pisier qu'on prend plaisir à voir même dans un oeuvre nombriliste pour les bobos...et sur les bobos! C'est navrant, assez pènible et sans queue ni tête, avec des tirades littèraires sans une once de crèdibilitè! On passera la scène d'intro pour èviter d'enfoncer le clou où Garrel, qui s'improvise narrateur à la première personne, s'adresse à la camèra! A peine deux minutes de film et "Dans Paris" galère dèjà dans la comparaison avec certaines oeuvres de la Nouvelle Vague...
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 janvier 2014
    Après les biens-aimés, je me confronte à nouveau au cinéma de Christophe Honoré. Vraiment, avec tout le recul nécessaire, le processus d'intégration de l'histoire et compagnie, rien y fait : je reste complètement stérile à cette ambiance. Des scènes qui me foutent plus le cafard qu'autre chose. Puis comme je n'intègre pas cette philosophie, je trouve çà niais à souhait, pardon...
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2022
    Portée par quatre comédiens convaincants, une comédie dramatique intimiste et touchante, mais dotée un scénario qui tourne un peu en rond.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 octobre 2013
    Deux frères que tout oppose, une famille dysfonctionnelle, de l'humour et du drame mixés, ce film dont on peut sans grand risque avancer qu'il a été réalisé avec un petit budget arrive à briller par son exposé de moments simples de vie. En effet il n'y a pas grand chose à se mettre sous les yeux ni de quoi crier au génie pendant son visionnage et l'histoire tient de l'anecdote et du fait commun. Mais là où le risque de l'ennui guette souvent dans pareil propos ce n'est pas le cas ici. Tout le talent réside justement dans la vérité de ces moments: beaucoup préféreront les séquences de déambulations dans Paris de Louis Garrell qui y va de sa décontraction pour jouer un insouciant, un joueur, un dragueur (toujours dans des rôles de jeunes qui aiment le cul celui-là d'ailleurs), j'ai personnellement une affection particulière pour la scène où Romain Duris en dépression complète (qui passe le plus clair du film enfermé dans sa chambre) s'isole par la musique et tente la guérison en lançant sur les platines le "cambodia" de Kim Wilde (ça m'a redonné le goût de ces trucs 80's trop souvent décriés).
    Puis au final ces retrouvailles nocturnes entre les deux frères qui, par l'intermédiaire d'un acte commun (qui pourrait être un hommage déguisé au Jules et Jim de Truffaut), nous font réaliser qu'ils ne sont peut-être pas si différents même si le temps a sans doute fait son œuvre.
    Alors certes tout n'est pas parfait et on trouvera peut être à reprocher à Romain Duris de décidément jouer toujours de la même façon depuis quelques films mais je le recommande pour toute âme sensible et n'attendant pas forcément du cinéma qu'il nous offre des choses surréalistes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 août 2013
    Retrouver Romain Duris et Louis Garrel dans un film de Christophe Honoré, ça appel. Nous sommes dans l'intimité la plus profonde d'une famille, de deux frères et de leurs états d'âme. Certains passages m'ont passionné, je n'ai pas vu la fin arrivée et la théorie de Paul/Pol me trotte toujours dans la tête. Et puis magnifique duo entre Paul et Anna, au téléphone. Dommage que le film ait du mal à démarrer, et qu'il se termine aussi brutalement. Les sentiments de chacun sont traités avec douceur et subtilité, marquant un léger point final, mais qui reste vraiment trop discret.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2012
    La filmo de Christophe Honoré est inégale mais pour qui aime la ville lumière et la Nouvelle Vague, "Dans Paris" est un film qui dévoile un charme subtil et référencé. À noter un beau casting et un Guy Marchand bien trop rare au cinéma. Conseil d'ami.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 décembre 2012
    Honoré parvient ici à conjuguer la pente descendante des sentiments (rupture amoureuse difficile, lente érosion du temps qui passe, électricité statique des liens familiaux) avec la pente ascendante du cinéma. « Dans Paris » décrit avec sensibilité la dépression d’un jeune trentenaire qui retourne vivre dans sa famille après l’échec de son couple, mais le projette dans une forme tellement vive et virevoltante que le film provoque une énergie proche de la griserie. Entre JD Salinger (la famille comme cimetière des espoirs déçus et des échecs individuels) et le Wong Kar-Wai des débuts (pour cette façon de faire danser des emprunts à la Nouvelle vague).
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2012
    Non rien à faire , ça ne passe pas , c'est mauvais et d'un ennui mortel .
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 646 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juin 2013
    Un peu poseur, un peu maniéré, faussement désinvolte ou improvisé façon Nouvelle Vague, nourri de dialogues trop littéraires, trop artificiels, ce film a de quoi agacer. Et il agace souvent. Pourtant, il y a quelques scènes très réussies : celle où le personnage incarné par Duris s'anime en écoutant un vieux tube de Kim Wilde, ou encore celle où le même personnage lit une histoire d'enfant à son frangin. Des scènes simples, sans chichi de style, sans référence à Truffaut ou Godard... À noter, le beau rôle de Guy Marchand.
    Cluny
    Cluny

    78 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Première scène, un plan séquence sur Louis Garrel qui se lève du lit où dorment son frère et une femme, traverse l'appartement en désordre, enlève la cigarette de la bouche de son père endormi, va sur le balcon et se retourne vers la caméra pour s'adresser au spectateur, puisque je ne suis pas le héros, je serai donc le narrateur. Nous voilà d'emblée dans la distanciation chère à Godard, avec le personnage qui prend à partie le spectateur et qui le rend complice du fait que tout cela n'est que du cinéma. La référence au Suisse le plus célèbre du cinéma français est omniprésente, comme cette scène où Jonathan au lit avec Alice se cache derrière des couvertures de livres, citation directe de "Une Femme est une Femme", ou l'utilisation de fragments d'enseignes lumineuses pour composer des messages.

    Donc, notre narrateur nous explique que tout a commencé quand son frère est parti vivre à la campagne avec Anna : flash-back. Et là, Christophe Honoré nous inflige pendant vingt minutes une suite de scènes de ménage lourdingues, et on se dit que c'est bien mal parti. Heureusement, de retour à Paris, dans le huis-clos de l'appartement plus que dans le périple de Jonathan, les personnages ont enfin le temps de s'installer au travers de scènes comme celle où Mirko fait l'éloge du bouillon de poule, ou celle où Paul retrouve un 45 t de son enfance et sort pour la première fois de son mutisme en psalmodiant "Cambodia" de Kim Wilde.

    Paradoxalement pour un film aussi construit, pour ne pas dire fabriqué, c'est la qualité du jeu des acteurs qui permet d'oublier toutes ces afféteries. Romain Duris bien sûr qui n'a pas son pareil pour jouer la stupeur quand il se prend une baffe rétroactive de son père ; Guy Marchand, insupportable et tellement touchant, incapable de dire simplement ses sentiments. A cet égard, la scène entre Marie-France Pisier et lui est un régal, et l'un et l'autre manifestent alternativement et conjointement tendresse et agacement.

    Parfois, on va même du côté de Demy, comme ce balai de Jonathan et d'Alice sur l'esplanade des Invalides, ou cet échange téléphonique chanté entre Paul et Anna. Ce sont aussi ces petits moments de grâce, tel cette scène où Paul lit à Jonathan "Loulou", de Grégoire Solotareff, un album qu'il lui avait offert quand il était enfant, qui permettent de pardonner la boursouflure dans la mise en scène et l'excès dans le scénario (la réminiscence de la soeur morte est juste too much), et de sauver ce film inégal et bancal.


    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    Biloba63
    Biloba63

    57 abonnés 847 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Ca se veut cinéma d'auteur, alors on y trouve du génie, une réflexion à développer... La presse l'encence... Pourtant c'est fade comme jamais, sans but, sans rythme. Une tare. Un ennui abyssal.
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